Nolwen Arian
11
œuvres
3
défis réussis
46
"J'aime" reçus
Œuvres
« J’ai 17 ans, et les enfants de mon âge ne se posent pas vraiment de questions. Ils vient au jour le jour. Moi je ne suis pas comme ça ! Beaucoup de questions tournent en boucle dans ma tête. Pourquoi la vie ? Pourquoi la mort ? Pourquoi le jour et la nuit ? Pourquoi oui ou non ? Pourquoi la guerre et pourquoi la paix? Ça, c’est les questions de base.mais une question qui paraît basique mais ne l’est pas… Pourquoi la violence ? c’est très vague la violence ! Quand je parle de violence, je parle de violence physique et morale. Tous ça est comprit par le harcèlement, l’insulte, le racisme, le sexisme, le viol, le vol, les coups ! Aujourd’hui je vous parle du viol. Je m’attarde sur le viol car je l’ai vécu. j’ai mis beaucoup de temps à l’assumer et à en parler et aujourd’hui je vous en fait part pour mon soulagement et pour celle a qui c’est arrivé. Sachez que personne n’est à l’abri d’un tel danger.
- Merci mlle Velasquez de nous faire cet honneur de monter sur le plateau de notre émission Je lutte contre la violence !
Messieurs, dames cette jeune fille âgée de 17 ans va nous raconter son histoire et comment elle a réussi à s’en sortir. Mlle Velasquez la parole est à vous.
- je vous en pris appelez moi Lucie. Enfin, il est l’heure de vous raconter mon histoire.
16
1
18
15
Défi
Kathya Dolore, 17 ans, elle vit dans un milieu aisé, au près d'une famille aimante et présente. AU lycée tous se passe très bien, elle est dans la catégorie "populaire" mais ne méprise personne. Très bonne élève, elle a une myenne de minimum 16/20 dans chaque matière. C'est une très grande lectrice. Elle va souvent à la bibliothèque du lycée. Et ce jour là, elle s'y est rendue comme d'habitude, après les cours. Elle cherchait un livre qui sortait un peu de la banalité de ceux qu'elle a lus auparavant, alors elle arpente les rayon de la bibliothèque. En marchant elle tribuche sur la livre, qui n'avait pas l'air d'être tombé, mais plutôt délicatement posé à moitié sous le rayon. Elle se penche et le ramasse. En observant le livre elle se rend compte qu'à la troisième de couverture, il n'y a pas de résumé comme sur tous les autres livres. ET dans sa tête l'intrigue commence. Elle se met à le lire. pendant les cours, au déjeuner, dans le bus, au repas elle se retient mais il lui tarde le moment d'aller se coucher pour continuer à lire ce livre mystérieux qui parle d'une ville inconnue. Le diner terminé elle monte dans sa chambre et ouvre le livre. Elle reste bouche bée quand elle s'aperçoit que toute les pages du livre sont blanches, aucune ligne, aucun mot n'est inscrit sur aucune des pages. Elle ferme le livre et l'ouvre à nouveau cette fois ci les pages semblent être écrites d'une autre langue. Il lui semble que c'est du latin. Elle l'étudie depuis le collège mais a tout de même du mal à traduire, mais y parvint. Elle ne sait plus quoi penser en lisant ces mystérieux écrits. Kathya est une fille très curieuse. Eprise de sa facheuse curiosité elle décide se rendre à cet étang dont parle le livre. En continuant sa lecture elle découvre que la ville mentionnée est celle où elle vit depuis toujours. Elle trouve au fond du manuscrit une sorte de carte qui la mènera jusqu'a cet étang. il est 23h30 ses parents sont au lit et dorment profondement. Elle noue ses drap et passe par la fenêtre de la salle de bain. Elle s'enfuit pour rejoindre l'étang. Arrivée sur les lieux, elle voit la petite étendue d'eau qui brille à lalumière de la lune. Elle se sent soudainement attiré par quelque chose. Au bord, elle se déshabille, regarde autour d'elle et sans hésitation elle avance. L'eau monte sur ses chevilles, elle sent la froideur de l'eau la combler d'excitation et de curiosité. L'eau arrive jusque ses genoux, l'eau se réchauffe mais arrivée au niveau de sa hanche elle a un moment d'hésitation, des questions se bousculent dans tête mais tous est trop brouillon pour qu'elle comprenne, faisant le vide dans sa tête elle décide de continuer. L'eau dépasse maintenant le haut de sa tête, elle continue tous de même d'avancer et fini par s'assoir au fond l'eau. Les écrits qu'elle a lus disaient que tous être qui se suiciderait dans cet étang se verrai confronté au futur. Une fois assise, un sifflement sourd et aigu envahi ses oreilles et sa tête, son coeur ralenti, ses yeux se ferment. Soudain elle ouvre les yeux, rien a changé, sauf qu'elle se voit sortir de l'étang et se rhabiller, la vie passe si vite, elle se voit obtenir son diplôme, elle se voit ouvrir sa boutique, elle est fleuriste mariée, avec des enfants. Elle se voit lire autant qu'au lycée et retomber sur ce livre. Elle se voit se diriger vers cet étang et avancer dans l'eau. Quand elle fut au fond ce bruit sourd de nouveau mais cent fois plus doux presque mélodieux, ellle s'endort sourire au lèvre sachant ce que lui réserve l'avenir.
7
10
40
7
Dans les familles nombreuses il est comp'ique d'accorder un certains temps a chacun des enfants mais l'amour prend le dessus et ils s'occupent les uns des autres. Cette grande famille dont je vous parle cestc'est la mienne Alika Burk. Nous sommes cinq enfants. Quatre garconsgarçons et moi la seule fille. Je vous avoue que cestc'est pas toujours facile d'être la seule fille mais j'aime mes frères plus que tout au monde. On est une famille recomposée mais l'amour est le même. Récemment ma belle mère et mon père nous annoncé une très bonne nouvelle. Elle était enceinte. Nous allions encore avoir un petit frère ou une petite sœur. Ils savaient déjà le sexe du bébé et s'amusaient à nous faire attendre :
" Alors papa c'est une fille ou un garçon ? lançais-je impatiente
- C'est.... Un Burk ! Gloussa-t-il
- Mais sérieusement papa dis nous s'il te plaît, dis-je
- D'accord ça va. C'est un garçon et il s'appellera Théodore
- Trop génial ! Criais-je"
Mon père me regardait surpris car il pensait que je serai déçu de ne pas avoir une sœur.
" Papa, tant qu' il est en bonne santé c'est l'essentiel"
J'aurai mieux fait de me taire...
4
0
112
28
Questionnaire de l'Atelier des auteurs
Pourquoi écrivez-vous ?
C'est une sorte échappatoire à la cruauté du monde réel. Quand j'écris je vole dans un nouveau monde ou je me sens moi, ou je me sens bien.