Ballerines imparfaites, oiseaux dépressifs, balayeurs symboliques et automates trop gourmands : telle est la galerie de personnages réunis dans ces nouvelles. Guirlandes de petits drames et absurdités de la vie, elles racontent toutes à leur manière la peur du temps qui passe.

« Postez dix pochettes d'albums qui ont compté pour vous, sans explication » peut-on lire sur les réseaux sociaux.
Si le jeu m'incite à replonger dans ma CDthèque, rendue obsolète par les applications de streaming, elle me donne envie d'expliquer, justement, et d'écrire sur ces instants musicaux qui ont ponctué ma vie.

Projet en dix chapitres, pour dix albums et les souvenirs qu'ils réactivent.

Monologue.
Saynète où une plus ou moins mythologique jeune femme renonce à son passé - rite de passage vers sa nouvelle vie, et son nouveau statut, avec le poids de la légende sur ses petites épaules. Le solennel, ça finit par faire un peu mal au dos.

Il est bien difficile de donner à qui que ce soit des conseils d'écriture. Ce texte propose quelques notes de travail, et une réflexion personnelle sur ce que signifie - à mes yeux - le travail d'écriture. (En réponse au défi "Dites-nous tout" de Miss Machin.)

Méditation sur la mélancolie des ruines à la Hubert Robert, en réponse au défi "De la peinture à l'écriture".

Lorsque la narratrice retombe sur un vieux collier en forme de chat, des souvenirs de son adolescence affleurent. Elle se rappelle un après-midi d'été, une soirée d'Halloween, et son expérience présente se colore différemment à la lueur du passé qui ressurgit.

Deux époques qui se répondent et se complètent.
Tout ça à cause d'un collier débile en forme de chat.

Fiction rédigée à l'occasion des 24 heures de la nouvelle 2016. Chapitrée, pour plus de confort de lecture.

Modeste proposition pour le dernier atelier d'écriture.
Une petite chronique rêveuse, inspirée par les temps qui courent.

Nord Pas-de-Calais, années 2000.
Afin de se faire accepter par un groupe d'amateurs, Max, 18 ans, plonge corps et âme dans le métal extrême.

Extraits du roman écrit dans le cadre de l'Académie.

Dryade est un poème qui date de 2006, l'année de mon baccalauréat. Il est mon dernier texte que j'ai écrit avant un arrêt total de l'écriture dite "littéraire" qui durera sept ans, dû à un blocage et au sentiment de ne jamais réussir à bien faire.

Mes écrits de l'époque sont jeunes à tous les sens du terme. Trop gothiques, plein de maladresses.
Ce sont des vers libres car je n'étais pas capable de compter correctement les pieds.
Mais ils trahissent des obsessions similaires de celles que j'essaie aujourd'hui de mettre en mots.