Un petit poème dédié à ce magnifique pays qu'est l'Italie.

On l’appelle la Lune,
Lève la tête tu la verras,
A l’océan ou au Sahara,
Elle brille sous un ciel nocturne,

On l’appelle la Lune,
Elle n’est pas à vendre, garde ta fortune !
Elle nage dans cet océan ténébreux,
Elle ne sort que la nuit, illuminer les cieux,

On l’appelle la Lune,
Non elle n’a pas les anneaux de Saturne,
Mais qu’il est joli cet astre !
Dira l’enfant par sa fenêtre,

Le jour se lève,
Elle disparut, comme dans un rêve,
Tel un poisson s’engouffrant dans les abysses,
Elle retourna chez Neptune,
On l’appelle la Lune,
Un poisson qu’aucun pêcheur ne gouttera à ses délices.

Un jour j’ai rencontré un Alien,
Survolant la terre avec sa petite amie Martienne,
Tout doucement il descendit du ciel,
Il cherchait un coin où passer leur lune de miel,
Loin de leur planète où le soleil se tait,
Et la nuit dure une éternité,
« Pour elle j’irais n’importe où,
L’espace est infini après tout ! »,
Même chez un Alien dont l’existence n’est qu’un mythe,
L’amour encore une fois n’a pas de limite,
« Monte à bord on va faire une balade,
Là-bas où le silence résonne telle une sérénade »,
Demandez à Christophe Colomb il vous dira,
On ne va jamais aussi loin que lorsqu’on ne sait pas où l’on va,
Tel cet Alien s’envolant brisant le silence éternel,
Je m’envolais avec lui tel un matelot quittant l’archipel,
Le regard perdu au milieux des étoiles,
L’univers est une feuille de papier,
Où le créateur s’amuse à dessiner,
Les rêves de l’enfant ; indélébiles.