CLAUDE MOULIN
j'aime écrire, j'aime partager
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œuvres
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défis réussis
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"J'aime" reçus
Œuvres
Je l'imaginai, , je la rêvai, je la dessinai, je la peignai, je l'encadrai.
J'ai entendu sa voix , j'ai lu ses écrits, j'ai tout aimé, j'ai adoré.
Je l'ai prié, j'ai insisté, je l'ai convaincu, elle est venue, elle était là.
Elle est devenue réalité, sa présence un cadeau, son sourire un délice.
Sa voix un apaisement, son visage une lumière, son regard l'horizon.
Ses écrits une parure de diamants, sa lecture la noblesse du cristal.
ses commentaires une référence, son analyse un modèle de maturité.
la garder, la supplier, la retenir, un besoin, un plaisir, une source vitale.
Elle est parti, le vide, le manque, difficile, impossible, la souffrance.
Que faire, oser, avouer, se livrer, espérer, se ridiculiser peut être.
Ou alors, vivre de désirs, de pensées, d"émotions, de respect.
Difficile d'enfermer des sentiments, les maitriser, les délivrer ?...
Sobriété des mots, retenues, rêver du sublime, espérer un signe.
Elle est lumiére, elle est magicienne, elle est femme inoubliable.
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C’est allongé au coin d’un bois, que notre malicieux goupil le museau plongé entre ces pattes avant, fait le point sur sa vie.
Qu’il était bon le temps ou les poulaillers étaient ouverts aux quatres vents.
Que le chien de chasse restait impassible et nous accordait le droit de visiter la ferme.
Que le chasseur n’était équipé que d’un mauvais fusil et de pétards mouillés.
Que nos terriers étaient des refuges respectés et restaient inviolés.
Que les manteaux ou tout autres attributs n’étaient fait que de peaux de ruminants et autres cervidés.
Aujourd’hui notre avenir n’est plus qu’incertain c’est le modernisme comme le dit si bien l’homme du vingt et unième siècle!.
Le chien à été remplacé par ses meutes ratissant tout , sanguinaires à souhaits.
Les poulaillers sont des forteresses modernes et inviolables.
Le chasseur motorisé , associé à une vingtaine de sbires est devenu le roi de l’embuscade.
leurs vieux fusils sont remplacés par des armes automatiques.
La préférence de ces dames de luxe ,le top le port d’une fourrure à notre éffigie.
Nos refuges sont inondés de gaz et détruits à la pelleteuse.
Que nous reste t il le désespoir ou peut être l’ouverture d’un monde tolérant.
Pauvre nature!
Claude Moulin
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Etonnante découverte, subtile rencontre.
pour t'écrire, je te tutoierai, pour te parler,
ce sera plus facile. Je ne crois pas avoir jamais
rencontré femme de cette grandeur, bien sûr
tes talons te réhaussent, mais je parle de l'âme,
de tes connaissances, de tes valeurs, de toi.
J'aime à te lire, t'écouter chanter, t'écouter parler.
J'aime ce que tu es, ce que tu représentes.
Alors, je suis surement trop lourd.
J'y peux rien, je suis fan, tu as tellement de
cordes à ton arc. Le problème c'est que vous les
femmes d'exception, dès que l'on vous parle sincèrement,
vous croyez que l'on veut vous baiser...
Hé bien, ll existe encore des mecs qui ont du respect.
Même plus, de l'adoration, du plaisir à partager.
Petite parenthèse, nue étendue devant moi, je te
laisserai pas comme ça...rire...
Je te couvrirai d'un manteau...Galant en plus!
J'espère que tu souriras à mes mots.
Tu es dans mes pensées.
Claude.
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Questionnaire de l'Atelier des auteurs
Pourquoi écrivez-vous ?
ECRIRE.... Prendre une plume, un stylo, noircir une feuille blanche. Exprimer des pensées, s'inspirer du moment, livrer les mots du cœur ! Assembler verbes, adjectifs, et autres, donner un sens, créer, se dévoiler. Je ne peux dire quel est cet élan conduisant ma main, jouant avec les mots, traçant cette partition, dessinant des ombres ressemblant à des phrases. Donner vie à une feuille blanche est ma passion. Votre lecture donnera chair et sens à mes écrits.