Première tentative de writober, si j'ai bien compris les règles.
J'ai fait des petits textes cours à chaque fois. J'ai aussi essayé de varier les formats et les manières de raconter.

Où est mon sac à dos? Je l'avais laissé juste là, à l'ombre des arbres! Il n'y est plus... Au revoir petit sac, je ne te reverrai sans doute jamais. Tu étais mon préféré. Tu m'a accompagné sur tellement de distance, ton poids était si discret. Au mais! Bon... S'en va silencieux.

Jolis couvertures, tant pis j'écris. Pas le temps de l'ouvrir, je n'ai rien à cacher. Ni à montrer, mais qui tient un journal? Qui écrit pour ne rien dire?

J'ai essayé de varier les sujets en restant dans le thème.

Timmy est un personnage de Jeu de rôle et vous prenez les décision pour lui. Mais ce récit est une méta parodique sur la prise de décision dans les médias. Timmy n'a pas le choix mais vous n'ont plus.
Mais l'histoire à votre service vous propose des choix.
Si vous êtes curieux, mais n'avez pas compris lisez la partie 1.
Si vous avez tout saisit ou déjà lu la partie 1 lisez la future partie 2.
Si ca ne vous intéresse pas, vous pouvez lire la partie qui vous intéresse (dans le principe ca vous intéresse pas alors vous n'êtes plus là pour lire ce choix)

Désolé, pour ce texte. J'ai fait des erreurs qui pourrait creuser sa propre tombe. En espérant que tout cela reste bénins.

La nuit est longue, la journée entière même. Et soudainement un bruit opportun.
Toc toc.
J'ouvre la porte, je vais voir, moi qui n'ai jamais de visite.
Personne. Il n'y a personne à la porte. Juste la brise glaciale d'une nuit sans étoile.
L'avenue est vide, aussi vide que mon âme. Je n'ai personne à voir, personne avec qui échanger.
Je referme la porte, je sens une légère présence ... Je ne suis pas seul.
Je l'interpelle "Bonjour ? C'est vous qui avez frappé à la porte ?". Nulle réponse ne se fait entendre.
Pourtant, cette sensation persiste. Je ne suis pas seul. Je fais le tour de ma maison, je cherche dans le jardin et j'observe en large. Je la trouve, une éphémère silhouette discrète et effacée.
Je l'interroge "Que faite vous seul si tard, pourquoi avoir toqué à ma porte ? "
J'entends une réponse soufflée à ma conscience.
"Je ne suis jamais seule car je suis la solitude ! Quel son aurait un éclair s'il n'y personne pour l'entendre ? Quel espoir aurait une vie sans personne avec qui le partager ? Je ne suis pas là pour te faire souffrir, juste pour te rappeler qui je suis. Et peut être, tu apprécieras ma présence..."
Je résume "Je suis seul, mais sans vraiment l'être ?"
La réponse vient "Oui, c'est juste que je n'exige rien. Considère juste que la solitude n'est pas, car au fond, je n'existe pas. Quand tu purifieras ta perception, cela sera évident."
Je me demande "Mais si elle était réelle?"
Elle poursuit "Alors ce serait un refus d'existence, une sorte de mort. Mais rassure toi, considère moi juste comme une émotion, un ressentis, car c'est réellement ce que je vise. Quelque chose qui n'a pas besoin d'employer des mots."
J'acquiesce, et je rentre chez moi souriant. Je me suis trouvé une nouvelle amie.

Combien de temps peu t'ont rester enfermer dans son propre monde ? Un système construit de nos habitudes et attente ? Trop longtemps ? On peut avoir l'impression d'être coincé dans une boucle en attendant que cela se brise. Les paysages auront beau changer, le point de vue aussi, cela resteras la même histoire.
Mais trêve d'introspection, Doyle Nixon, pour vous servir, détective à tout faire. Il vous aide à trouver votre chemin, à retrouver les personnes disparues, à combattre la mort... Peu importe que vous êtes idéaliste, stricte ou joueuse, tant que cela lui fait fuir l'ennui. Tout est dans le titre. Voici les 13 chapitre. Ce n'est pas parfait alors n'hésitez pas à commenter. (Et ne commencez pas votre lecture par la fin)

Je viens de rentrer, on frappe à ma porte. J'ai encore assez d'énergie social pour une personne, j'ouvre donc...
"Bonjour, le champion" Je voit un blond, chemise ballante, avec un carnet en main.
"Bonjour ? Et vous êtes ?"
"Sérieux ? Vous n'avez pas l'œil. Je suis le Talents, et oui ! Tu ne sais pas lire dans l'aura des gens toi."
Je fais un non de la tête "Je ne crois pas. Vous êtes venus faire quelque chose en particulier ?"
"Eh bien, quel manque d'enthousiasme ! Le talent, il est en face de toi ! Bref, je passe chez les gens comme ça distribuant des choses à ma guise. Le genre de truc que font les avatars des notions abstraites."
Il tend un stylo vers moi et reprend. "Tu l'as compris, tu vas gagner un nouveau talent mon champion ! Level up ! Et... voilà, c'est fait ! Alors ça fait comment ?"
Je ne me sens pas particulièrement changé. Je n'ai pas ressenti du picotement ou quoi que ce soit. Je lui demande "D'accord... Mais, c'est quoi ma 'nouvelle capacité' ? J'avoue ne pas avoir senti grand-chose."
Il met sa main sur son front." Il faut tout lui dire... Tu dois le découvrir toi-même. Tu devras tenter des trucs. Et, écoute, voir même, sortir de ta zone de confort. Allez, j'ai fait mon boulot, au suivant !"
Je l'intercepte "Attends, est ce que je peux demander une faveur... J'ai du mal avec les gens, est ce que je peux avoir quelque chose pour ça ?"
Il râle " Ahlala... Tu as un don pour me fatiguer. Voilà, c'est fait, maintenant lâche moi la grappe."
Il s'en va frapper à la porte d'à côté.
Je ne sens toujours rien. Mais je pense que j'ai légèrement gagné une assurance... Je ne suis pas sûr.

Alors arnaque ou notion sincere?

C'est un risque n'est ce pas ?
La paralysie du stress.
Le pire serait juste
le faire
Je me lance, je vais
me mettre une pression monumentale.
Alors respire, je vais juste entrer en scène ce n'est juste pas le moment de penser à
pouvoir se plonger dans une fable et s'épanouir dans son expression.
Je suis juste un homme de scène, un conteur d'histoires. Mais ce que je vise juste c'est
la perfection absolue.
C'est le plus important, ça n'a pas d'importance si ce n'est pas
un moment où je ne me plais pas dans ce que je fais.
J'ai travaillé le tout, je suis prêt, il faut juste faire attention à ce qu'il n'y ait jamais
une erreur bénigne, un petit temps de suspension pour le public, la moindre des fautes
Et ce n'est pas comme si je ne m'étais pas préparé, et si j'oublie un peu mes mots ce serait
similaire à un spectacle d'impro un peu gênant.
Ce serait ridicule, quoi que comique, mais au final ce ne serait juste que
la présence d'un homme stressé.
Allez, souris, il faut juste offrir plus que
la simplicité d'un bon moment, rêver l'espace d'un instant.
Mais, après tout, je sais ce qu'ils veulent vraiment.
Il leur faut le meilleur, la perfection.
Le public n'attend que ça.
Concentre-toi, tu le sais très bien ;
Je ne serai jamais prêt.

Une caricature personnelle face à une métaphore de la remise en question. Je poste, mais s'il y a des points ou je ne suis pas satisfait, car : quel est l'intérêt de se poser encore des questions si toutes nos réponses sont satisfaisantes.

Toc toc,
J'ouvre.
- Cela fait combien de temps ?
- Bonjour, premièrement. Et je ne crois pas vous connaître ? Vous êtes qui ?
- Tu fuis encore ? Il n'y a pas de réponse dans la fuite, tu ne fais que t'éloigner de ce qui est le plus important. Tu ne peux pas ignorer le monde dans lequel nous vivons, toute cette souffrance. Tu ne pourras t'isoler éternellement. Tu le sais très bien. L'homme est social et l'humanité va mal. Ils ont besoin de réponse !
- Et alors ? Je ne peux pas changer le monde. Et je n'ai pas la réponse à toutes les questions.
- Tu es intelligent. Tu as des choses à dire, mais tu restes muet. Qu'est-ce qui te bloque. Tu as peur ? C'est ça ? Tu as peur ? Ou alors c'est une autre de tes émotions qui te contrôle ? Ou pire, tu as des fausses croyances ? Des chaînes mentales ?
Il bloque la porte.
- Laissez-moi, je ne suis pas d'humeur. Et en plus, je suis fatigué, allez embêter quelqu'un d'autre.
- Il me reste des questions, ou plutôt, tu as besoin de réponse. Car quand seras tu d'humeur ? Il sera peut-être trop tard, le temps n'attend personne. Ta réalité à besoin de toi.
- Vous ne savez rien ! Je ne vous connais pas ! Et je vous ordonne de partir.
- Quoi ? Mais je suis toi ! Tu m'ignores, car je ne fais juste pas partis de ta zone de confort. Ta conscience est endormie et elle hurle de se réveiller. Ouvre les yeux ! Réveille-toi !
- Mais je ne veux pas ! Tu es fou ! Tu es complétement malade !
- Tu sais bien que tu ne peux pas lutter contre toi-même ! Affranchis-toi de tes règles de bonne conduite, fais ce qui résonne en toi ! Écoute ta voix intérieure où tu le regretteras à jamais !
- Tais-toi ! Je ne peux pas faire ça ! J'ai trop de pensée, trop de pensée parasite. Je ne peux pas perdre le contrôle. Tu devrais le savoir. Je ne suis pas une bonne personne pour suivre mon cœur. Je me contenterais d'être comme tout le monde, une vie normale. Comme le voudrait le monde. Des sentiments naturels...
- Tu es complétement aveugle. As-tu perdu toute ambition ? Ne souhaites-tu plus être plus que toi-même ? Tu es brisé, mais tu refuses de te réparer, et tout cela au nom de la bonne conscience. C'est toi le plus fou entre nous deux.
Il lâche la porte.
- Désolé...
- Tu ne pourras pas m'ignorer éternellement. Ne sacrifie pas ton futur au nom du confort.
Je ferme la porte, et je l'oublie, car je suis sain d'esprit.