Ophélie est une enfant du ciel. Un bébé miraculé qui n'aurait pas dû naître. Qui a été offert par Dieu à ses parents en réponse à leurs pleurs. Mais pour cette vie qu'elle a obtenu malgré l'infertilité de sa mère, Ophélie doit subir une lourde conséquence. Un tribu dont elle n'a même pas conscience, décidé par des forces divines auxquelles elle ne croit pas.
Elle ne devra jamais tomber amoureuse.
Et c'est à moi qu'incombe la lourde tâche de veiller à celà.
Mais y arriverai-je sous le regard ardent ce ciel qui la passionne autant qu'elle le hais ?

Pavor : mot latin signifiant l’effroi, l'épouvante, la crainte. Son accusatif pavorem donne entre autre le mot "peur".

"Quand je vous parle de moi, je vous parle de vous."
Hugo

/!\ La couverture m'appartient de manière INTEGRALE qu'il s'agisse de la mise en page ou du dessin utilisé en arrière plan ! Mes illustrations me demandent du temps, merci de ne pas les voler, faute de quoi, je m'abstiendrais de mettre de couverture. Si vous souhaitez une illustration, venez simplement me demander en privé : mon service est gratuit et disponible également sur wattpad. Cette illustration est également utilisée par Tournesol15 sur wattpad pour son livre "Esthétisme" - que je vous invite à aller voir en passant.

Réponse à un défi sous la forme d'une lettre adressée au gouvernement. Parce que défendre un virus est indécent, mais laisser mourir les Hommes est pire. Parce que peut-être que ce virus est le remède à cette humanité qui nous ronge et nous pousse à faire les mauvais choix. Il n'en revient qu'à nous d'en décider.

Ce texte est sensé être une intrigue secondaire de l'un de mes romans. Je profite de ce défis pour la tester puisqu'elle rentre parfaitement dans le thème :) La fin est un peu sèche et semble mal finie... J'en suis vraiment désolée ^^'

Elle est sans souvenir, sans mémoire : elle rêve d'avoir une vie.
Lui, est empli de regrets, de rancœur : il rêve d'amnésie.
Ensemble, il forme un duo que tout oppose, mais qui pourrait bien aboutir à l'accomplissement de leurs souhait...

"Je suis née au sud de l'ancienne capital Paris, dans une petite ferme sans prétention où il fait bon vivre. Probablement, je n'y mourrais pas."

Elise, quatorze ans, rêve d'aventure. Elle est ce que l'on appelle "une enfant d'après". Un de ces enfants nés après que la Terre ait été dévastée et où il ne subsiste que quelques endroits viables en dehors de la Friche.

Arsène, vingt cinq ans, a laissé tomber ses rêves. Armée de son bardas, elle sillonne le pays en arnaquant les gens qui ont le malheur de lui ouvrir leur porte. Elle est ce qu'on appelle "une enfant d'avant". Une fille née avant l'apocalypse. Une fille qui a connu la lente dégénérescence du monde.

Dans ce monde sans foi ni loi, les ombres s'entrelacent et se confondent, pour ne former au final, qu'une trainée filiforme sous le soleil brulant de passion.

Couverture provisoire
Publication tous les dimanches

Haïkus 俳句 : Court poème né au Japon à la fin du 17e siècle. En Occident, il s'écrit sur trois lignes selon le rythme court / long / court : 5/7/5 syllabes.

Dodoitzu : Variante en 7/7/7/5

Le Haïkus permet une grande liberté. L'adapter à la langue de Molière permet d'ouvrir des possibilités, d'en fermer d'autres. L'haïku est un cris de l'âme, des mots qui ont besoin de sortir selon une métrique particulière. En un mot, l'haïku est la quintessence de la beauté, l'art de dire beaucoup avec peut de mots.

Alors abrégeons cette introduction et essayons d'atteindre cette beauté ensemble.

/!\ La couverture et l'image en arrière plan m'appartiennent. Elle est également utilisée sur wattpad par HikaruSea à qui j'ai offert cette cover.

/!\ Ne pas lire si vous suivez l’œuvre éponyme sur wattpad - Ceci est une ébauche pour un prochain chapitre - Peut totalement se lire sans avoir lu les autres chapitres, cette partie est vraiment conçue pour se suffire à elle même dans le cadre du défi

Les mangeurs d'âme.
De sombres créatures, des démons à forme humaine. D'où viennent-ils ? Que veulent-ils ? Personne ne le sait.
Une seule chose est certaine : il se nourrissent de votre âme.
Et ils sont affamés.

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Arsène était un homme tout à fait normal avant. Ou presque. Doté d'une intelligence hors du commun, il est le seul à pouvoir guider les survivants humains hors des filets des Mangeurs d'Âme. Du moins, il était sensé être le seul...

/!\ La couverture que vous pouvez observer ici est à MOI. J'ai réalisé le dessin en arrière plan ainsi que la mise en page. J'EN POSSÈDE ABSOLUMENT TOUS LES DROITS VOUS N'AVEZ DONC PAS LE DROIT DE LA PRENDRE NI DE LA PLAGIER. Si elle vous plaît, j'offre volontiers mes services de coveriste pour vous créer votre propre cover. Merci de votre compréhension.

En réponse à un défis. Ce texte sera probablement retiré de la toile un jour ou l'autre, lorsque je n'aurais plus besoin qu'il y soit.
Courage à vous.

Mais qu'est ce que l'être humain ? Un être à la logique paradoxale ? Un animal torturé ? Un éxilé de la nature ? Essayons de voir ensemble, au travers d'une oeuvre célèbre, une ébauche de réponse à cette question...

Disclaimer : cet article est librement inspiré de l'article posté sur mon compte wattpad dans Idwwaff le 31/10/2020 et rédigé par mes soins. Toute l'analyse présentée ici est ma propriété.

Bonjour bonjour !
Comment allez vous ?
J'écris des articles qui mêlent littérature, sociologie, économie et philosophie depuis maintenant 2 ans, sur wattpad dans mon journal "I don't wanna write a fucking fanfiction", alors vous imaginez mon bonheur en trouvant ce défis. Je vous propose aujourd'hui de découvrir la première partie d'une analyse de The Grapes of Wrath de Steinbeck. En espérant qu'elle puisse vous plaire !

Une jeune femme qui cherche à sauver sa mère de ses démons, quitte à porter le poids du monde sur ses épaules.
Des amis, qui pour soulager une proche, prennent des décisions à sa place, sans la consulter.
Un copain qui passe son temps à cacher ce qu'il pense, ce qu'il ressent pour ne rien imposer aux autres.
Et une magicienne qui franchit les règles pour trouver une inconnue qu'elle considère comme son unique famille, quitte à faire imploser le monde, quitte à détruire sans le vouloir la vie de celle qu'elle est venue retrouver.

Toutes ces personnes sont convaincues d'avoir raison. Elles savent que ce qu'elles font est mal, et pourtant elles ne voient pas de meilleure solution. Mais si elles avaient tord ?

Leurs agissements les ramènent tous à des questions bien philosophiques.

Qu'est ce qu'aimer ? Tout le monde peut il aimer et surtout, sait-il bien aimer ?

Au travers de ces raisonnements, aux travers de leurs histoires, Tiana, Colin, Johanna, Adam et Amalia trouveront leur propre réponse.

/!\ Je suis l'auteur originale de ce roman. Il est également disponible sur wattpad sur mon profil @Une_Real.