Le choix de cette illustration, The Pumpkin Tree ou l'Arbre-Citrouille pour le défi "Micro-nouvelles" fait rejaillir des souvenirs. J’en suis l’auteur et souhaite faire passer un message.
Bien à vous

Vends manoir, pas très utilisé et insalubre. Bonne arrivée lumineuse, presque pas besoin d’allumer la lumière le jour. Les portes et chaises sont automatisées ; tout se remet en place sans effort. Sans vis-à-vis, le cimetière en face est souvent calme. Prêt à faire un prix d’ami, car comme vous le savez, on n’emporte rien au paradis. Rien du tout.

Fort souff’le vent Et souffle nuit Mort de foule de gens, Vous La b’êtes ennuie Fuyez fuyez car la vois Là san’ ést fait Vous bris’ à même le sang Tours ne tourne Tout renoue Par ardeur- Rotant des sentiments M’en fous de ta magie J'y fus j’y reste et N’ose pas parler rEn m’agitant r’ainsi

Bonjour, Le choix du mot divorce pour ce défi m'a rappelé un divorce personnel. Il était d'ordre amical, s'est passé il y a plusieurs années et me laisse un goût amer en bouche. Je veux m'en débarrasser.  Au collège j'étais solitaire. Je préférais rester chez moi, terminer mes devoirs en regardant la télé et point. J'étais contraint de sociabiliser, parce que dans la classe c'était l'anti course au harcèlement. Sébastien, petit et potelé, alors que j'étais long et mince essuyait plus d'insulte par le groupe du Fondelaclasse. Il y a un équilibre naturel au collège ; qui n'est pas moqué se moque. C'est dommage qu'on nous ait pas appris les règles de ce théorème-ci. Il est proportionnel. Je le rabaissais presque jamais. Très peu, vraiment je le rabaissais peu, mais je le rabaissais. Je ne faisais que défendre ma place d'avant dernier. Et donc vraiment le jour où il est arrivé avec des collants sous son pantalon, comme une fille, c'était l'occasion rêvée. On était dans les vestiaires de sport. On y reste peu de temps, on enfile un pantalon et on sort. Il retire le sien, je scrute, remarque, hésite et le pointe du doigt en chantant à tue tête que c'est une pédale. (Je précise que j'ai c

à çis au soleil, je ne veux pas. Bouger mais si on reste tout le temps au meme endroit on fait rien si on fait rien on fait rien. March'ons marche et pas a la colonne se remferme en moi qui con, tracte les disques des colonne lourdes et recticourbe, dans les viceres. j'ai la main dans son, retire froid brusque et il est beau, j'aime bien ce batiment. Je sais que...on est voyants ! mais on est pas fluo eh c'est fou de porte une capuche a fourure, tu dis ça quand ya quelq'un qui passe et critique ce qui porte. oh t'imagine prter du violer. T'imagine porter une capuche en comment c'est le materiel ah bah c'est le memeque mon manteau... T'as pas reussi a me crotiquer et tu t'es critiquee, toi même. Ouais ben voila, toi...J'ai un sac comme ça et il me bloquait l'epaule en bandouliere oui, il, je pense que j'ai une tendinite a l'epaule tout le temps et chez l'austeo ça changeait rien. donc le sac, je le porte pas [...]

Un poème par jour autant que possible