Jérémy S
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Défi
Réponse au Défi « En 6 mots ». J’en ai fait ce que j’appelle un recueil de l’imagination, où l’on peut inventer tout types d’histoires à partir de six mots.
Bonne lecture !
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Défi
Réponse au défi "Ecrire en s'inspirant d'un tableau"
Lancé par Alexia Jacob
En 331 avant J.-C, Alexandre le Grand et ses armées envahissent la cité de Persépolis, connu pour être la "plus glorieuse des cités". Persépolis devait être imprenable, mais ni Ahura Mazda, ni les grands remparts de la ville ne purent retenir le légendaire macédonien. En mai 330, Alexandre ordonne l’incendie des palais, dont le palais de l'Apadana puis le massacre de ses habitants.
Ce qui surprend le plus, c'est qu'Alexandre ne permettait pas aux grecs de piller les villes qu'ils venaient de conquérir, souhaitant préserver la dignité des peuples qui y vivaient. Selon les historiens, Alexandre voulait montrer à ses sujets qu'ils vengeraient tous les grecs victimes des guerres médiques, survenu environ 150 ans avant ces événements.
Et si les historiens n'avaient pas identifié la vraie raison de cette destruction ? Peut-être avait-il découvert le secret d'une civilisation protégée jusque là par les Perses, et par peur, il voulut effacer toutes traces ..
Le tableau est Alexandre le Grand et la famille de Darius et a été peint par Beaumont Claudio Francesco. Il date du XVIIIe siècle. Il est actuellement conservé au musée des Beaux Arts à Chambéry.
Lancé par Alexia Jacob
En 331 avant J.-C, Alexandre le Grand et ses armées envahissent la cité de Persépolis, connu pour être la "plus glorieuse des cités". Persépolis devait être imprenable, mais ni Ahura Mazda, ni les grands remparts de la ville ne purent retenir le légendaire macédonien. En mai 330, Alexandre ordonne l’incendie des palais, dont le palais de l'Apadana puis le massacre de ses habitants.
Ce qui surprend le plus, c'est qu'Alexandre ne permettait pas aux grecs de piller les villes qu'ils venaient de conquérir, souhaitant préserver la dignité des peuples qui y vivaient. Selon les historiens, Alexandre voulait montrer à ses sujets qu'ils vengeraient tous les grecs victimes des guerres médiques, survenu environ 150 ans avant ces événements.
Et si les historiens n'avaient pas identifié la vraie raison de cette destruction ? Peut-être avait-il découvert le secret d'une civilisation protégée jusque là par les Perses, et par peur, il voulut effacer toutes traces ..
Le tableau est Alexandre le Grand et la famille de Darius et a été peint par Beaumont Claudio Francesco. Il date du XVIIIe siècle. Il est actuellement conservé au musée des Beaux Arts à Chambéry.
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Défi
En me réveillant ce matin, j'avais tout compris. C'était la fin.
Notre monde allait être détruit, par nous-même. Tant d'années à tout saccager, à tout détruire pour le petit confort de certains.
Notre monde allait être détruit, par nous-même. Tant d'années à tout saccager, à tout détruire pour le petit confort de certains.
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Il était une fois un jeune homme bien impatient de rencontrer le grand amour…
Un matin, sortant de sa petite maison familiale, il devait se rendre au village afin d’aider à la construction d’un pont. Il espérait et en même temps redoutait de la croiser. Sophia, une fille dont il était éperdument amoureux. Il lui avait fait part de ses sentiments mais malheureusement, le coeur de Sophia était déjà pris.
Sac à dos rempli d’outils, il arriva bientôt au village, où il croisa en premier le boulanger.
— Bien le bonjour, Hector ! s'écria ce dernier.
— Bonjour Monsieur Twenfolck !
Hector et sa famille étaient appréciés de tous dans le village. Ils avaient toujours répondu présent quand il le fallait, et leur gentillesse faisait d’eux des gens très sociables. Bien que, ces derniers temps, Hector s'était un peu isolé.
“Les autres ne font jamais rien pour moi, alors je vais arrêter d'être bienveillant et d’aider tout le monde” avait-il dit à ses parents quelques jours plus tôt.
“Ne deviens pas égoïste, tu le regretteras tôt ou tard” lui avait alors répété son père et sa mère.
Malgré ces mots, Hector était encore jeune, il lui fallait apprendre.
Afin d’apprendre, il devait expérimenter certaines épreuves de la vie, et il comprendrait alors les mots de ses parents.
Hector arriva au pont en construction avant les autres ouvriers, seul le chef de chantier était présent. Sans un bonjour, ce dernier lui fit signe de se mettre au travail immédiatement.
“Même pas un bonjour alors que je suis le premier arrivé”
La journée fut difficile, et Hector n'avançait pas énormément sur son travail. Il avait vu au loin Sophia plusieurs fois, au marché, son coeur se serrant dans sa poitrine à chacune de ses apparitions. Cela ne l'empêcha pas de rester plus tard que tous les autres ouvriers, et il se retrouva bientôt seul alors que le soleil se couchait. Les premières étoiles faisaient alors leur apparition dans le ciel.
En partance et rassemblant ses affaires, il entendit un bruit provenant de la rivière sous le pont en construction.
— Qui est là ? s’exclama Hector.
Une forme commença à naître dans l’eau, et finit par se transformer en petite vague devant Hector.
— Bonsoir Hector, dit une voix provenant de cette forme.
— Bon..bonsoir, qu'êtes vous ? dit Hector, qui pensait halluciner.
Je suis l’Esprit de la Rivière, je t’observe depuis quelques jours. J’ai une proposition à te faire.
Hector resta muet.
— Je vais t’offrir deux choses dont tu rêves plus que tout, celles de ton choix. Nous nous reverrons dans un mois pour voir si tout se passe bien.
— L’amour de Sophia ! cria Hector sans hésitation.
— L’amour de Sophia… ça fait un.
— Je ne sais pas pour le deuxième..
Cette proposition semblait être montée à la tête de Hector, et il ne se posait même plus de question sur cet esprit.
— J’aimerais que le pont soit terminé demain matin, et que tout le monde sache que c’est moi qui aie fait le travail seul.
— Très bien, répondit l’esprit. Demain matin, tes deux souhaits seront exaucés...
La petite vague retourna dans la rivière, et Hector se dépêcha de rentrer chez lui, heureux de ce qui venait de lui arriver. Il était tellement excité de savoir que demain, il ne serait plus le même…
Hector se réveilla le lendemain matin, le sourire aux lèvres. Il n’eut pas le temps de se lever, que l’on frappa à la porte de sa petite maison.
Il se leva rapidement, ses parents encore endormis, et ouvrit la porte d'entrée. Il n’eut pas le temps de réaliser ce qu’il se passait que Sophia lui sauta au cou. Il venait de réaliser que le premier voeu avait fonctionné.
— Alors on a fini seul le pont cette nuit mon amour ? demanda Sophia avec un grand sourire. Elle semblait différente de d’habitude.
— Oui, dit Hector d’un air fier.
— Viens, tout le monde t’attends.
Elle le prit par la main et ils partirent en route vers le village, où tous les villageois semblaient attendre Hector.
— Bravo mon grand ! Tu nous as rendu un fier service ! s’exclama le chef de chantier qui vint lui serrer la main.
Tout était beau, tout le monde voulait le voir, lui serrer la main, le féliciter. Tout avait pris une nouvelle dimension. Ce n'était plus le jeune homme que tout le monde apprécié sans plus pour sa gentillesse, il était maintenant populaire.
Sophia lui tenait très fort la main et n'arrêtait pas de lui sauter au cou. Elle était très différente, elle qui d’habitude était si réservée et timide, ce qui plaisait tant à Hector. Elle paraissait dorénavant extravagante et superficielle.
Les jours passèrent et Hector aimait sa nouvelle vie, il filait le parfait amour avec Sophia, il l’avait maintenant tout ce qu’il désirait. Il avait même emménagé avec Sophia dans une très belle maison que le village leur avait offerte. Tout paraissait se dérouler pour le mieux, mais quelque chose en Hector commençait à naître… Il ne voulait pas se l’admettre, mais il avait honte. Il savait au fond de lui qu’il ne méritait pas tout ça. Il avait forcé en quelque sorte Sophia à l’aimer, et il n'avait pas vraiment terminé le pont…
Avait-il volé à Sophia sa vie ? Il était en train de se rendre compte de son égoïsme.
Il décida de prendre l’air, mais ce qu’il vit ne l’aida pas. Il croisa Edward, accablé contre un mur, avec une tenue dépareillée. Lui, un garçon noble, dans cet état ? Edward, les yeux rouges de fatigue, le regarda.
— Hector.. elle est partie, dit-il doucement.
Il semblait complètement déprimé et souffrant.
— Sophia est partie comme cela, sans rien dire, après six ans d’amour. Elle fait mine de ne pas me reconnaître quand je la croise dans la rue, je ne comprends pas..
Hector comprit qu’elle ne faisait pas semblant de ne pas reconnaître Edward, elle ne savait plus qui il était. L’Esprit de la Rivière avait tout effacé. Hector ressentit une grande culpabilité.
— Je vais arranger ça, Edward, dit-il avec un sourire gêné.
Il rentra chez lui, mal à l’aise. Il n’osait plus regarder les gens autour de lui. Chez lui, il ne pouvait plus se voir dans un miroir. Il décida d’attendre le retour de l’Esprit pour lui demander d’annuler si possible ses voeux.
“Nous nous reverrons dans un mois..” avait-il dit. Cela tombait ce soir. Hector avait pris sa décision, il se rendit compte de sa bêtise et de son égoïsme, et son choix était fait. Il aimait trop Sophia pour lui voler sa vie.
Il n’avait pas réfléchi aux conséquences terribles que pouvaient avoir ses actes.
Il attendit que la nuit tombe, et il se rendit au même endroit qu’il y a un mois.
Au bout de quelques minutes, l’Esprit fit son apparition.
— Bonsoir Hector, alors es tu satisfait ?
— Bonsoir, non j’ai honte de ce que j’ai fait.
— Très bien, comme je te l’ai dit je t’ai observé pendant quelques temps, et je voulais te montrer qu’il ne faut pas forcer les choses, et qu’il ne faut pas prétendre des choses que nous n’avons pas faite. Tout se paye, et tout se mérite, Hector. Pour le pont, tu as dû comprendre qu’on ne peut pas vivre avec ce genre de mensonge, et pour Sophia tu as compris que l’amour ne se vole pas, il se ..
— Partage.
— Exactement, l’amour ne se vole pas, il se partage entre deux êtres. J’ai beau changer les choses, la fille que tu aimes n’était pas la même. Je vais annuler tes vœux, et tout rentrera dans l’ordre. N’oublie jamais, ne sois pas égoïste, sois bon.
— Merci, je n’oublierai pas.
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Tu as tant de noblesse
Et l’on ignore ta tendresse
Le plus fameux des canidés
Des histoires tu as tant inspirées
Fantastique, mythologique
Ta beauté est énigmatique
Tes hurlements sont symboles de terreur
Et de notre côté nous avons commis tellement d’erreurs
À te chasser sans relâche
Car nous sommes des lâches
À avoir toujours peur de ce que nous ne comprenons pas
Nous ne voyons pas ce qui nous échappe ici bas
Par ceux qui t’admirent pour ta beauté
Mais aussi pour ta grande loyauté
Tu es aimé, et tu seras protégé
Toi le loup, pour qui j’ai tant de respect
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Je ne trouve pas les mots
Pour te prouver ce que tu as fait
Tant de propos
Qui ont ouvert tellement de plaies
Tu dois regarder de ta fenêtre
En sachant au fond de toi ce que tu es
Ce monde que tu aurais pu connaître
Mais tu n’es plus du bon côté
Magnanime j’étais dans le passé
Juste je suis désormais
Du mauvais côté tu resteras
Parce que tu as fait les mauvais choix
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Oh pays des mille collines
Qui a connu tant de tortures et de doctrines
Mais aussi de grands héros
Qui n’ont pas hésité à défendre ton drapeau
Par ce que tu m’as fait voir
Tu es désormais pour moi un motif d’espoir
Mais aussi un exemple de courage
Pour nos pays d’un autre âge
Il te reste des progrès à faire
Cependant tu as vaincu l’enfer
À tout ceux qui t’ont hai
Je répondrai : une grande histoire, pour un beau pays
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Deux billes vertes contenant une fente noire
Me regardant avec grand espoir
Cette friandise pouvant changer sa journée
Et qui me permettrait d’être en paix
Petit chat tacheté allongé sur un meuble de bois
Se croyant plus têtu que moi
Qui craquera le premier
Et aura son orgueil blessé
Petite victoire pour moi
Ou attente standard pour ce chat
Qui fera sa loi
Et gagnera ce combat
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