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Les maux d'une garce

Les maux d'une garce
Je crois que je n'arriverais jamais à écrire une œuvre entière. Mon esprit fait trop de bonds entres les idées… Alors voici quelques simples brides d'histoires que j'ai réussi à mettre sur papier.
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Les maux d'une garce
J'ai essayé de m'exercer à l'art de Rimbaud, et voilà ce que ça a donné.
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Les maux d'une garce
Correspondance avec personne, avec tout le monde. Simplement raconter, simplement aborder des sujets diverses. Et vous, à qui voudriez vous écrire ?
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Les maux d'une garce
Le verbe aimer est la chose la plus difficile à vivre, à exprimer, à ressentir, à expliquer. Aimer est d'une complexité surplombante toutes les autres. Et pourtant, aimer reste la plus belle des choses que le monde est pu nous offrir.
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Les maux d'une garce
Je préfère côtoyer des personnes au passés douteux que des personnes qui doute de moi.
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Les maux d'une garce

Viens me rejoindre, viens jouer…De toute façon tu finiras par craquer. Je suis le rêve que ton esprit censure. Je suis la pulsion que tu essais de museler. Mais malheureusement, ce soir, tu as baissé ta garde, je suis sorti de ma prison doré dans laquelle tu me tenais enfermé depuis bien trop longtemps. Et ne t’en fais pas que cette fois, tu ne le regretteras pas. Tu vois, toutes ses choses que tu me caches, je les ai apprises, j’ai eu temps dans le haut de ma tour, de préparer le plus diabolique de tous les plans. Maintenant que je suis libre, je vais pouvoir exprimer nôtre art si spécial, tu sais, celui qui lacèrent les cœurs. Ne t’en fais pas, on ne lui fera pas de mal.
On va juste jouer, toi, moi, et la blanche colombe qui a pris cette place dans ta vie. Un cache-cache. Oui, on va faire un cache-cache. Vous aller vous sauver, vous cacher à mon signal. Je vais compter longuement. Et puis sans tricher, je viendrais, je ferais tout pour te retrouver. Mais si, dans cette jungle urbaine, je retrouve la blanche colombe avant toi… Je lui briserais le cœur, je ferais en sortes qu’elle ne se mette plus entre nous, ne t’en fais pas. Je l’amènerais dans nôtre cachette, en périphérie de la ville, tu te rappel ? Et là, le vent soufflera dans les branches et j'essuierais le sang autour de mes lèvres
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Les maux d'une garce

Et ils nous laissent encore pourrir dans ce qu'ils appellent le paradis.
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Les maux d'une garce

Mon pire cauchemar, je l'ai encore fait cette nuit. C’était affreux. Je n’ai jamais ressenti de telle chose. Cela ne m’est jamais paru aussi réel, aussi effrayant, aussi près de la réalité, ma réalité. Je ne me rappel pas de tous les détails, c’est encore flou, c’est aller trop vite, j’ai perdu le fil, je n’arrivais plus à réfléchir je n’ai pas enregistré… J’étais chez moi pourtant, dans ma chambre, je pensais que rien ne m’arriverait ici, j’ai eu tords. Je n’avais pourtant pas laissé dépasser mon pied de la couette. J’avais pourtant bien prié ma bonne étoile. J’avais pourtant bien placé mon attrape rêve au-dessus de ma tête. J’avais pourtant fait tout ce qu’il fallait, je n’avais rien oublié cette fois. Mais il a quand même réussi à rentrer. Il a quand même trouvé la faille dans tout ça. Je l’ai senti s’énerver. Je l’ai senti me regarder avec ce regard qui ne présageait rien de bon. J’ai essayé de me cacher, de faire en sorte qu’il m’oublie, de m’excuser, mais il m’a quand même attrapé le monstre, il m’a quand même pris la cheville pour me faire sortir du lit et tomber à plat ventre sur le parquet ciré. Il a crié, si fort que j’en ai eu mal à la tête. Il parlait, de plus en plus fort, de plus en plus rapidement, laissant cette odeur présente dans les bars emplir mes narines. Je me suis recroquevillée, priant pour qu’on vienne me sauver de ces griffes. Il s’est mis à hurler quand les larmes ont commencé à rouler sur mes joues. Et tout a basculé, j’ai me suis perdu dans la suite des événements, je ne me souviens plus… Je n’arrivais pas à rouvrir les yeux. Je n’arrivais pas à me réveiller. J’étais bloquée là. J’étais perdu. Puis les impacts sont arrivés, la douleur m’a submergé, me frappant à des endroits différents. Je me ne rappelle plus si j’ai pleuré, si je lui aie hurlé de partir, au monstre, si je l’ai supplié d’arrêté. Je ne sais plus si je me suis mise à saigner, si oui, à quel endroit en premier. Je n’arrive plus à me souvenir lequel de mes os a craqué en premier, comment j’ai fait pour me cogner contre la penderie, si je me suis relevé après. Je ne sais plus si je me battais encore, ou si la terreur faisait de moi une victime parfaite. Je ne sais plus à quel moment le noir à décider d’enfin m’envelopper, à quel moment, il m’a enfin ramené dans le sommeil, loin du monstre, loin de l’odeur d’alcool, loin de ses cris, loin de la douleur, du cauchemar. Je ne sais plus à quel moment je me suis senti soulager, en sécurité, à quel instant j’ai décidé de ne plus le laisser me réveiller… Pourtant il le faut, je dois m’occuper de la maison, aller au travail. Mais je n’arrive plus à me sortir de ma léthargie, le noir, l’obscurité ne veut plus me laisser partir maintenant, ils veulent me garder en sécurité. Je n’arrive plus. Puis d’abord quelle heure est-il ? Quel jour sommes-nous ? Ou suis-je ? Mon corps ne me répond plus… Mon esprit ne réagit plus… Pourtant j’y suis toujours arrivé, après chaque nuit… Cette fois-ci encore, ce n’était pas un cauchemar. Cette fois-ci encore, ce n’était pas un monstre. Il est encore rentré saoul, il s’est encore énervé, il est encore venu me trouver, j’ai encore été son exécutoire…Pourtant, il me répétait sans cesse qu’il m’aimait… Mais cette fois-ci, je n’aurais pas d’excuses à trouver pour les marques qu’il me laissait sans cesse… Qu’avais-je oublié encore ? Je ne le saurai jamais…
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Les maux d'une garce

Si le féminin est un état d'esprit, le féminisme est mon combat, sans talons ni barbe.
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Les maux d'une garce

Cher journal,
En ce moment, je sombre. C'est compliqué. Tout va vite, beaucoup trop vite. J'ai l'impression que le sol se dérobe sous mes pieds. La Terre tourne, beaucoup trop vite. J'ai l'impression que mes jambes ne suivent plus le mouvement, qu'elles ne sont plus assez fortes pour me soulever.
Je passe mon temps à trébucher, comme si la gravité reposait entierement sur mon dos. Je n'ai plus foi en rien. Quelle est au final le but de mon existence ? Pourquoi suis je encore là? POurquoi je l'ai rencontré lui ? Pourquoi je l'ai perdu elle ? Quel étét le but avec moi ?
J'ai l'impression d'être un cobaye, une simple expérience, un jeu. J'ia l'impression d'être constamment assise dans un wagonnet de montagne russe : à des moment je suis à mon paraxysme, je touche le bonheur du bout des doigts. Et puis d'un coup, paf, ça retombe, ça redescend d'un coup. Mes espoirs, mes envies, mon bonheur, envolé ! Et cela constamment. Ma vie est un electrocardiogramme, emplis de pics.
J'ai réellement l'impression de n'arrivait à rien, que rien ne va. Pourquoi les gens ? Pourquoi le monde ? Pourquoi les études ? Pourquoi tout ça ? Qu'est ce que j'ai fais pour ça ? Je me cherche, je te cherche, je la cherche.
Tu sais, depuis qu'elle n'est plus là, je dérive. J'ai l'impression d'avoir perdu pieds. J'ai perdu ma moitiée. Heureusement qu'il est là lui, mon âme soeur... Enfin quand il ne tombe pas aussi. Je me sens vide, rien ne m'intéresse, enfin surtout les gens. Les seuls moment où je me sens bien, c'est dans l'autre monde, entre les pages et les lignes d'une histoire qui n'est pas la mienne. Un voyage, une évasion sans que personne ne me dérange, sans que personne ne s'en rendre compte.

Après tout, dîtes moi, c'est quoi le bonheur ? Ca fait quoi d'être stable ?
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