Claire Quentin
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de toujours
« L’influx d’énergie cosmique s’écoule dans le corps en cascade, c’est ce que l’on appelle “les chakras”. Les chakras sont des centres d’énergies situés sur la ligne médiane du corps. Il en existe sept et ils régissent nos propriétés psychologiques. Depuis la nuit des temps, les Hommes détiennent le pouvoir de ces différents chakras, tu ne seras pas étonné d’apprendre que certains s’en servent pour faire le bien pendant que d’autres dérivent du droit chemin. Ces derniers peuvent avoir divers niveaux d’activités, lorsque l’un d’entre eux fonctionne correctement on dit qu’il est “ ouvert “. Idéalement, tous les chakras devraient contribuer à notre être. Nos instincts devraient collaborer avec nos sentiments et notre pensée. Mais ce n’est généralement pas le cas. Certains chakras, sous-actifs, doivent être compensés par des chakras sur-actifs. Je ne t’apprends rien en disant que l’état idéal est celui où les chakras sont équilibrés. Il existe un bon nombre de techniques pour parvenir à équilibrer ses chakras et il serait totalement accablant d’essayer de rendre des chakras suractifs moins efficaces et inversement. Chaque chakra est une vision du monde, une perspective qui organise tous nos sentiments, nos pensées et nos valeurs ».
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Une légende raconte, qu’un jour, la Mère doté de tous les dons reçus des Dieux une jarre avec pour interdiction de l’ouvrir. Elle ne se doutait pas un seul instant qu’elle déclencherait un tel fléau et piquée par la curiosité, elle l’ouvrit en secret et laissa ainsi s’abattre les ténèbres sur les Hommes.
Depuis plusieurs générations, des êtres maléfiques arrachent aux hommes ce qu’ils ont de plus précieux. Pour lutter contre ces êtres démoniaques, des guerriers manipulant la magie de ce monde: “La magessence” sont formés dans l’espoir, qu’un jour, l’humanité soit enfin débarrassée des douze démons de Pandore.
Depuis plusieurs générations, des êtres maléfiques arrachent aux hommes ce qu’ils ont de plus précieux. Pour lutter contre ces êtres démoniaques, des guerriers manipulant la magie de ce monde: “La magessence” sont formés dans l’espoir, qu’un jour, l’humanité soit enfin débarrassée des douze démons de Pandore.
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Quêtes : L’enfant et la bête
A ceux qui auront croisés mon chemin…
L’aventure commence, avançons, allons de l’avant
Le chemin sera long et difficile, autant partir dès maintenant
L’aventure commence, allons, avançons de l’avant
Nous nous trouverons des compagnons, sur qui l’on pourra compter
J’y crois sans hésiter
L’aventure commence, avançons, allons de l’avant
Mon aventure n’aurait jamais commencé si mon chemin n’avait pas croisé le sien.
Malheureusement, le destin en n’avait voulut ainsi et je fus le seul survivant de toute mon abbaye. Je me rappelle de ce jour comme si c’était hier, il faisait beau et un soleil plus que chaud tapait quand les douze coups de midi avaient sonnés. Nous autres templiers, nous nous étions regroupés pour prendre le déjeuner autour des grandes tables vieillit par le temps et l’usage de la cantine. Aucun templier n’aurait raté ce moment et pourtant ce jour la, frère Angelo – mon mentor – manqua à l’appel. Des bruits de couloirs couraient qu’il avait été convoqué par le père Alberto dans ses quartiers à l’arrière de l’abbaye.
Nous buvions et rions aux éclats dans une ambiance bonne enfant quand un bruit de verre brisé s’était fit entendre et remonta jusqu’à nos oreilles. Pas plus alerté que ça, Un de mes supérieurs m’avais ordonné d’aller jeter un coup d’œil dans les couloirs par sécurité tandis que lui resterais à table, s’empiffrant de viandes que nous avait servit le cuisinier. J’avais obéis sans broncher, je n’étais qu’un jeune templier qui devait respect et obéissance à ses aînés. J’avais donc inspecté les couloirs alentours sans rien trouver et c’est sur le chemin du retour qu’un rire fort et irrégulier m’indiqua le chemin à suivre. Prudent je saisis au passage un bouclier marqué de notre signe distinctif rougeâtre et une épée qui passait par la. Je longea le couloir lentement, le stress me gagnais petit à petit. Il augmenta d’un cran en apercevant la vitre brisé. Craquela sous mes bottes, le verre signalait forcément ma présence à l’intrus dans les alentours et c’est quand j’avais réalisé ou menait ce couloir que je paniqua et hâta mon pas. Au bout de ce couloir se trouvait une grande et vieille porte en bois, la main tremblante, j’avais entendu au moment de saisir la poignet la voix de frère Angelo et celle d’un inconnu, à la première écoute ils semblaient discuter ni plus ni moins et c’est la que tout à commencé… Une explosion avait retentit, sa force de destruction fissura les murs porteurs de l’enceinte. Paniqué, j’avais décidé de prévenir mes supérieurs qui sauront gérer le problème mieux que moi mais en passant la porte du réfectoire j’avais pu apercevoir la mort de mes propres yeux. En pleine action elle me retirai un à un mes amis par étouffement, des flux obscurs s’échappaient de leurs corps… totalement dépassé par l’évènement je pleurais de peur sans aucun moyen de sauver les templiers qui me regardaient les yeux sortants de leurs orbites, les mains tendus vers moi essayant de me crier « à l’aide ». Alors que le silence s’était réinstallé un rire glacial venait de retentir, terrifié je m’étais retourné donnant un coup d’épée sec de mon bras droit dans le vide malheureusement, étais-ce une hallucination ? La folie me gagnait-elle déjà ? Une nouvelle secousse continua la destruction de l’abbaye, les fondations s’écroulaient désormais petit à petit, par reflex je m’étais abrité sous mon bouclier tenu par ma main gauche. Je sortais du réfectoire qui s’effondrait quand cette fois je reconnus la voix du père Alberto crier à l’aide. Poussé par la volonté de protéger mon père je m’étais précipité vers la même porte que précédemment. Détruite par les explosions, en miette, des morceaux de bois étaient éparpillés ici et là, je les survolas et pénétra dans l’enceinte de la « Sainte Chambre » de son nom. Je ne m’attendais pas du tout à y voir ce que j’y ai vue. Mon mentor, le frère Angelo, était étalé au mur avec une longue baguette en bois ruisselante de sang planté dans la poitrine ainsi que le père Alberto qui, debout sur son divan, tentait de repousser un homme en armure. Sa présence, malsaine, dégageait une aura sombre qui me pétrifiait rien qu’à sa vue.
-Vorn ! Je vous en supplie, lâchez cette épée ! Implorait alors le père Alberto dans sa barbe blanche.
Motivé par mon devoir de protection envers mon père je mettais interposé entre eux d’eux armes en main. Notre ennemis avait souri en me voyant arriver.
-Alors voici un survivant? Avait ricané l’homme en armure noir et à la chevelure argentée.
-Jeune templier écartez-vous!
-Je ne sais pas qui vous êtes, mais tu ne feras pas de mal au père Alberto ! Lui avais-je crié brandissant mon bouclier et ignorant les paroles de mon père. Sans daigner me répondre il avait frappé le centre du bouclier de son poing gauche et m’avais fait perdre l’équilibre facilement. Là, il balança son épée en plein sur cet homme que je respectais tant. Je venais d’assister à la mise à mort de l’être le plus sage et le plus respecté de toutes notre abbaye sans avoir pu me rendre utile.
-Vorn… Je… je me souviendrais de ton nom ! Avais-je pleuré à l’homme qui c’était retourné après avoir, sans aucune gêne, récupéré sa longue lame du corps du père.
-Tu ne mérites même pas la mort, ta faiblesse en est risible. Tu pleureras leurs morts jours et nuits! Ria alors le chevalier noir en disparaissant comme il était arrivé, par la fenêtre.
Je n’avais pas eu le courage de faire le moindre mouvement, tout ce sang… tombé à genoux, les armes à terres, les pointes de mes cheveux trempaient dans le sang encore frais. Cette abbaye, plus ruine que lieu de vie, avait vécu la période la plus sanglante de toute son existence. Mes yeux ne pouvaient pas regarder les corps de mon frère et de mon père gisez de cette façon. En sanglot je trouvais enfin la force de me relever et de regarder cette chambre saccagé par un désordre sans nom et par le sang. À chaque battement de cils la scène à laquelle je venais de participer me revenait à l’esprit…
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« On ne devient pas paria, on le né »
Chaque naissance à son lot de bonnes et de mauvaises nouvelles, lors de cet événement qui est un don des dieux, l’enfant né sans une « marque d’allégeance »est exclu de la société, et se voit contraint du haut de ses quelques secondes d’existence de devenir un paria, il grandira à l’écart parmi un groupe de même titre dans l’unique but de servir à la « cérémonie de la cire », entre mensonges, vérités, et divinités le jeune Lanovas devra forger sa place dans ce monde…
Du haut de mes neuf ans j’aurais aimer pouvoir comprendre pourquoi cet enfant me faisant face refusait de m’approcher, j’avais rarement eu la chance de les approcher d’aussi prêt, Idrak ne cessait de nous répéter que nous avions interdictions de leur parler, de même les regarder… étais-se pour ça que nous vivions reculés dans les montagnes? Enfin je ne suis pas le seul, d’autres enfants de mon âge vivaient avec moi donc je ne m’ennuyais pas! Et puis tout les jours depuis que je m’en rappelle Idrak nous emmènes chasser, traquer et nous promener dans les plaines des montagnes alentours.
Sur le chemin du retour de l’une de nos expéditions je traînais en chassant un écureuil à l’aide de l’arc que m’avait confectionné Idrak.
-Lan’! Dépêche toi veux-tu? La voix grave et forte de l’homme me rappelait à l’ordre, je grimaça à la petite bête à l’abri dans l’arbre puis accouru pour rejoindre celui qui m’élevait.
-Tu ne dois jamais t’éloigner de moi Lanovas. M’indiquait-il à nouveau.
-Mais pourquoi?
-Ne t’éloigne pas, c’est tout.
-Hum…
Le garçon de tout à l’heure nous avait suivit et cria « Sale misérable! Tu es une erreur! » en sortant de derrière un rocher sur notre droite. Je ne comprenais pas pourquoi ce garçon m’accostait mais encore moins pourquoi Idrak sortie de ses gonds et renvoya le gamin aussi vite qu’il était apparu à l’aide de menace qu’un enfant de neuf ans ne devrait pas entendre.
-Que voulait-il? Demandais-je alors d’un ton incrédule.
-Rien ne t’inquiète pas, et maintenant avance! Il me poussa assez pour me faire tituber vers l’avant. Nous arrivions finalement à la chaumière, la ou nous vivions lorsque le temps nous le permettait. Idrak se rua en cuisine me laissant sous mon drap avec pour seul ordre d’attendre sagement le dîner. Les volets fait maison laissait pénétrer la lumière du coucher de soleil, ici Idrak avait tout fait lui même… on se plantait souvent des échardes à cause du bois mal travaillé… mais il était toujours là pour soigner nos maux et blessures… il était le père que nous n’avions pas eu. J’avais même écris dans mon livre que j’ai reçu pour mes neuf ans une phrase qu’il nous répète sans cesse, « Devient fort et grand pour la cérémonie de la Cire, tu pourras alors accomplir ton devoir ». Enfin… je dois bien avouer qu’il ne la dit plus beaucoup en ce moment… mais je veux comprendre le sens de cette phrase mais… Idrak ne se justifie jamais, et se contente de nous enseigner les techniques de survie et chasses et ça jours après jours.
Durant le repas Idrak, les deux autres enfants et moi même savourions un ragoût de lapin que l’on avait chassé dans la journée. Très bon cuisinier, je le félicitai chaque soir en pensant à toutes ces questions que je voudrais lui poser…
-Idrak pourquoi tu portes cette marque au poignet? Demanda la bouche pleine un des deux autres enfants.
-Car je suis un adulte. Répondit-il alors, le garçonnet se contentait de cette réponse faible en argument.
-Nous aussi nous la porterons plus tard? Demandais-je alors, il arrêta de mâcher un instant, ferma les yeux puis avala sa bouchée.
-Lanovas, finit ton assiette, vous êtes des parias, vous devez prendre des forces. Me répondit-il calmement.
-Des parias… en quoi sommes-nous si différent? m’énervais-je en ayant assez d’entendre ce mot qui sonnait comme une injure.
-Vous ne portez pas la marque, je vous l’ai déjà dis. Indiquait-il en pointant son œil borgne.
-Tu ne la portes pas non plus! m’exprimais-je ensuite.
-J’ai perdu mon œil lors d’une chasse… mais cela ne change rien.
-Pourquoi sommes nous nés sans marque? Risquais-je alors. Il posa sa cuillère et répondu sèchement.
- Je n’ai pas les réponses à vos questions, mais quand vous serez en âge de participer à la cérémonie de la Cire… vous comprendrez, maintenant… Mangez!
Le lendemain matin Idrak me leva à l’aube, nous devions nous rendre à un point de passage plus bas dans la montagne, je n’avais pas tout bien compris mais mon mentor marchait sans se retourner.
-Lan’ ,m’appelait-il, tu dois devenir fort pour la cérémonie de la cire, il s’agira d’une étape dans ta vie. Nous allons aujourd’hui saluer le courage de l’un de tes frères, la cérémonie de la cire se déroule le jour du printemps soit aujourd’hui même, dans huit ans toi aussi tu partiras en quête de réponse.
-Dans huit ans?… Puis je réalisais que la cire était ce soir… J’aurais aimé y participer mais nous n’avions pas le droit… même Idrak ne nous racontait sous aucun prétexte les faits, sa justification? « Nous nous devions d’être pur de toutes colères ». Arrivé au point de passage, Idrak m’indiqua un endroit ou m’asseoir, j’avais pu en chemin demander pourquoi j’avais été le seul à me lever si tôt, les deux autres enfants avec moi, tout les deux un peu plus vieux avaient déjà assisté au départ d’un de nos frères. Il ne fallut pas attendre longtemps avant de voir la jeune adolescente de dix-sept ans passer le col de la montagne.
-Idrak! s’écriait-elle les larmes aux yeux, rousse et équipée jusqu’au cou d’un arc, d’une lance et de flèches ; elle salua l’homme qui l’avait élevée.
-Ma petite… Idrak resta en hauteur et laissa son regard se perdre dans le sien.
-Je prouverai lors de la Cire que ton enseignement n’a pas été vain! Je te ferai honneur et comprendrait pourquoi nous autres parias sommes rejetés! Encore merci pour tout!…
-Rihne… L’homme grand et vêtu d’habit chaud sembla verser une larme, étais-se une larme d’émotion? Ça ne pouvait être que ça en y réfléchissant.
-Allons-y Lanovas, il est l’heure de l’entraînement. Comme à son habitude il m’emmena dans les plaines chasser de petits gibiers, mon habileté à l’arc n’était pas flagrante mais je me débrouillais. Mon maniement de la lance était tout de même meilleure. Mon entraînement favoris était quand même lorsque nous combattions sur une poutre afin d’allier agilité et dextérité. Tout se passait à merveille quand un cri retentit, une voix humaine semblait crier à l’aide en contre-bas de la falaise ou nous étions. Interpellé je baissa mon attention et fut désarmé par Idrak.
-Tu serais mort à cause d’un cri d’enfant. N’y prête pas attention Lanovas. Indiquait-il sans chercher à comprendre. Inquiet je descendis et pencha ma tête en direction de la crevasse. Un enfant du peuple était dos au mur face à un ours des montagnes pour le moins affamé. Mon premier reflex fut d’appeler Idrak mais avant que je n’ai eu le temps de me retourner il était déjà à mes côtés arc et flèche en place, il tira deux flèches, une qu’il planta entre l’enfant et la bête, la deuxième qu’il logea sur la patte avant droite. L’ours recula, l’enfant leva les yeux vers nous, Idrak lui fit un signe de la main comme pour le rassuré et ni une ni deux l’enfant incanta un nom divin, celui de « Continent », dans une phrase que je ne perçus pas clairement, des halos de lumières brunâtres apparurent à ses poignets et lui conférèrent une force démente, il frappa la bête jusqu’à sang. Émerveillé je me demandais bien de quel genre de pouvoir il pouvait bien s’agir alors que le gamin s’éloignait sous mes yeux.
-Pourquoi le garçon n’avait pas d’arme sur lui? Pourquoi je n’ai pas de pouvoir? Je mitraillais le pauvre Idrak de question sur le chemin de la maison.
-Les parias ne possèdent pas de pouvoir, c’est pour cela que je vous apprends des techniques de chasses et de survie.
-Mais… pourquoi encore les parias… Râlais-je tristement…
-Lors de la cérémonie…
-Lors de la cérémonie de la Cire tout me sera révélée oui oui je le sais! Coupais-je de colère.
Idrak ne savait pas comment réagir, il continua sa marche en silence jusqu’à notre chaumière tandis que je pensais à une idée pour assister à la cérémonie de la Cire de ce soir…
Le dîner passé, allongé dans mon lit j’hésitais… étais-se une bonne idée de sortir? Ma fenêtre était prête… plus rien ne m’empêchait d’aller assister à cette fameuse cérémonie… mais une soudaine appréhension me prit au ventre… Je pris mon courage à deux mains et passa cette fenêtre, je me retrouvai à gambader dans les bois sans aucune protection en direction du village du peuple… Idrak n’avait pas cessé de m’indiquer l’endroit de ce village, il me suffisait de me rappeler vaguement de ces indications. Une fois arrivés je me cacha dans un buisson en hauteur, je n’avais pas vue sur toute la scène mais assez pour apercevoir Rhine au milieu d’autres jeunes, brandissant un fier sourire… enfin ils allaient comprendre pourquoi avoir été bannis et quel est leur mission.
Ce que j’y vu… me fit froid dans le dos.
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Défi
Je ne suis qu'un Homme rien de plus, rien de moins. Un voyageur au grand cœur, un saltimbanque pour certain, un aventurier pour d'autres. Je vais là où me mène mon nez, un nez amateur d'aromes et de saveurs en tout genre. Ne vous trompez pas, j'ai voyagé aux quatre coins du monde afin d'affiné mon nez, de pouvoir, rien qu'à l'odeur... reconnaître et identifier la moindre senteur ; mais ce n'est qu'une fois de retour chez moi que je fus battu, après plusieurs années à arpenter vents et marées.
Impossible pour mon être de reconnaître ce breuvage. Ce petit filet de chaleur s'échappant discrètement du verre, prouvait de sa fraîcheur, une note forte puis unique, douce et apaisante ensuite. Je n'avais pas trempé mes lèvres tremblante que déjà tout mon corps se réchauffait à l'idée de goûter cet élixir. Dans mes voyages nombreuses avaient-été les boissons de jeunesse éternelle, mais aucune n'avait prétendue à cet odeur.
J'osais enfin porter la boisson à mes lèvres, je m'ébouillanta. Cette liqueur farouche était aussi impatiente que moi. J'osais alors à nouveau verser ce liquide d'une couleur pure couler le long de ma gorge, je ne pouvais plus m'arrêter, cette saveur si chaude et si plaisante m'interdisais de m'arrêter. Les yeux fermés je me voyais déjà revivre tout mon voyage... à la recherche d'aromes et saveurs! Être aux cotés du pêcheur en plein marché... aller dans les cultures privées sentir l'arome mère des produits... Tout ceci me revenait à l'esprit en laissant couler ce breuvage quand soudain... un goût doré me grimpa en bouche, de la vanille! je ne m'y attendais pas! Un frisson me mis à nu, je ne pouvais plus lutter alors, je reposa le verre vidé de son contenu, je tremblais encore de l'impact de ce monstrueux et harmonieux mélange quand ma pauvre mère entra dans la pièce et révéla le nom de cette boisson: " Tu as finis ton lait? "
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Défi
Comment te décrire tout mes sentiments,
ton absence est un véritable châtiment
Je ne peux pas passer tant de temps à attendre gentiment
Plus tu t’éloignes et plus je meurs inconsciemment
Ces quelques vers sont pour elle
Elle pour qui j’essayerais d’être l’homme modèle
Elle pour qui je vis, celle qui donnera la vie
Celle ou ma destiné est relié à la sienne
Fous, c’est celle qu’il me faut, c’est irréel
Belle au naturelle, celle pour qui je me battrai
C’est avec cette reine que je gouvernerais
C’est elle, celle de mes rêves…
Oui j’accuse je ne vois plus que par elle
J’en repousserais les nuages dans le ciel
Je voudrais pouvoir calmer ma colère et ma jalousie
Mes textes sont sincères, sa voix une poésie
Elle est ma force comme ma faiblesse
Elle est une partie de moi, elle est celle que j’aime
Elle, sujette, d’un énième poème...
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Vous êtes arrivé à la fin