"Vous êtes-vous déjà demandé si les choix que vous faisiez vous appartenaient vraiment ?"

Vous connaissez ces jeux de simulation de vie, dans lesquels on crée un personnage auquel on doit attribuer un nom, un métier... une existence.

Imaginez que cette fois, ce soit réel.

C'est ce qui va se produire pour Mickaël Owens. Malgré lui, il va plonger dans cette réalité dérangeante, où nous ne sommes que des marionnettes au libre-arbitre illusoire, mais jusqu'où l'entrainera cette révélation sur nos origines ?
Finalement, qu'adviendra t-il du monde avec le pouvoir de contrôler tous les Hommes entre les mains d'un des personnages... ne risque t-il de s'ensuivre le chaos ?

Cet essai est réalisé dans le cadre d'un concours dont la thématique est simplement "Imbécile".


J'ai voulu présenter une vision de la société, sur la stupidité du jugement et l’incapacité empathique des hommes qui les rendent finalement imbéciles les uns pour les autres.

Naïve jeunesse, rêves et réalité, amour, désespoir moderne, honorable suicide ou parfaite soumission…

Six histoires, six personnages, tous liés d’une manière ou d’une autre. On est toujours l’imbécile de quelqu’un, disait l’autre, mais au final, que fait-on pour mériter ce statut ?

Il y a le souvenir de cette plage et de ce téléphone abandonné sous un parasol. Ce téléphone qui ne contient qu'un seul et unique numéro. Ce téléphone qu'elle a gardé avec elle pendant toute cette année, sans que personne ne le réclame.

Et puis, il y a la réalité, la vie... Celle où Ninon grandit et part pour faire ses études de lettres, puis adulte et lassée des métiers parisiens, redescend dans le sud de son enfance. Là, elle fait la connaissance de Jasper, séduisant éditorialiste, dont elle tombe follement éprise. Même si Jasper est alors marié à une autre, pour Ninon, il est prêt à tout quitter. Mais c'est sans compter sur cet événement qu'il doit couvrir, la grande célébration d'automne au cours de laquelle, une terrible explosion fera des centaines de morts...

Mais cette réalité est-elle la seule ?

Et s'il était possible de tout faire différemment ?

Faire le choix du sacrifice, le choix de l'amour... C'est ce que Ninon va faire en défiant les lois du temps.


"Mon choix intemporel" c'est l'histoire d'un amour maudit sur fond de paradoxe temporel...



[Cette œuvre fait l'objet d'une participation au concours organisé pour la 10ème édition du Prix de Binic, par les Escales de Binic pour le Festival des Littératures vagabondes]

Futur proche.

Une société consumériste, gorgée d'apparences et de concurrence permanente. La jalousie moderne n'est pas que dans l'amour ; elle peut exister en enviant la vie de son voisin, les possessions des autres, l'emploi et les revenus que nous n'avons pas, le nombre d'amis ou d'amants... Tant de raisons de jalouser les autres, qu'on en vient à vouloir leur vie. La société l'a bien compris et compte répondre à ce besoin.

Et au milieu, il y a Mhyn et Jonah. Il y a l'amour qui essaye de ne pas se faire dévorer par la réalité implacable du monde. Il y a les mensonges, le doute... et la quête de la vérité, envers et contre tout.

Essai sur la folie et les ruptures psychologiques ayant pour cause de violents traumatismes.

Décor de fond : une toile horrifique, mêlée entre Lovecraft, Poe et quelques échos oniriques de Caroll.

Plongez, plongez avec moi et traversez le miroir. L'important est d'être capable d'en revenir.

Les scientifiques viennent de l'annoncer : le soleil va s'éteindre.
L'humanité doit s'y préparer car l'échéance est à notre porte. Dans les dernières minutes avant l'instant fatidique, comment réagirez vous ?

Et après, qu'y aura t-il ?


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One shot de 4700 caractères ou préambule à un roman ? J'hésite encore.

Tout comme le titre qui me laisse perplexe... J'aimais aussi "la couleur des bruits" mais je le trouve trop orienté et trop philosophique, même s'il est directement extrait du récit.

N'hésitez pas à me donner votre avis, vos critiques, j'en suis friande !

Participation au concours "Il y a toujours une île", organisé par le Cercle de la Mer

L’œuvre est à retourner pour le 1er décembre 2018, je suis donc un peu juste ! Nous verrons...