Yass .
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Défi
Extrait du roman
"Comment pouvait-elle effacer de sa mémoire ses douces paroles ?"
"Je ne suis pas unique, et je ne suis pas parfait"
"Elle prit le journal entre ses mains comme un petit nouveau-né"
***
Histoire de trois femmes qui ont pu affronter leurs douleurs malgré leurs profondes blessures ...
Récemment ce projet est en pause, voire suspendu. Je ne sais pas quand j'aurai l'intention de revisiter cette histoire, mais pour l'instant, elle doit attendre une éternité :')
"Comment pouvait-elle effacer de sa mémoire ses douces paroles ?"
"Je ne suis pas unique, et je ne suis pas parfait"
"Elle prit le journal entre ses mains comme un petit nouveau-né"
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Histoire de trois femmes qui ont pu affronter leurs douleurs malgré leurs profondes blessures ...
Récemment ce projet est en pause, voire suspendu. Je ne sais pas quand j'aurai l'intention de revisiter cette histoire, mais pour l'instant, elle doit attendre une éternité :')
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Défi
Je m'appelle Guillaume, un jeune lycéen issu d'une famille bourgeoise. Modeste, aimable et bienveillant. Je n'avais qu'un seul et fidèle ami, Emile. Notre relation avait débuté il ya 10 ans. Et depuis, tandis qu'elle embellissait ma vie, elle détruisait celle de mon cher camarade...
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Bon, voulez-vous voyager dans le monde ? Vraiment ? Soyez la bienvenue chez moi, dans une aventure merveilleuse.
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Anderson, Perrault, les frères Grimm et autres ... Voici vos contes, réécrits à ma façon.
Bonne lecture pour vous, curieux lecteurs ;D
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Défi
https://www.scribay.com/text/958673819/vive-le-bradbury---/chapter/382358
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Défi
Ce matin-là, la porte du dortoire s'ouvra brusquement pour laisser sortir trente-huit enfants ; âgés de quatre ans à onzes ans, ils sont tous réfugiés de l'orphelinat The Grace Field House, sous la tutelle de mademoiselle.Isabella, surnommée Maman.
Emma enfila vite ses vêtements réguliers, qui sont les mêmes pour tout le monde : une chemise blanche et un pantalon/jupe blanc/che. La jeune fille passa sa main sur son cou, tâtant les chiffres y tatoués : 63194. Elle ne s'est jamais douté de leur utilité, à quoi bon ça servira ? Puique elle menait une vie paisible avec ses deux chers amis Norman et Ray, ça suffisait.
— Emma ! S'il te plaît porte-moi sur ton dos !
— Emma !!! Prends ma main !
— Emma ! Je veux voir Maman !
Elle ne pouvait plus, la pauvre. C'est vrai qu'elle n'est pas la plus grande, mais la plus affectueuse. Elle considérait tous ces enfants ses frères et soeurs. Un sourire aux lèvres, elle accompagna Phil, Conny et Lannion à la grande salle où le petit déjeuner les attendait. Ils embrassèrent Maman puis s'assirent à leur place. Emma salua Ray et Norman et s'installa à coté d'eux.
— Que pensez-vous faire aujourd'hui, les gars ?dit-elle avec enthousiaste.
— Rien de spécial, grommela Ray.
— On peut jouer à cache-cache, suggéra Norman.
— Pas question, j'en ai marre ! répondit Emma la bouche pleine.
Soudain, ses yeux brillèrent d'une lueur particulière, elle se pencha sur Norman et siffla :"On peut jeter un coup d'oeil au delà du siège."
Le garçon se racla la gorge, balbitua des mots incompréhensibles et baissa le nez sur son assiette.
— Essaie d'oublier ceci, OK ?
— Maman ne verra rien, promis !
Ray lança un coup d'oeil menaçant à son amie.
— Termine ton petit déjeuner, Isabella remarquera que tu as d'autres occupations et nous subirons de nouveaux interrogatoires.
— J'irai quand même, s'exclama-t-elle, obstinée.
* * * * * * *
Emma attendit qu'Isabella s'occupa de ses corvées pour filer aux bois. Elle s'avançait prudemment, sans aucun bruit. Une douzaine de minuite après, le siège de bois, que personne n'a le droit de dépasser, s'offrit à sa vue. Elle s'arrêta net et se retourna pour examiner les alentours : pas d'enfants, pas de caméras, pas de Maman. Elle était sur le point de passer à la zone interdite lorsque une main vint se poser légèrement sur son épaule.
— Emma, ma petite. Que fais-tu ici ?
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Défi
https://www.scribay.com/text/958673819/vive-le-bradbury---/chapter/383952
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Défi
https://www.scribay.com/text/958673819/vive-le-bradbury---/chapter/386638
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— Votre Majesté, Votre Majesté, réveillez-vous, c'est...c'est... épouvantable !!!
— Qu'y a-t-il, Augu...stiiine ? Est-ce un tremblement de terre ?
— Non.
— Est-ce un tsunami ? Alors ?
— Pas du tout.
— Est-ce une explosion nucléaire de la capitale ?
— C'est pas ça... C'est...
— Ouf, Augstine, si ce n'est pas une de ceux-ci, alors ce n'est pas très alarmant, laissez-moi dormir ou c'est la guillotine...
— Votre Majesté, c'est le pire du pire !!! Le peuple est en révolte !!!
— Comment ça ?!? Que dis-tu ???
Le roi, à l'aide de ses serviteurs, s'habilla rapidement puis partit dans sa limosine. Sur la route vers le centre de la ville, Augustine, sa première ministre, lui expliquait la situation.
— Tout le monde, les policiers, les gendarmes, les médecins, les journalistes, les ingénieurs, les artisans, les sapeurs-pompiers, les professeurs, les...
— Tu ne vas pas quand même citer tous les métiers du pays, Augustine.
Celle-ci essaya de dissumuler sa nervosité, alors que le chauffeur souriait à la dérobée. Elle inspira une longue bouffée d'air puis continua :
— ...Marchands ont délaissé leurs travaux ce matin et se sont regroupés devant le parlement. Ils ont réussi à se faufiler à l'intérieur du bâtiment et l'ont complétement détruit !
— Et que font les policiers ? Et les gendarmes ?
— Ce sont eux qui ont débuté les émeutes !!!
— Comment ça ? Que veulent-ils après tout ? Euh ... Je ... voulais dire pourquoi ils sont en colère ?
— D'après un citoyen, vous et eux le savent et c'est inutile de le mentionner. Mais... ( elle racla sa gorge, se rapprocha du roi et dit à voix basse ) ... Moi, votre première ministre, ne suit au courant de rien... Pourriez-vous m'expliquez ce qui se passe, Votre Majesté ?
Le roi resta interloqué : c'est vrai qu'il avait participé à beaucoup de travaux illégaux avec d'autres gouverneurs, même avec ses ministres et les gens bourgeois, dont leblanchiment d'argent, vente d'armes de destruction massive, élections non démocratiques soutenues par lui-même...) mais personne n'était au courant, alors comment est-ce que ce maudit peuple avait su ceci ? Est-ce un complot ? Il n'en savait rien ...
Soudain, un horrible son l'arracha de ses pensées : c'était les huées du peuple en voyant la limousine du fameux roi s'approchait, ils criaient tous à voix haute, et il croyait entendre ce qu'ils disaient : Tuer, voler, c'est ce que le roi faisait !!!
Il avait la chair de poule, sa fréquence cardiaque augmenta rapidement et il pouvait entendre son coeur battre comme un tambour assourdissant. Augustine, terrifiée, montra du doigt un point lointain. Le roi se tourna brusquement et hoqueta instinctivement. C'était indescriptible, jamais de sa vie il avait vu de pareil !
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