(CV. Terminé)
Carly est une mère courageuse, qui travaille dur pour élever convenablement ses enfants. Lukas, aussi riche que prétentieux, ne pense qu'aux jeux, tant dans sa vie professionnelle, que privée. Ils n'auront que dix jours pour se découvrir, s'aimer et se comprendre. Y parviendront-ils ?

En cours de réécriture
Mise en garde : violence, érotisme.



(CV. Terminé)
Alors que le groupe de Clément affronte déjà l’horreur, Lana se réveille dans une chambre inconnue, dans une maison inconnue, entourée d’inconnus. Ses amies sont présentes, elles aussi, mais pas son mari, ni ses enfants.

Quand un homme aussi séduisant que mystérieux va lui proposer son aide, elle va devoir livrer deux batailles : affronter des créatures plus sanguinaires encore que des vampires, et lutter contre une attirance contraire à toutes ses convictions.

Cet homme autoritaire auquel rien ni personne ne semble résister va devoir accepter des sentiments jusque là inconnus. Parviendra-t-il à maitriser ses pulsions ? Supportera-t-il la souffrance et la douleur ? Seule une femme aux pouvoirs très particuliers pourra le sauver…

Quoiqu’il en soit, une alliance, certes improbable, leur permettra de survivre et de débarrasser la terre de la malédiction. Seront-ils prêts à tous les sacrifices ?

CV.

CV.
Carly et Lukas nous offrirent des adieux à la hauteur de leur histoire d'amour : un véritable désastre ! Elle en est sortie salie et meurtrie. Quant à lui, et bien, peut-être ne le saurons-nous jamais puisqu'il préféra tout simplement s'enfuir.
Se pourrait-il cependant que l'un d'entre eux fasse le premier pas et que cette fois, ils acceptent leurs sentiments ?

Carly fut très sensible aux aveux de Lukas et aux efforts qu'il fournit pour reconquérir son cœur. À l'issue de son séjour en Guadeloupe, elle accepta l'invitation du jeune homme pour une visite guidée de son empire, à Las Vegas.
Une vie riche en paillettes et distractions séduira-t-elle la jolie française au point de s'y installer ? Ou le séduisant milliardaire envisagera-t-il un avenir plus authentique ?

En réponse au défi "Questions pour un OC", je vous propose de découvrir le personnage le plus complexe de mon roman "SANS SUITE".
Les réponses apportées ici ne concernent que le Tome 1, le personnage évoluant par la suite.

En réponse au défi du même nom.

En réponse au défi Une semaine, un thème #2, proposé par @Laura Anco@ et dont le thème est La plage.


Chaque chapitre (ou jour de la semaine) représente un morceau d'une virée à la plage que vont vivre les personnages de mon roman Sans Suite. Virée qui n'a pas encore vu le jour dans l'histoire, au moment où je réponds à ce défi.

Je respecte la vitesse limitée en traversant le complexe hôtelier dans lequel nous séjournerons une dizaine de jours. Leandra, Sybille et moi en profitons pour trouver des points de repère dans ce gigantesque village aux multiples allées, bordées de villas toutes aussi semblables les unes que les autres. Sybille détaille déjà un plan remis par une hôtesse d'accueil. Elle s’extasie d’ailleurs sur les nombreux établissements de loisirs dont dispose le parc, si bien que Leandra se sent obligée d’intervenir : — Je te rappelle que nous ne sommes pas en vacances. Nous sommes venues assister au salon du tourisme et de l’hôtellerie, et de nous trois, tu es celle qui a le plus de boulot. Comme d’habitude, la douceur de sa voix modère la fermeté du ton qu’elle emploie. Cependant, Sybille, la dure au cœur tendre, est aussi une tête de mule et elle insiste avec toute la rugosité de son timbre : — Oui, on en reparlera, quand tes pieds seront meurtris après des heures à piétiner dans le parc des expositions. Notre arrivée à destination met fin à une future et interminable discussion. — Installons-nous, proposé-je alors que je déverrouille la porte d'entrée, car nous devons encore trouver le supe

Parce qu’il parait qu’il faut penser positif. Parce que vous avez beau aimer ce que vous faîtes, être passionnés, il est parfois difficile de conserver sourire et bonne humeur.
Un petit rien, parfois, peut égayer votre morne journée ou au contraire, rendre les heures épuisantes et interminables.
Regardez cette secrétaire, derrière son bureau. Son visage fermé, ses traits tendus, et son ton monotone lorsqu’elle répond du bout des lèvres à votre salut. Peut-être n’a-t-elle traité que des réclamations, depuis sa prise de poste, sous le regard méfiant des usagers. Vous vous dîtes en vous asseyant face à elle, sur cette chaise inconfortable qu’elle ne vous a d’ailleurs pas proposée, que l’affaire va encore virer en discussion sans issue favorable pour vous. Vos risettes et apparente confiance n’ont aucun effet sur elle, mais vous décidez néanmoins de poursuivre vos efforts, parce que vous savez que vous énervez ne fera pas avancer les choses. Vous allez jusqu’à faire preuve d’un humour léger. Et là, miracle ! Les traits de la femme se détendent tandis qu’un sourire se dessine sur ses lèvres et qu’elle se lève, votre dossier en main.
— Madame Epoffe, patientez quelques minutes, je vais consulter ma cheffe.
Bingo ! Vous êtes parvenus à égayer sa journée, sans ternir la vôtre. Satisfaction des deux côtés. En plus, votre affaire va avancer.

Cette anecdote ne reflète pas toujours la réalité, c’est vrai. Néanmoins, je vous propose de suivre dans ce journal, les meilleures aventures professionnelles de Vanessa Epoffe, dite Ness.

Merci à @Shephard69100@ pour avoir proposé les défis "Un jour, un son", et à @LauraAnco@ pour avoir pris le relais. Défi entraînant, amusant, et où l'on fait de superbes découvertes :)

L’an 2316. Nous avons provoqué notre propre extinction. Nous nous sommes tués. Oh, nous le savions, c’était prévu, c’était écrit. La fin du monde. Nous l’avons mise en place, petit à petit, d’années en années, de siècles en siècles.   Les habitations étaient obligatoirement équipées de panneaux et ballons d’eau  solaires, de récupérateurs d’eau de pluie avec système de filtration, et les éoliennes ont rapidement recouvert notre paysage. Les petits propriétaires tels que moi s’endettèrent en  faisant appel aux banques pour financer les travaux de mise aux normes. Les emballages étaient tous recyclés, le carburant composé des déchets végétaux tels que la betterave à sucre, la canne à sucre, le blé, le maïs,  les arbres. On fabriquait du biocarburant sur tous les continents. Seulement voilà, il fallait produire plus, toujours plus. La déforestation s’accentua dangereusement, les pâturages furent réquisitionnés en vue de cultures  pour la production de bioéthanol. D’innombrables sociétés firent rapidement faillite, les agriculteurs ayant revendu leurs terres pour une bouchée de pain à ceux qui leur faisaient la promesse d’un avenir meilleur. Ceux-là même qui dirigeaient la planète, ceu