Laukeat
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Défi
« Le grand Nietzsche a dit : si une femme veut du sexe, elle l’aura. Si un homme veut du sexe, il branlera ! ». (...) Et il ajouta avec une moue réprobatrice : « nous avons là, la preuve indiscutable de la méchanceté des femmes ! » Il y aurait tant à dire et à écrire au sujet de cette réflexion, éclose dans un contexte de pouvoir, de contrôle et de maîtrise. La côte d'Azur que mentionne ce défi ? Je connais bien, j'y ai grandi. Sous le soleil cuisant, point de place à la moindre zone d'ombre ou de remise en question : il faut être aimable, lisse et poli(e)... voilà pourquoi je ne m'y suis jamais sentie acceuillie. Au travers de ces quelques lignes, je souhaite orienter mon propos vers la liberté, au travers du prisme de ma féminité. Encore aujourd'hui, une femme qui désire est une femme ambitieuse, égoïste et prétentieuse... ou encore dangereuse, manipulatrice et non-vertueuse. Je suis de ces femme qui s'assument et s'émancipent. Qui n'ont plus peur de frapper du poing sur la table, de parler trop fort ou de prendre les commandes. Est-ce que cela me porte préjudice ? Oui. Est-ce que je suis prête à y rennoncer ? Certainement pas... Alors très cher moniseur, si je vous parrais méc
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A toi vieille amie,
qui a frôlé mon coeur et marqué ma vie,
je te remercie pour ce que tu m'as appris.
D'aucun diront que ta visite avant l'heure,
était source d'un véritable malheur,
elle était pour moi source d'ardeur.
Sans toi je n'aurais jamais su,
que tout vaut la peine d'être vécu,
libérée de toute retenue.
Lors de notre prochaine rencontre,
je n'irais pas à ton encontre,
mais attends toi à ce que je te montre...
L'honneur avec lequel je t'accueillerai,
La fierté des péripéties surmontées,
La richesse tirée de chaque difficulté.
Je n'ai plus peur de te revoir,
et s'il faut choisir comment leur dire aurevoir,
Ce sera le coeur rempli d'espoir.
Le moyen m'importe peu,
tant que mon esprit est heureux,
Je rejoindrai les cieux.
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Défi
Lettre ouverte à ces quelques scribayens qui me sont chers et se reconnaîtront ..
J'avais oublié.
Oublié à quel point il est doux de dévoiler sa vulnérabilité plutôt que de chercher à tout prix comment la dissimuler.
Si vous saviez... au quotidien, lorsqu'ils sont jeté sans amour, sans douceur, les mots me font parfois l'effet d'un coup de marteau.
Mais dans cet espace qu'est le nôtre je cesse de couler, je reprends confiance et laisse mon imagination flotter.
Au fil de nos échanges vos univers m'inspirent, me font voyager, rire et pleurer.
Mon esprit file droit sur un nuage et survole les obsatcles qui l'entravent.
Vos plumes ont du génie, de l'espoir et de la magie.
A nos sensibilités qui se ressemblent, s'assemblent et nous rassemblent,
Merci.
L.
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