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Avertissement : récit érotique gay, ne le lisez pas si ce genre vous dérange.
Tous les personnages ont 18 ans ou plus même si je ne le mentionne pas explicitement pour chacun d'entre eux, afin de respecter les règles de publication de Scribay. Ils sont libres de ne pas accepter les relations sexuelles, mais ils acceptent toujours sinon je n'aurais rien à raconter.
La première partie de ce récit a été publiée sur Doctissimo. Je ne vais pas en faire un résumé complet, le premier chapitre permettra de (re)faire connaissance avec les personnages et de (re)découvrir certains thèmes abordés. Un chapitre de mon récit correspondra en général à plusieurs chapitres sur Scribay. Je publierai environ 1’000 mots à la fois.
Tous les personnages ont 18 ans ou plus même si je ne le mentionne pas explicitement pour chacun d'entre eux, afin de respecter les règles de publication de Scribay. Ils sont libres de ne pas accepter les relations sexuelles, mais ils acceptent toujours sinon je n'aurais rien à raconter.
La première partie de ce récit a été publiée sur Doctissimo. Je ne vais pas en faire un résumé complet, le premier chapitre permettra de (re)faire connaissance avec les personnages et de (re)découvrir certains thèmes abordés. Un chapitre de mon récit correspondra en général à plusieurs chapitres sur Scribay. Je publierai environ 1’000 mots à la fois.
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Défi
Ce défi comporte des scènes homoérotiques, d'où sa classification.
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Avertissement : récits érotiques gays, ne les lisez pas si ce genre vous dérange.
Tous les personnages ont 18 ans ou plus même si je ne le mentionne pas explicitement pour chacun d'entre eux, afin de respecter les règles de publication de Scribay. Ils sont libres de ne pas accepter les relations sexuelles, mais ils acceptent toujours sinon je n'aurais rien à raconter.
Certaines de ces courtes nouvelles ont été initialement écrites pour « À chacun son histoire » sur Doctissimo et Slygame, inspirées d’une photo ; d'autres lors d'ateliers d'écriture.
Tous les personnages ont 18 ans ou plus même si je ne le mentionne pas explicitement pour chacun d'entre eux, afin de respecter les règles de publication de Scribay. Ils sont libres de ne pas accepter les relations sexuelles, mais ils acceptent toujours sinon je n'aurais rien à raconter.
Certaines de ces courtes nouvelles ont été initialement écrites pour « À chacun son histoire » sur Doctissimo et Slygame, inspirées d’une photo ; d'autres lors d'ateliers d'écriture.
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À la suite d’une discussion avec des lecteurs, j’ai décidé de commencer un nouveau récit qui sera moins basé sur le sexe et plus sur la sensualité, afin de rééquilibrer ma production littéraire en parallèle avec l’univers des deux cousins que je n’abandonne pas pour autant.
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Avertissement : récit érotique gay, ne le lisez pas si ce genre vous dérange.
Tous les personnages ont 18 ans ou plus même si je ne le mentionne pas explicitement pour chacun d'entre eux, afin de respecter les règles de publication de l’Atelier des Auteurs. Ils sont libres de ne pas accepter les relations sexuelles, mais ils acceptent toujours sinon je n'aurais rien à raconter.
La deuxième partie n'est pas terminée, je la laisse ouverte au cas où il me viendrait de nouvelles idées de scènes se déroulant entre l’automne 1964 et l’été 1965.
Tous les personnages ont 18 ans ou plus même si je ne le mentionne pas explicitement pour chacun d'entre eux, afin de respecter les règles de publication de l’Atelier des Auteurs. Ils sont libres de ne pas accepter les relations sexuelles, mais ils acceptent toujours sinon je n'aurais rien à raconter.
La deuxième partie n'est pas terminée, je la laisse ouverte au cas où il me viendrait de nouvelles idées de scènes se déroulant entre l’automne 1964 et l’été 1965.
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Défi
L’homosexualité ? Deux énigmes. Pourquoi suis-je homosexuel ? Pourquoi n’ai-je pas découvert que je l’étais à 18 ans ? Je vais donc retourner à cette époque déjà lointaine et essayer de répondre à ces deux questions en me replongeant dans mes souvenirs. Les prénoms seront fictifs, les personnages décrits auront 18 ans ou plus afin de respecter les règles de publication et je me réserve le droit de romancer ces souvenirs.
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Avertissement : ce sont des récits érotiques, ne les lisez pas si le genre vous déplaît.
Le premier chapitre correspond au défi tel qu'il a été proposé.
Le deuxième chapitre est une version gay de l'histoire qui ne reprend pas tous les éléments du défi.
Le premier chapitre correspond au défi tel qu'il a été proposé.
Le deuxième chapitre est une version gay de l'histoire qui ne reprend pas tous les éléments du défi.
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Récit érotique gay qui sera publié en plusieurs parties.
Les mots en gras étaient des mots imposés.
Les mots en gras étaient des mots imposés.
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Défi
NDA Ce texte n'est pas inédit, mais je l'aime bien et c'est l'occasion de lui donner une seconde vie. Il contient une scène de sexe explicite.
J’avais fini par m’endormir, bercé par le roulement du train. Il s’était arrêté et le grincement des freins m’avait réveillé. Je me relevai sur ma couchette, faisant attention de ne pas me taper la tête contre le lit d’en-dessus. Seules quelques veilleuses éclairaient l’intérieur du wagon. J’avais besoin de pisser. Je me levai en faisant le moins de bruit possible, je vis que tous mes voisins étaient profondément endormis. Je décidai de ne pas me rhabiller et me dirigeai vers les toilettes vêtu de mon seul slip blanc. Les habitués de ce train de nuit n’avaient pas fait preuve de pudeur excessive et s’étaient tous couchés en sous-vêtements, hommes et femmes confondus. Je les avais imités. Les compartiments n’étaient pas fermés par une porte.
C’était la première fois que je dormais dans un wagon-lit. J’avais 18 ans. Ma grand-mère était tombée malade au début de l’été et était partie dans un sanatorium à l’autre bout du pays. J’avais deux semaines de vacances et mes parents m’avaient proposé de la rejoindre. Ils avaient pensé qu’une cure ne pourrait pas me faire de mal non plus, l’air pollué de la capitale n’était pas très sain. J’avais été enchanté de faire ce premier voyage seul. Mon père était un haut fonctionnaire du parti et n’avait eu aucune difficulté à se procurer le billet de train sans faire les files d’attente habituelles. J’avais quand même un peu d’appréhension à me retrouver le corps nu enduit de boue par un masseur.
Après avoir soulagé ma vessie, je regardai par une fenêtre ouverte. Nous étions arrêtés dans une forêt sombre éclairée par la pleine lune. Je ne vis pas de signal rouge qui aurait contraint le conducteur à stopper le train. Je me souvins alors que nous passions à l’heure d’hiver ce jour-là. Il nous fallait tout simplement attendre 60 minutes.
Je sentais une légère excitation dans mon slip. Je n’avais pas osé me branler avant de m’endormir, de peur qu’on m’entende. Nous étions quatre dans le compartiment de première classe, j’étais avec une mère et ses deux vrais jumeaux adolescents. Ils m’avaient émus lorsqu’ils s’étaient déshabillés et l’un avait même changé de slip sans se soucier de ma présence. J’avais furtivement vu sa longue bite fine et pâle, surmontée d’une toison blonde. Il m’avait souri, l’air de me dire : « Elle est belle. Elle te plaît ? ». J’avais entendu qu’ils se rendaient dans le même sanatorium que moi, j’espérais déjà les revoir nus aux bains. Je ne me faisais plus d’illusions, je savais que j’étais homosexuel, même si ça allait me causer quelques difficultés dans mon pays peu tolérant.
Alors que je retournai vers mon compartiment situé au milieu du wagon, j’entendis un bruit à l’autre bout, la porte s’ouvrit et quelqu’un monta. Je pensai tout d’abord que c’était le contrôleur qui était descendu se dégourdir les jambes. Non, c’était quelqu’un d’autre : un être très grand, il devait mesurer plus de deux mètres, il avait un manteau noir avec des ornements rouges, de longs cheveux blancs et sa peau me sembla grise. Ses oreilles étaient pointues. Il marcha lentement vers moi. Je restai pétrifié et j’eus envie de crier mais je me retins pour ne pas réveiller tout le monde. Il tendit son bras en avant en me disant :
— Ne crains rien Evgeni, je ne te veux pas de mal.
— Comment connaissez-vous mon nom ?
— Je m’appelle Danil. Je suis un elfe.
— Un elfe ?
Il posa sa main sur mon épaule dénudée, je sentis sa chaleur qui s’insinua dans mon corps, je bandai instantanément. Je mis une main devant mon sexe.
— Ne crains rien, me dit-il.
Il pris délicatement ma main et la mis de côté. Il baissa mon slip, libérant ma bite qui se dressa. Il s’agenouilla et m’aida à enlever mon sous-vêtement devenu inutile. Il continua :
— Tu seras plus à l’aise. Viens, suis-moi, nous n’avons qu’une heure à disposition.
— Mais le train ne va pas repartir ?
— Non, ne t’inquiète pas.
Il me prit par la main jusqu’à la porte et nous sortîmes. J’étais étonné, notre conversation n’avait réveillé personne. Nous marchâmes une cinquantaine de mètres jusqu’à une hutte dont le toit était recouvert d’herbes. Nous entrâmes, il n’y avait qu’une pièce, assez grande. Un feu éclairait faiblement l’intérieur. L’elfe m’offrit tout d’abord une boisson rouge dont je ne pus déterminer le goût. Il me dit que c’était un jus de fruits poussant exclusivement dans cette forêt. Je fus chargé d’une incroyable énergie. Ma bite, qui était retombée, pointa à nouveau vers le ciel. Elle me faisait mal tellement elle était dure.
Danil m’invita à me coucher sur un large lit aux draps blancs. Il ôta son manteau noir. Il avait mis dessous un genre de chemise de nuit, noire elle-aussi. Il s’étendit à côté de moi.
— Excuse-moi d’aller si vite, me dit-il, le temps est compté.
— Pourquoi m’avez-vous fait venir ici ?
— Pour te baiser, mon enfant. C’est la seule fois de l’année où j’ai le droit de faire l’amour avec un humain. Les autres elfes sont pétrifiés pendant le passage à l’heure d’hiver et ne remarquent pas mon incartade.
— Les elfes n’ont pas le droit d’aller avec des humains ?
— Non, c’est interdit.
— Et pourquoi n’êtes-vous pas pétrifié comme les autres ?
— Je ne peux pas te le révéler.
— Êtes-vous un homme ou une femme, je veux dire mâle ou femelle ?
— Je sais que tu préfères les garçons. Regarde toi-même.
Il prit ma main et la posa sur sa chemise de nuit. Je sentis le renflement caractéristique. Elle devait être gigantesque. Il m’invita à la caresser et je la sentis prendre du volume.
— Enlève ma chemise, me dit-il.
Elle avait des boutons sur le devant, je les décrochai les uns après les autres en partant du haut. Je découvris d’abord son torse couvert de poils blancs sur la peau grise, puis le ventre plat et musclé. Le bouton suivant dévoila le sexe en érection, immense, strié de nombreuses veines noires. Le gland déjà découvert était rouge vif. J’eus un mouvement de recul. Je m’imaginai tout ceci à l’intérieur de mon anus, je serrai les fesses.
— Ne crains rien, dit l’elfe. Tu n’es pas le premier puceau que j’accueille dans ma modeste demeure. Détends-toi et tout ira bien.
Il me montra un pot avec un mystérieux onguent sur la table de nuit. Il se tourna et se pencha sur moi, sa tête se rapprocha et je sentis son souffle puissant, il posa ses lèvres sur les miennes tout en me caressant langoureusement le torse. Il promena ensuite sa bouche sur tout mon corps, terminant par mon gland. Ses gestes étaient d’une douceur extrême, contrastant avec son aspect impressionnant. J’étais si excité que mon sperme se répandit dans sa gorge.
— Tu es bien impulsif mon petit Evgeni, me dit Danil.
— Euh, excusez-moi. Je n’ai pas l’habitude.
— De coucher avec un elfe ? Ne crains rien, mets-toi sur le ventre.
Il reprit ses caresses langoureuses. Il se rapprocha de plus en plus de mon anus. Je sentis ses doigts enduits d’onguents me pénétrer, un, puis deux, puis trois, écartant l’ouverture de plus en plus. Je respirai lentement, essayant de me calmer. Ma bite gonfla à nouveau.
Il me retourna soudainement, pris mes jambes, les écarta et les releva. J’entrevis son énorme sexe, le gland enduit d’onguent brillait. J’eus peur, je fermai les yeux, m’attendant au pire. Et ce fut le meilleur qui arriva, la hampe coulissa sans problème, je me concentrai sur les sensations nouvelles et exquises sur ma prostate. Ses va-et-vient furent de plus en plus rapides, mais toujours très doux.
Je jouis une seconde fois en même temps que l’elfe qui poussa un cri strident lorsque son sperme inonda mon rectum. Il ressortit et s’écroula sur le lit à côté de moi. Je restai haletant, me demandant ce qui s’était passé, si j’étais en train de rêver.
Après quelques minutes, Danil se releva et me dit :
— Tu vois, c’était tout simple de faire l’amour avec un elfe. Le temps a passé très vite.
— Oui, merci, balbutiai-je.
Nous sortîmes sur le pas de porte de la hutte. L’air était froid à cette heure et je frissonnai. Danil me prit une dernière fois dans ses bras et m’embrassa longuement sur la bouche.
— Vas-y, me dit-il, c’est l’heure, le train va partir.
Je courus vers le train et je montai. Je regardai avant de refermer la porte, la lune avait disparu derrière un nuage et je ne le vis plus. J’eus juste le temps de ramasser mon slip et de le remettre, puis de me coucher. Le train siffla et s’ébranla lentement.
Je n’étais plus vierge, j’avais été dépucelé par un elfe, je sentais encore son sperme entre mes fesses. Je pris un mouchoir et je l’imprégnai de ce liquide, la seule preuve que je n’avais pas rêvé.
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Défi
L’astre du jour se couchait sur l’immensité infinie de l’océan, inondant de mille couleurs mordorées la plage de sable fin. Une légère brise soulevait la chevelure de feu de Daniel, enveloppait d’une fraîcheur bienvenue son corps de rêve dépouillé de tous ses oripeaux, après la fournaise de la journée. Il respira profondément, l’air iodé du grand large emplit ses poumons.
Daniel fit quelques pas sur le sable doré, submergé d’émotions induites par la magnificence de la création qui se révélait à ses yeux éblouis. Il croisa un autre homme, était-ce vraiment une créature terrestre ou était-ce un ange tombé des cieux ? Ses longs cheveux blonds ruisselaient sur ses larges épaules. Il était nu comme au jour de sa naissance.
Daniel s’arrêta, ébaubi par cette apparition presque irréelle. Il se demanda s’il rêvait éveillé. L’homme le regarda de ses yeux bleus, son regard était intense, Daniel sentit une bouffée de chaleur l’envahir. Avait-il enfin trouvé le grand amour ?
L’homme sortit de son silence :
— Vous n’avez pas croisé ma femme ?
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Avertissement : Récit érotique gay mettant en scène des ecclésiastiques. Ne ne lisez pas si cela vous dérange.
Ce récit a été écrit pour "À chacun son histoire", autrefois sur Doctissimo et maintenant sur le forum Slygame. Il faut s'inspirer d'une photo pour écrire un texte, celui-ci est d'abord publié anonymement. Ce n'était pas la photo de la couverture, je n'ai pas encore pu la charger.
Ce récit a été écrit pour "À chacun son histoire", autrefois sur Doctissimo et maintenant sur le forum Slygame. Il faut s'inspirer d'une photo pour écrire un texte, celui-ci est d'abord publié anonymement. Ce n'était pas la photo de la couverture, je n'ai pas encore pu la charger.
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Défi
Léandre entra dans l’église pour se confesser, il avait vérifié à l’avance, c’était bien l’heure où un prêtre était présent. Il se demanda pourquoi il était là, il ne l'avait plus fait depuis que sa mère l’obligeait, il ne se rappelait même plus quelles étaient les paroles rituelles. Le confessionnal semblait libre, il tira le rideau et s’agenouilla.
— Bonjour mon Père, dit-il, vous avez le temps ?
— Bonjour mon Fils, répondit l’abbé, bien sûr, plus personne ne se confesse de nos jours. Vous avez mis un masque ?
— Certainement, mon Père.
— Bien, je vous écoute.
— Mon Père, j’ai péché.
— Évidemment, sinon vous ne seriez pas là.
— J’ai tué ma femme.
— Intéressant, comment avez-vous fait ?
— En nous promenant dans la montagne, je l’ai poussée dans un ravin. On a conclu à un accident.
— C’était une bonne idée, mais pourquoi l’avez-vous tuée ?
— J’ai découvert que je suis gay et je ne pouvais plus vivre avec elle.
— Vous auriez pu demander le divorce.
— Oui, je sais, mais elle était acariâtre et je ne voulais pas qu’un autre homme connût les mêmes tourments que moi avec elle.
— Bon, ce sera le tarif habituel : trois Pater et deux Avé.
— Vous ne me demandez pas de me dénoncer à la police ?
— Pourquoi ? Je ne suis responsable que de la Justice Divine, pas de celle des Hommes. Allez en paix mon Fils, je vous absous.
— Merci mon Père.
— Euh, encore une question, vous êtes libre ce soir ?
— Oui, pourquoi ?
— Vous m’êtes sympathique et ça m’évitera de chercher un plan sur Grindr.
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