Le rêve du milliardaire Geoffroy De La Tour est de rencontrer les autres membres de la plateforme Scribay. Il décide d'organiser un concours mais l'un d'entre eux va disparaître...

(Toute participation est la bienvenue ;))

Récit qui relate ma vie du début de l'emprise jusqu'à la violence physique.


ATTENTION CERTAINES SCÈNES, VIOLENTES ET EXPLICITES, PEUVENT CHOQUER. DESTINÉ À UN PUBLIC ADULTE.

Durant un été caniculaire, deux milliardaires peu scrupuleux inventent un jeu. Jusqu'où pousseront-ils le vice pour gagner ?
De leur côté, un jeune couple est confronté au vice de la jalousie...

Sous le soleil de la côte d'Azur, un homme dans un train demande aux passagers la somme exacte de treize euros et soixante dix centimes.

Pour passer au chapitre suivant, il faudra résoudre une énigme ;)

Le seul souvenir de Lilly est la nuit de l'assassinat de ses parents. Elle voyage maintenant avec l'homme qui l'a accueilli dans l'espoir de retrouver l'auteur de ce crime. Mais elle fera une terrible découverte...

Suite d'« Une semaine comme les autres ». Cette fois-ci nos villageois sont confrontés à une construction dans le village. Nouvelles rumeurs, nouvelles médisances !

Voilà que le long du corridor
Je vis s'approcher un miriflore,
Il emberlucotait une gente donzelle
En étant armé de son violoncelle.
Mais à la belle on ne pouvait conter fleurette,
Elle prit dans sa main une tartelette.
Je la vis accagner ce pauvre garçon
Dans la stupeur, il lâcha son gros violon
En me voyant il s'excusa tout ébaudi,
Et pour se sortir de ce margouillis
Il m'accusa de m'accagnarder,
En prenant la fuite il se mit à rioter

Moralité : je ne m'endormirais plus jamais devant Scribay !

Du souvenir de ces blessures
De l'âme ainsi accablée
Pensant à ceux qui sont notre futur
Grâce à vous, mon cœur s'est relevé


De ces souvenirs atroces
Où régnait la perversité
Il m'a fallu trouver une force
Grâce à vous, mon corps s'est relevé

A vous tous ma famille, mes amis
Vous, qui êtes toujours à mes côtés
Je ne vous le dirais jamais assez : MERCI
Et ce tout petit défi, je le relèverai

Et à vous qui me lirez,
Je vous en conjure, profitez de la vie
Car si je me suis relevée
Vous vous relèverez aussi.

Je m'excuse par avance, je m'ennuyais ce soir !

Je m'excuse auprès de tous mes amis poètes si je n'ai pas respecté les règles de la poésie, je me suis inspiré du "cancre" de Jacques Prévert

Les fêtes de fin d'années approchaient. La galerie d'art était élégamment décorée de guirlandes lumineuses et autres décorations, des lumières de toutes les couleurs clignotaient et dans un angle de la pièce, un joli sapin avec disposés tout autour des petits paquets cadeaux.
— J'espère que les ventes de cette année seront meilleures que celle de Noël dernier.
Catherine contemplait avec satisfaction la vitrine de la galerie qui respirait cette atmosphère de fête, en compagnie de sa mère.
— Je te fais confiance ma chérie. Je sais qu'avec toi la galerie est entre de bonnes mains.
Catherine fit un léger sourire du coin des lèvres, assez fière d'elle. Elle avait réussi à gérer quasi à la perfection une galerie d'art, mais il y avait toutefois une épine à son pied.
— En espérant que cette tête de mule de Nicolas se remette les idées en place et qu'il...
— Ah non ! Vous n'allez pas recommencer tous les deux ! Et puis tu connais très bien le talent de ton frère.
Catherine fit une moue boudeuse.
— Ouais, le talent ! Tu oublies le reste.
Anne coupa court à la conversation de son ton le plus autoritaire.
— Bon, stop. Je m'occupe de lui. Toi, tu as du travail. Continue comme ça et tout ira bien.
Elle radoucit le ton de sa voix en posant les mains sur les épaules de sa fille.
— Regarde ce que tu as fait de cet endroit. Tout ça, c'est grâce à toi.
Catherine sourit flattée, sa mère avait touché un bon point.
— Oui c'est pas mal – elle se tourna vers Anne – mais maman je t'en prie, fais en sorte que mon cher grand frère ne ruine pas la situation.
— Ne t'en fais pas, la rassura-t-elle, je m'occupe de tout.
Elle ajouta d'un ton presque inaudible :
— Ton frère se tiendra bien sage.
Toutes deux admirèrent de nouveau la vitrine et Anne était convaincue d'avoir le contrôle de la situation, persuadée de pouvoir gérer les actions et les pensées de ses enfants.

Elle n'est pas nouvelle, mais elle m'a toujours fait rire !