Barcelone, printemps 2004.

Oscar regarde la Méditerranée en soupirant. Il s'est laissé embarquer dans une fête outrageuse, à mille lieues de son caractère calme et réservé, et il rêve de s'enfuir.

Alix observe les invités en soupirant. Elle s'est laissée embarquer dans une fête outrageuse à mille lieues de son caractère spontané et authentique, et elle s'ennuie ferme.

Avec l'Espagne en toile de fond, c'est l'histoire de deux jeunes gens qui se rencontrent, et vont avoir des choix à faire, des difficultés à affronter, et un avenir à tracer ensemble... ou pas.

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Récit terminé, publié d'Aout 2024 à Décembre 2024.
Photo : el mirador del sablón, Asturies, Espagne. Source : Mark Neal, Pexels.

Récit spin-off de "On était beaux" - peut se lire indépendamment.

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Après une année 2015 compliquée, Oscar aborde dans un esprit de renouveau un printemps 2016 pour le moins bien occupé. Côté pro, en plus de l'habituelle agitation dûe à la saison de tennis sur terre battue qui va lui faire écumer les tournois durant quatre mois avec les Juniors de son club, il va devoir assurer l’accompagnement de l'équipe espagnole de double à Roland-Garros. Côté personnel, sa place privilégiée de témoin du mariage de son ami Cisco l'oblige à se tenir disponible pour tout un tas de détails, à organiser l'enterrement de vie de garçon, et surtout, à supporter les humeurs de la grinçante future mariée Nina. Voilà que celle-ci, en plus du reste, exige qu'il se mette en contact avec sa témoin à elle pour « voir des trucs » ! Oscar est un garçon docile, il accepte en se disant que tout ça, c'est probablement pas grand chose...
C'est un emploi du temps digne de Tétris et des rebondissements inattendus qui vont rythmer ses prochains mois !

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Récit en cours de publication.
Photo : WendyWei, Pexel.

Court récit en spin-off de l'œuvre "On était beaux"

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Une soirée karaoké. Une soirée KARAOKÉ ?! Mais qu'est-ce qui m'a pris d'accepter ? J'ai envie de retourner me rouler en boule dans mon plaid, sur mon canapé. Les soirées à me languir en grignotant n'importe quoi devant la télévision sont devenues ma plus grande passion depuis la rupture d'avec Arnaud. Mais voilà, María en a eu marre de me voir me transformer en sushi flasque. Soit disant que deux mois, c'est bien suffisant pour se lamenter, il faut maintenant aller de l'avant... Alors me voilà à mâchonner un bout de fromage de l'assiette à tapas en regardant le personnel du bar préparer le micro et l'écran pour les futurs chanteurs et chanteuses en herbe.

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Photo : Cottonbro, Pexel.

En insultologie, il est facile de se contenter de s'en prendre aux mamans. Laissons les mamans tranquilles, laissons les femmes qui demandent de l'argent contre des services travailler en paix, et faisons bosser notre imagination !

Certes, un bon vieux "Va te faire... connard", ça soulage. Mais un magistral "Je te souhaite de te détendre l'anus avec ton index gauche", c'est classe, ça marque. Soyons classes. Élevons le niveau.

"Je ne devrais pas faire ça", pense-t-il, dans une ultime tentative moralisatrice...

Venez vous évader le temps de quelques mots...