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Agnès Anges
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de toujours
Défi
Cher lecteur, sache que ce rêve m’est vraiment arrivé et que je l’ai vécue d’une façon très vivante. Les images et les sensations y étaient aussi clair que si j’avais été éveillée. Tout ira bien…
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Un homme vivait seul en bordure de la forêt, ce n’était pas qu’il n’aimait pas les gens, mais il avait de mal à se sociabiliser. Après qu'un incendie ait détruit votre maison et votre famille, ça peut arriver.
Un jour il entendit l’appel d’un renard dans la forêt, la pauvre bête s’était coincée dans un piège à lapins.
Il la ramena chez lui, la soigna et la garda avec lui, la renarde commença alors à avoir un comportement étrange, elle comprenait de plus en plus de choses et semblait vouloir lui répondre, jusqu’au jour où elle le pu.
Un jour il entendit l’appel d’un renard dans la forêt, la pauvre bête s’était coincée dans un piège à lapins.
Il la ramena chez lui, la soigna et la garda avec lui, la renarde commença alors à avoir un comportement étrange, elle comprenait de plus en plus de choses et semblait vouloir lui répondre, jusqu’au jour où elle le pu.
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Défi
Marc est photographe évènementiel,
un jour il s’achète une boule de cristal pour faire des effets sur ses photos.
Mais elle semble toujours se trouver dans des endroits improbables,
peut-être est-elle vraiment magique finalement ?
un jour il s’achète une boule de cristal pour faire des effets sur ses photos.
Mais elle semble toujours se trouver dans des endroits improbables,
peut-être est-elle vraiment magique finalement ?
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Défi
La brigade entière était coincée à l’intérieure, les démineurs avaient été appelé mais ça faisait bien deux heures qu’on les attendait. Le courant avait sauté et la pénombre envahissait la pièce d’ordinaire si éclairée, soulignant un silence inhabituel et oppressant.
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Défi
Je me souviens de ces matins, où j’arrivais bien en avance au collège, essayant de me faire plus petite que je ne le suis déjà : une souris parmi les lions.
Les jeunes sont cruels quand ils vous sentent différents et mal adaptés.
Je me sentais seule, si seule. Je n’arrivai pas encore à t’entendre et pourtant tu étais toujours là près de moi, me soufflant des messages réconfortants dans mes musiques d’adolescente, dans mes lectures, dans la beauté de la nature que j’observais autour de moi.
Un jour cependant, ils poussèrent leurs cruautés jusqu’à impliquer un pauvre être vivant qui n’avait rien demandé et cela me blessa encore plus profondément. C’est la souffrance de l’animal et l’injustice du geste que j’ai ressenti ce jour-là, plus que leur moquerie.
Voici les faits : une trousse jetée d’un bureau à la sortie des cours, poussée dans les couloirs tel un ballon de football sous les rires des voyous qui s’acharnaient dessus. Un pigeon tué à coup de pierres, puis plumé à la va-vite, mis dans la poubelle de la salle des casiers. Le tout recouvert de dix centimètres de pisses et laissé bien en évidence aux yeux de tous.
Et ce que cela entraina : un mot, un simple mot sur mon livret scolaire, attention : élève à problèmes…
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Défi
Notre histoire commence, comme la plupart des récits d’horreur, avec quatre amis taillant la route le lendemain de leur examen afin de profiter d’une liberté bien méritée.
Marc était le clown de service, parce qu’il en fallait bien un pour mettre l’ambiance. Cindy et Josh étaient déjà en couple, même si parfois leur relation battait de l’aile et Derek était là essentiellement pour conduire, acheter de l’alcool et consoler Cindy de temps en temps.
La Jeep fonçait sur les petites routes de montagne avec la radio à fond. Les amoureux à l’arrière, nullement dérangés par les cahots de la route, étaient déjà en deuxième base. Derek, un peu énervé par la tournure de la situation, engueulait Marc qui avait encore touché à la radio. « Oh putain mais merde Marc tu fais chier quoi ! Je t’ai dit de n'pas toucher à la radio et ne mets pas tes pieds sur le tableau de bord ! Ouais mec, faut te calmer, c’est bon je m’y connais en musique, tu vas voir, j’ai amené ma playlist. On va se faire une fête de ouf. Heureusement que tu as pu acheter de la bière, et de la vodka. Ouais sauf si ces deux-là ne se détachent pas les amygdales avant, moi je suis bon pour tenir la chandelle pensa-t-il, morose. Fais pas cette tête-là, je te dis que ça va être de la balle !! »
La cabane étant au fond d’un long chemin forestier, ils durent laisser la voiture à l’entrée et faire le reste du chemin à pied. Comme il faisait encore jour et que le soleil était de la partie, ils réussirent à tout transporter d’un coup. La cabane bien qu’un peu vétuste était en parfait état. « Ouah ! visez un peu la déco ! s’exclama Marc en essayant de mettre ses doigts dans les naseaux d’une tête de cerf empaillée. Ouais ben évite de déjà tout casser grommela Derek, j’aimerais bien récupérer ma caution. Dereeeek ? Tu veux bien m’aider à porter ma valise ? Demanda alors Cindy en tortillant une mèche de ses cheveux blonds entre ses doigts.
À chaque fois qu’elle faisait ça, elle obtenait toujours ce qu’elle voulait de lui. « Tu veux bien la mettre dans la grande chambre ? Sur le lit ? Pourquoi as-tu pris une valise aussi lourde pour deux jours ? demanda-t-il en pensant à son simple sac à dos. Ne pose pas de questions si tu ne veux pas savoir. Répondit-elle avec un grand sourire carnassier. Ok ok » Capitula-t-il.
Pendant ce temps, Josh était avec Marc en train de tout préparer pour leur petite soirée. La musique faisait déjà trembler les vitres et les bouteilles bien disposées étaient déjà entamées. Pizza, chips et autres Junk Food étaient étalés sur la table attendant d’être dévorés.
Derek redescendit avec un sourire béat suivit par une Cindy plus ou moins décoiffée qui rattachait son bustier. « Ah ben vous voilà vous deux, dit alors Josh la voix trainante dûe à la boisson. Vous en avez mis du temps… Oui et bien il fallait que je me change, regardes : j’ai mis mon minishort ! » dit alors Cyndi en commençant à danser devant lui langoureusement.
Étrangement l’incident fut vite clos mais au bout d’un moment Josh se sentit mal. « Ouh là faut que j’aille prendre l’air, je suis pas bien du tout. Dit-il le teint un peu vert. Ben oui chouchoux, tu tiens pas bien l’alcool, tu as commencé trop vite aussi. Tu aurais dû nous attendre. » Dit-elle boudeuse.
Josh se leva et sortit dehors en claquant la porte derrière lui, vexé de ne pas mieux tenir son alcool.
Un cri étranglé retentit alors, un cri à glacer le sang. Ils se précipitèrent tous dehors et trouvèrent Josh le cou en sang en train d’agoniser le corps parcouru de spasmes. Visiblement il s’était arraché la peau du cou de ses propres ongles. « Oh mon Dieuuuuu ! cria Cindy, en proie à une véritable crise d’hystérie. Je crois que je vais être malade. » Dit Marc en rendant son happy hours.
Derek ne disait rien, il regardait avec fascination le sang s’échapper de la plaie béante, créant une flaque rouge vermeille qui s’agrandissait sous lui. « Rentrons et barricadons-nous ! dit alors Cyndi. Mais on ne peut pas le laisser comme ça quand même. Il faut protéger son corps des charognards, non ? dit Marc avec un air dégouté entre deux haut-le-cœur. Très bien je vais m’en charger dit alors Derek cédant au regard implorant de Cyndi. Fait vite alors, il faut qu’on reste groupé, il y a un fou dans le coin. »
Derek attrapa le corps de Josh par les chevilles et le tira en direction du bûcher laissant derrière lui une trainée de sang. Il posa alors le corps contre les bûches et jeta une bâche en plastique par-dessus, ça ferait l’affaire pour ce soir, se dit-il.
Quand il revint à la cabane, Marc était prostré dans le salon. Les yeux dans le vide, il lui annonça que Cyndi était allée se réfugier dans sa chambre, elle avait pris un cachet et demandait qu’on ne la dérange pas. « Mec, je sais vraiment pas ce qui s’est passé, c’est trop dingue cette histoire. T’es tranquille et d’un coup : paf ! T’es mort. Dis alors Marc en se levant pour se servir un verre. Je propose qu’on boive à son souvenir qu’est ce t’en penses ? »
Derek était étonné du comportement de Cyndi, ce n’était pas naturel pour elle de se cacher quand ça n’allait pas. Et puis quel cachet ? Elle ne prenait rien qui n’était pas bio ou avec des plantes. « Ouais ok, répondit Derek en se levant. Après j’irai voir Cyndi, y a quelque chose qui cloche. »
Il prit alors le verre que lui tendait Marc et l’avala d’un trait. Ça avait un gout bizarre. « C’est quoi ce mélange ? Un vodka coca à ma façon. »
La gorge se mit à lui piquer tandis qu’il montait l’escalier. Il ouvrit alors la porte de la grande chambre et trouva Cyndi allongée sur son lit la gorge ouverte d’une oreille à l’autre. Il trébucha, se tenant le cou à deux mains et tomba à genoux. « P…pourquoi ? » tenta-t-il de dire tout en se labourant la peau du cou avec les ongles.
Il ne pouvait plus respirer, sa gorge lui brûlait comme s’il avait avalé du feu. « Oh mais parce que j’en avais envie, dit alors Marc un sourire dément sur les lèvres. Ça va faire le buzz et votre histoire va lancer ma carrière de youtubeur. Surtout n'oubliez pas de liker la vidéo, de vous abonner et d’activer la petite cloche pour ne pas rater mes prochains crimes ! » dit-il en éclatant d’un rire tonitruant pendant que Derek se tortillait à ses pieds.
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Défi
Los Angles, 2019. Dans une chambre nue d’un hôtel à l’heure, une femme élégante, les cheveux rouge et les yeux vert, Louise, livre à un jeune journaliste incrédule, le récit du but de son existence, son rôle dans le grand cycle de la vie.
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Défi
La vie de Susanne est bien remplie, Elle a un bon travail et une famille aimante, elle ne manque de rien.
Un jour elle fait un rêve étrange qui lui ouvre les yeux, elle à bientôt quarante ans et elle n’a pas réalisé son rêve d’enfant : faire le tour du monde en sac à dos.
Troublée, elle décide de tout plaquer sur les conseils d’une voyante d’un cirque itinérant qui profite de sa fragilité.
Réussira-t-elle à remonter la pente de cette descente aux enfers ? réussira-t-elle à récupérer sa vie ?
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Défi
Je m’appelle Frédéric Gourdan, dit Bobby et je suis né en 1901 à Paris. Ma vie est plutôt banale si on oublie le fait que j’ai laissé passer ma chance d’épouser l’amour de ma vie et que cela a précipité ma mort vingt-sept ans plus tard.
Ah, ma Lucie, je pense que si je suis encore coincé ici c’est parce que je t’attends toujours.
J’avais alors dix-neuf ans et j’étais à peine un homme, mais à cette époque là nous maturions plus vite. Lucie avait dix-sept ans et elle était belle comme le jour, ses cheveux blonds, sa taille svelte et son sourire éclatant m’avaient ébloui.
Cependant elle était fille de médecin et moi d’épicier, nous n’étions pas du même monde. Mais nous étions amoureux et nous nous passions des mots doux lorsqu’elle venait aux commissions chez mon père et que je l’aidais à transporter son panier.
Un jour son père l’a promis en mariage au fils d’un de ses amis et je décidais de ne pas me battre pour elle. Je regrettais bien vite ma décision et devins jaloux de son époux quand je la croisais plus tard, son ventre s’arrondissant avec l’enfant qui y grandissait.
Cette jalousie, cette rancoeur perpétuelle finiront par me rendre malade. Ma santé étant déjà fragile je m’éteignis en 1928 dans cette même maison où se passe cette histoire.
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La maison était ancienne et en mauvais état, elle était en vente depuis très longtemps mais plus personne ne la visitait car des rumeurs disaient qu’elle était hantée. La nuit on entendait des geignements et des cris, disait-on et des objets déplassaient à leur guise. Bref autant dire que son prix et son emplacement était ses meilleurs atouts.
Estelle GrosJean, à peine 25 ans et son diplôme de journalisme en poche, tenait la plaquette de l’agent immobilier entre ses mains et regardait avec des yeux ronds et la bouche entre-ouverte, la ruine qui s’étalait sous ses yeux. « Ah ouais, quand même… Souffla-t-elle doucement. Heu, oui, mais je vous avais prévenu hein : des travaux à prévoir. Dit l’agent immobilier, déjà résigné. Bon, voulez-vous quand même la visiter ? Oh oui, et plutôt deux fois qu’une ! Répondit-elle, ravie.
Un peu d’espoir réveilla le discours de l’agent, mais Estelle ne l’écoutait déjà plus, elle était en train de tomber doucement amoureuse de cette maison.
Elle relut alors la description de la plaquette : Charmante maison de ville de 80 m² avec deux chambres, cuisine, salle de bain, living-room, pipi-room, cave à vin, buanderie, atelier, cour et jardin privatif. Travaux à prévoir !
Les travaux ne lui faisaient pas peur, au contraire. Elle se voyait déjà en train de refaire la déco à son goût et puis pour le reste, son ami était bricoleur, il savait tout réparer.
Estelle entra donc après l’agent immobilier qui commençait déjà à ouvrir toutes les fenêtres et contempla ce qui allait devenir son futur foyer avec pleins d’idées de papier peint et de couleur de peinture en tête.
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Bobby observait une famille de souris au grenier quand il les entendit arriver. Une visite ? aujourd’hui ? ça faisait si longtemps qu’il n’en fut même pas fâché. Il descendit voir qui était ces intrus, résigné à devoir de nouveau les effrayer.
Plus les années passaient et plus ils étaient difficiles à surprendre. Plus personne ne croyait aux fantômes de nos jours et si on y croyait on en avait plus peur, on cherchait par tous les moyens à en prouver l'existence pour faire le buzz.
Ils étaient dans la cuisine, Bobby s’approcha près à se matérialiser quand il l’aperçu. Lucie ! sa Lucie était là ! Il l’avait enfin retrouvée. Elle était aussi belle que dans ses souvenirs, blonde comme les blés, jeune et svelte en pleine santé et à ce moment-là, ses yeux émerveillés passaient au travers lui regardant autour d’elle cette maison avec émerveillement.
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Les papiers furent vite remplis et signés, les deux partis n’en croyant pas leur chance et bientôt Estelle s’installa dans sa maison. Bruno, son ami s’installa peu de temps après avec elle mais il était moins ravi de cet achat et râlait de devoir se coltiner tous les travaux.
Bobby essaya alors de rentrer en contact avec celle qu'il pensait être sa Lucie, mais Estelle était si occupée par ses projets qu’elle ne l’entendait pas ni ne le voyait. La nuit cependant elle rêvait qu’elle faisait les courses dans une épicerie du coin habillée comme sa grand-mère, c’était assez bizarre.
Quand les travaux furent presque finis et que la maison commençait à ressembler à quelque chose, Bobby était extenué, il n’avait plus du tout d’énergie pour continuer à hanter Estelle. Il prit alors une décision, il allait se réincarner pour vivre avec cette femme qui ressemblait tant à sa Lucie, car oui, il avait enfin compris que ce n’était pas elle.
Peu de temps après, La jeune femme apprit avec joie qu’elle était enceinte. La maison était enfin devenue calme, tout comme ses rêves.
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Défi
Aldo, est un petit renard roux, il saute et bondit, galope et caracole dans les champs de blé mûrs sous le regard bienveillant du soleil qui brille, haut dans le ciel. Il court après sa dulcinée, Ginger, qui l’appelle de ses glapissements mélodieux. Comme pour les encourager dans leur course folle, les épis dorés se balancent sur leur tige, saluant de la tête les participants et caressant leur pelage au passage. Le vent, taquin, se joint à eux en virevoltant, serpentant dans les céréales à leur suite, soulevant la poussière qui retombe peu de temps après en petits tourbillons pailletés. Des hirondelles acrobatiques, volant de plus en plus bas, les incitent alors à accélérer de leurs cris aigus car des petits nuages commencent à pommeler le ciel bleu, voulant se joindre, eux aussi, à cette chevauchée sauvage. À l’orée du bois, Aldo rattrape sa belle et ils se roulent alors dans l’herbe grasses, leur deux corps emmêlés sous l’impact de leur chute, leur queue fouettant l’air à tout va. Le vent fait alors danser les herbes hautes au rythme de leur respiration haletante sous le concert du chant des oiseaux de la forêt.
Soudain, de longues ombres semblent les rattraper, des nuages épais et noirs se rapprochent du soleil. Le murmure des feuilles, le vrombissement des insectes hèlent nos deux amoureux lorsqu’ils pénètrent dans le bois, puis l’obscurité se referme sur eux. Le son de la forêt est comme étouffé par la masse des branches oppressantes qui les écrasent, grinçantes sous leur propre poids. Le jour filtrant à travers la canopée est à peine suffisant pour entrevoir le tapis de feuilles mortes couvrant le sol, se transformant doucement en un humus grouillant de vers et de larves. Ici le vent ne peut circuler qu’après de nombreuses obstructions et l’air de l’été, moite et lourd, est difficile à respirer pour nos deux renards, qui cherchent à présent un trou où fonder leur famille. Les arbres, épais et sinueux, sont centenaires dans cette partie de la forêt, et ils sont dotés d’un bon nombre de cavités naturelles. Mais qui sait quels monstres y ont déjà élu domicile ?
Au loin le tonnerre gronde et les premières gouttes d’eau s’écrasent sur le sol dégageant une odeur d’ozone. Ginger entraine alors Aldo sous un gros chêne ventru qui semble creux depuis des générations. Le vent, se met alors à souffler par rafale, il ne se laissera mettre à la porte, tenez-le-vous pour dit ! des éclairs zèbrent le ciel, il fait aussi noir qu’en pleine nuit. Un déluge s’abat alors sur les arbres, inondant le sol alentour et le froid qui s’en dégage pénètre jusqu’aux os. Les Arbres se balancent et râlent, un concert de grincements, de chuintements se fait alors entendre mais ces guerriers centenaires tiennent bon. Bientôt de gros grêlons se joignent à la partie, les éléments sont entrés en guerre et l’artillerie est lancée. Un énorme craquement résonne alors dans le sous-bois, un soldat est tombé ce soir au combat. Finissant aussi abruptement qu’elle a commencé, cette dispute, somme toute disproportionnée.
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Défi
Maman ouvre les volets ce matin et dit : "Oh regarde comme c'est beau ma chérie ! Oh ! il y a du lait plein la vallée maman !"
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Défi
Lors d’une belle nuit étoilée,
Nous riions comme des fous,
Le temps semblait s’être arrêté,
Sur cette grande roue.
Un photographe amateur,
Immortalisa cet instant.
Pour notre plus grand bonheur,
Nous le revivrons souvent.
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