FlammeLune
Les plus lues
de toujours
Défi
Aujourd'hui, sera peut-être le dernier jour de ma vie,
J'ai 18ans je suis Gay; oui j'aime les hommes, sexuellement comme sentimalement.
Longtemps brimé cette parti de moi.
Quand je me regarde dans un miroir je me dégoute, suis-je un monstre ?
C'est ce que me répète tout les religieux du monde, difficile d'aimé dieu
quand celui-ci me destine a la géhenne.
Mais pas tout ces fils qui ont la haine envers moi.
M'insulte, M'harcelle, me crache dessus, me frappe, me tue...
Simplement car j'aime la bite ?
qui a le comportement le plus désordonné ?
Moi qui prend mon pied ou ceux qui me violente ?
PUTAIN oui je souffre oui, j'ai la haine !
Laissez moi vivre, kiffez ma vie elle est si courte.
Je veux aimez, Baiser a outrance, vivre une relation passionée.
Comme tout les jeunes de mon age.
Embrassé l'être qui m'est cher sans risqué de mourir.
ne plus me cachez, sortir du placard, vivre ma putain d'existence ! MERDE.
... ... ...
Mon frère a découvert mon secret... Il a tout balancé a mes parents, ma mère pleure, mon père ma frappé et ensuite renié car je cite "ici pas de PD".
Leurs regards ont changé, je ne suis plus leur fils mais " La Tarlouze de service"
J'en est marre ... Je ne tiens plus...
Ce monde blasphémant mon humanité, n'est pas fait pour moi.
Papa, Maman, Petit frére.
Je vous aime excusez moi d'être qui je suis.
Adieu.
Votre Fils bien-aimé.
4
5
20
1
Défi
Lune, ma belle amie ! Tu me suis depuis ma tendre enfance, tu connais mes secrets et mes peines. Je t'ai souvent insultée en plein milieu de la nuit, nourri de ta lumière, dévorée du regard tel de sensuels préliminaires.
Mais aujourd'hui tu m'as abandonnée, tu t'es eclipsée . Sans un au revoir, ni même un adieu d'ailleurs.
Seul, dans la pénombre, je pleure. Accompagné de Lucifer l'étoile du matin.
Il me raconte à quel point la vie peut être cruelle, comment il s'est retrouvé déchu, poignardé, les ailes arrachées, enfermé par Dieu et sa milice d'anges.
Mais lui aussi fini par m'abandonner
Donc si j'ai compris
Ni le paradis ni l'enfer ne veulent de moi.
Solitude éternelle.
Heureusement, il me reste la flamme du briquet.
Pour allumer ma clope.
Elle au moins ne m'a jamais abandonnée, me réconforte quand je pleure, m'écoute....
dans ma folie auto-destructrice, je me conforte.
Et parfois, oui... Parfois
Je me laisse le temps de rêver, de fantasmer.
Je rêve de partir loin de tout, devenir un aventurier.
Écrire un bouquin à bord d'un cargo,
Parcourir le globe à la découverte de nouvelles civilisations.
ou même devenir un punk à chien
Parcourir l'Europe dans un camion avec mon rottweiler et ma fiancée.
Guidé par ce sentiment de liberté
Qui me colle au basques depuis l'enfance !
Ah.....
Fin du rêve; le soleil se réveille, je me prépare un café, je roule ma clope.
Et je pars à la fac.
Triste monotonie .
5
5
24
1
Défi
Ma peine est dévorante tel de centaine petit asticot mastiquant la chair de mon ame.
Mais aussi envoutante, un appel d'air me projetant dans le vide de mon coeur atrophié .
3
0
4
0
Ton amour, doucement, me noie.
M’emmène loin du rivage
Dans mon cœur, crée des clivages.
J'étais un chien sauvage.
Tu m'as mis en cage.
Je suis tombé sous le charme.
Quand ton souffle s’accélère
Que mes canines effleure ta trachée
Mes reins battant la mesure
Mes mains se baladant effleurant la courbe de ton cœur
Je grogne tel un animal
Tel un fou
Je gémis réveille le démon.
La luxure s'empare de mon être.
Toi et moi ne formons qu'une seule chair
Soyons les amants maudits.
Les tourtereaux déchus forcent d'avoir baisé.
Tu es marqué d’hématomes.
Signe d'un acte passionné...
Soyons béni de notre amour.
Banni du paradis
je veux choisir le bien et le mal
Et si l'enfer est éternel
Que risquons-nous
Un amour infini
Ou bien
Une baise jusqu'à la fin de la nuit.
3
0
3
1
Ce soir je me suis demandé, pourquoi écrire ?
Pourquoi poser des mots sur mes sentiments, ces derniers parfois lourds, graves mais jamais exagérés.
Pourquoi exposer ma pensée aux yeux de tous.
Et bien au risque de vous décevoir je n'ai pas la réponse. Ayant dans l'enfance vécu dans un climat de violence, l'écriture m'a aidé à m'explorer, parfois fuir la réalité. Quand je retrouve des vieux cahiers, je suis ému parfois aux larmes. Mes écrits n'étaient pas joyeux ou enfantin, mais refletaient la réalité de ma condition. Un petit bonhomme timide, triste, solitaire et parfois même suicidaire. Et dans toute cette merde j'ai réussi a me construire. Sans l'écriture, je ne serais pas l'homme que je suis aujourd'hui, pour tout vous dire je ne serais peut-être pas là.
Plume, ma plus fidèle amie, exorcise mes démons, soigne mes plaies. Tu es l'allégorie de mon moi profond. Tu t'exprimes avec clarté dans ce brouhaha ambiant.
Merci d'avoir étè là pour moi.
Peace.
2
0
22
1
Vous êtes arrivé à la fin