
Rose Bella
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Il était une fois une gentille Sorcière qui restée seule toute son enfance. Elle voulait un enfant pour lui tenir compagnie. Quelqu'un avait sonné à la porte puis elle a ouvert la porte. Elle avait vu un bébé près de sa porte. Il y avait une lettre dans le berçeau, elle cherchait la personne qui a déposé le bébé mais elle était quand même contente que son souhait était réalisé. La fille avait grandi, elle s'appellé Chealsy. Elle avait seize ans et elle avait les cheuveux roux,les yeux maron la Sorcière la protége tout le temps chaque jour et chaque minute qui passe! Puis un jour Chealsy est partie en voyage avec ses copines elle est partie en soirée,mais sa mère était inquiète pour sa fille alor elle partie la voir est vue qu'elle danser magnifiquement quelle comprit qu'elle n'avait pas besoin de sa mère elle repartie. Elle entendue des crie,des pleure elle partie voir avec son ballé magic,il yavait un méchant sorcier la Sorciére teléporta tout le monde chez eux un par un. Chealsy était contente qu'elle lui préparera un magnifique gâteaux à sa mère. Ils avaient tout mangé le trés bon gâteaux que Chealsy avait preparé. Une personne avait sonné a la porte qu'alors une dame est aparue parce que Chealsy était sa vrais fille elle parla à la sorcière que s'étais moi qui avait possé ma fille devant votre portel'année denière. La Sorcière avait conprit,mais Chealsy ne voulais pas partir avec sa vrais mère mes elle voulait resté avec sa mère qui étais la quand je me suis réveillé de mon berceaux. Chealsy dit à la dame qui étais apparament sa mère elle dit : "Si tu étais la a mon enfance pour me voir mes tu n'étais pas la alors je reste avec ma mére! La dame avait tout conprie se qu'elle avait dit alors elle partie mais comment la Sorcière est gentille elle l'acceilla chez elle elle prépara a mangé en famille parce que maintenant la dame fait partie de la famille. La dame se présenta : "je m'appellais mael" la sorcière et Chealsy lui dit en meme temps que: "c'est un trés beau prénon".Elle manga et passa un beau momment et puis aire une belle vie en famille qui passa un merveille momment.
!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!FIN!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Voila ma belle histoire qui y avais dans ma tête j'ai mis un plans dans ma tête pour que sa me crée des image et sa ma fais un grande explois pour mon écriture et mon arts d'écrire, mes amis ma famille est fiére de moi pour mes réplique. Et même mes prof son satisfé de mes écris et même moi j'en suis fiére. Pour mon idée . Bravo rose "bravo" j'en suis fiére.
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Bonjour, Bonsoir.
J'ai une question qui me tiens à cœur à vous poser. Avant tout, je tiens à préciser: oui, ce sujet existe déjà, mais j'ai des choses particulières à ajouter.
J'aimerais devenir écrivain à 12 ans...
Mon histoire dans l'écriture:
A 10 ans, je décide d'écrire des romans pour m'amuser. J'ouvre le logiciel "Microsoft Word" avec l'aide de ma mère et j'écris ma première histoire. Je la montre à ma mère, qui est contente de mon travail, puis à mon institutrice, qui est enthousiaste de ce que j'ai fait. Voyant les adultes de mon entourage contents de cela, je continue, et mes parents le disent à ma famille (mon grand-père, par exemple). Je m'améliore de roman en roman, ils sont de plus en plus longs (mon premier roman arrivait vers les 5 à 7 pages et mon dernier en compte 30.) J'entre en classe de 6e et me présente en suppléante avec un garçon de ma classe, que je connais depuis la maternelle, comme délégué. Connaissant les romans que j'écris, les compte-rendus de 4 à 5 pages en primaire, et ma capacité de rédaction, il me propose (sympathiquement) de faire son discours. J'accepte immédiatement, voulant marquer le coup afin d'être élue.
Le jour des élections, il lit le texte, et ma professeure principale ouvre de grands yeux. Elle dit au garçon qu'elle est surprise d'un tel texte, et le garçon lui dit que c'est moi qui l'ai écrit. Après les élections, on apprend que nous sommes élus.
Le jour de la rencontre Parents-profs, elle annonce à mes parents que j'ai un talent littéraire et que au grand JAMAIS, elle n'as vu cela en classe de 6e, à mon âge. Pourtant, elle est prof depuis longtemps. Elle dit que j'écris comme un écrivain, que j'en ai l'âme.
Maintenant, je viens de terminer un roman, pouvant atteindre 30 pages en format poche, et je voudrais ESSAYER de le publier. Mais j'ai peur que mes parents me sous-estime, et je ne veux leur dire que si ça marche. Un peu comme un surprise, même si je fais ça pour réaliser mon rêve. Comment m'y prendre? J'ai déjà commencé à chercher des maisons d'éditions, mais si quelqu'un à des conseils ou des liens, je suis preneuse.
Je remercie d'avance ceux qui me répondrons, tôt ou tard, et j'ai hâte que quelqu'un se manifeste.
Cordialement Rose bella
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Défi
Une veuve avait deux filles, l'une jolie et courageuse, l'autre paresseuse et laide. C'était à la seconde qu'elle donnait sa préférence, parce que cette fille laide et paresseuse était sa propre fille et l'autre avait tout le travail à faire dans la maison dont elle était la Cendrillon. Elle devait chaque jour aller sur la grand-route s'asseoir près du puits et filer, filer tellement que les doigts lui en saignaient. Un jour donc, que sa quenouille était toute poisseuse et tachée de sang, la malheureuse se pencha sur le puits pour la laver mais la quenouille lui échappa des mains et tomba tout au fond du puits. En pleurant elle courut raconter son malheur à la marâtre, qui lui cria dessus. Elle fut assez impitoyable pour lui dire: «Puisque que tu as laissé tomber la quenouille, tu n'as qu'à aller toi-même la chercher!» La pauvre retourna près du puits, se tortura en se demandant comment faire et pour finir, dans son affolement, sauta elle-même dans le puits pour en rapporter la quenouille. En tombant elle s'évanouit; et lorsqu'elle se réveilla et repris ses sens, elle était dans une belle prairie, sous le brillant soleil, et il y avait autour d'elle des milliers et des milliers de fleurs. Elle s'avança dans cette prairie et arriva devant un four à pain où cuisait la fournée, et voilà que les pains, de l'intérieur se mirent à appeler: «Retire-moi! Retire-moi! Sinon je vais brûler, je suis déjà bien cuit et plus que cuit!» Elle y alla, saisit la longue pelle de four et sortit un à un tous les pains jusqu'au dernier. Puis elle poursuivi sa marche et arriva près d'un pommier chargé de pommes en quantité énorme, et là aussi on l'appela: «Secoue-moi! Secoue-moi! Nous les pommes, nous sommes toutes mûres!» Alors elle secoua l'arbre et les pommes tombèrent comme s'il pleuvait, et elle le secoua jusqu'à ce qu'il n'en restât plus une sur l'arbre, puis elle les mit soigneusement en tas avant de se remettre en route. Pour finir, elle arriva près d'une petite maison où une vieille regardait par la fenêtre, mais elle avait de si longues dents, cette vieille que la fillette dans sa peur, voulu se sauver à toutes jambes. «Pourquoi t'effrayes-tu ma chère enfant?» lui dit la vieille femme. «Reste avec moi, et si tu fais bien ton travail, si tu me tiens la maison bien en ordre, tout n'en n'ira que mieux pour toi. Surtout, tu dois veiller à bien faire mon lit et secouer soigneusement l'édredon pour en faire voler les plumes, parce qu'alors, il neige sur le monde. Je suis Dame Hiver.» Le ton aimable et les bonnes paroles de la vieille réconfortèrent son cœur et lui rendirent son courage: elle accepta son offre et entra à son service, s'acquittant de sa tâche à la grande satisfaction de Dame Hiver, battant et secouant son édredon jusqu'à faire voler les plumes de tous cotés, légères et dansantes comme des flocons de neige. En retour, elle avait la bonne vie chez elle: jamais un mot méchant et tous les jours du bouilli et du rôti. Mais quand elle fut restée un bon bout de temps chez Dame Hiver, elle devint triste peu à peu, sans trop savoir pourquoi quand cela commença, ni ce qui lui pesait si lourd sur le cœur; enfin elle se rendit compte qu'elle avait le mal du pays. Elle savait bien, pourtant, qu'elle était mille fois mieux traitée ici que chez elle, mais elle n'en languissait pas moins de revoir sa maison. «Je m'ennuie de chez moi,» finit-elle par dire à Dame Hiver, «et bien que je sois beaucoup mieux ici, je voudrais remonter là-haut et retrouver les miens. Je sens que je ne pourrais pas rester plus longtemps.» - «Il me plaît que tu aies envie de renter chez toi,» dit Dame Hiver, «et puisque tu m'as servi si fidèlement, je vais te ramener moi-même là-haut.» Elle la prit par la main et la conduisit jusque devant un grand portail, une porte monumentale dont les battants étaient ouverts; au moment où la jeune fille allait passer, une pluie d'or tomba sur elle, dense et drue, et tout l'or qui tomba resta sur elle, la couvrant et la recouvrant entièrement. «C'est ce que je te donne pour avoir été si diligente et soigneuse dans ton travail,» lui dit Dame Hiver, en lui tendant en plus, sa quenouille qui était tombée au fond du puits. La grand-porte se referma alors, et la jeune fille se retrouva sur le monde, non loin de chez sa mère. Et quand elle entra dans la cour, le coq, perché sur le puits, chanta: «Cocorico! Cocorico!
La demoiselle d'or est ici de nouveau.»
Elle arriva ensuite chez sa mère, et là, parce qu'elle était couverte de tant d'or, elle reçut bon accueil aussi bien de sa mère que de sa demi-sœur.
La jeune fille leur raconta tout ce qu'il lui était advenu, et quand la mère apprit de quelle manière elle était arrivée à cette immense richesse, sa seule idée fut de donner à sa fille, la paresseuse et laide, le même bonheur. Il fallut donc qu'elle allât comme sa sœur, s'asseoir à coté du puits pour filer; et que pour que sa quenouille fût poisseuse de sang, elle dut se piquer le doigt et s'égratigner la main dans les épines; elle jeta ensuite sa quenouille dans le puits et sauta elle-même comme l'avait fait sa sœur. Et il lui arriva la même chose qu'à elle: elle se retrouva dans la même prairie et emprunta le même chemin, arriva devant le même four, où elle entendit semblablement le pain crier: «Retire-moi! Retire-moi! Sinon je vais brûler, je suis déjà bien cuit et plus que cuit!» Mais la paresseuse se contenta de répondre: «Plus souvent, tiens! que je vais me salir!» Et elle passa outre. Lorsqu'elle arriva un peu plus loin près du pommier, il appela et cria: «Secoue-moi, secoue-moi! Nous les pommes nous sommes toutes mûres!» Mais la vilaine ne se retourna même pas et répondit: «Fameuse idée, oui! Pour qu'il m'en tombe une sur la tête.» Et elle continua son chemin. Lorsqu'elle arriva de devant la maison de Dame Holle, comme elle avait déjà entendu parler de ses longues dents elle n'eut pas peur et se mit aussitôt à la servir. Le premier jour tout alla bien, elle fit du zèle, obéit avec empressement et vivacité, car elle songeait à tout l'or que cela lui vaudrait bientôt; mais le deuxième jour, déjà, elle commença à paresser et à traîner, et beaucoup plus le troisième jour, car elle ne voulu même pas se lever ce matin là. Elle ne faisait pas non plus le lit de Dame Hiver comme elle devait le faire, négligeait de secouer l'édredon et de faire voler les plumes. Dame Hiver ne tarda pas à se lasser d'une telle négligence et lui donna congé. La fille paresseuse s'en montra ravie, pensant que venait le moment de la pluie d'or; mais si Dame Hiver la conduisit aussi elle-même à la grand-porte, au lieu de l'or, ce fut une grosse tonne de poix qui lui tomba dessus. «Voilà la récompense que t'ont méritée tes services!» lui dit Dame Hiver, qui referma aussitôt la grand-porte. La paresseuse rentra chez elle, mais couverte de poix des pieds à la tête; et le coq, sur le puits, quand il la vit, chanta: «Cocorico! Cocorico!
La sale demoiselle est ici de nouveau.»
La poix qui la couvrait colla si bien à elle que, de toute sa vie, jamais elle ne put l'enlever.
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Ce pilier de pierre dressé fièrement,
Se parait d’une cape et d’un turban, purpurins.
Quand le bénissaient les lumières vespérales,
Son coeur se déployait en un splendide cristal,
Et des sphères nacrées gravitaient en pèlerins
Autour de ce cadeau du firmament.
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Ciel ! un fourmillement emplit l’espace noir,
On entend l’invisible errer et se mouvoir ;
Près de l’homme endormi tout vit dans les ténèbres.
Le crépuscule, plein de figures funèbres,
Soupire ; au fond des bois le daim passe en rêvant ;
A quelque être ignoré qui flotte dans le vent
La pervenche murmure à voix basse : je t’aime !
La clochette bourdonne auprès du chrysanthème
Et lui dit : paysan, qu’as-tu donc à dormir ?
Toute la plaine semble adorer et frémir ;
L’élégant peuplier vers le saule difforme
S’incline ; le buisson caresse l’antre ; l’orme
Au sarment frissonnant tend ses bras convulsifs ;
Les nymphaeas, pour plaire aux nénuphars pensifs,
Dressent hors du flot noir leurs blanches silhouettes ;
Et voici que partout, pêle-mêle, muettes,
S’éveillent, au milieu des joncs et des roseaux,
Regardant leur front pâle au bleu miroir des eaux,
Courbant leur tige, ouvrant leurs yeux, penchant leurs urnes,
Les roses des étangs, ces coquettes nocturnes ;
Des fleurs déesses font des lueurs dans la nuit,
Et, dans les prés, dans l’herbe où rampe un faible bruit,
Dans l’eau, dans la ruine informe et décrépite,
Tout un monde charmant et sinistre palpite.
C’est que là-haut, au fond du ciel mystérieux,
Dans le soir, vaguement splendide et glorieux,
Vénus rayonne, pure, ineffable et sacrée,
Et, vision, remplit d’amour l’ombre effarée.
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