Louison vient d’une noble famille. Ses parents la promettent à un glorieux mariage, qui aboutirait à un accord parfaitement rodé entre les deux familles. L’avenir de Louison se décore d’une joyeuse villa, de paysage resplendissant, de quelques enfants à éduquer et d’un luxe intarissable. La jeune femme ne se rencontre qu’a un problème : elle déteste l’homme avec qui elle va se marier.

Le mariage approche à grande allure et Louison s’est résolue. Elle est prête à se lancer dans cette vie princière, à condition de profiter de ses derniers instants de liberté. Pour cela, la jeune femme connaît l’endroit parfait : L’Antre des Péchés.
L’Antre des Péchés est un sombre quartier dans lequel sévissent toutes les sanctions de son monde parfait : drogue, pari, bordel et nombre de commerces illégaux.

Le jour, elle est l’épouse parfaite. La nuit, Louison claque l’argent de sa famille et vagabonde dans les rues à la recherche de tout ce qui peut lui faire ressentir l’adrénaline d’être en vie. Pourtant, le mariage avance à grands pas…
Le temps presse !

Et pour nous aussi ! Je dois avouer que je me lance dans une périlleuse œuvre !
Le concept est simple : 300 mots par chapitre. Être concise est ma priorité et ce n’est pas des plus simple. Alors, nous verrons où cette aventure me mènera.

{CV}

Claria s'embarque dans une capsule descendant à une vitesse folle vers Gaia 2-1-8, elle est incapable d'activer les parachutes qui lui permettrait d’atterrir en douceur.

Sa mission semble déjà compromise...

Présentation de ma personne

Petite pensée personnelles accompagnées de paroles de musique qui me vont droit au cœur, et de leurs explications/interprétations ^^

Ce texte n'est pas tout jeune. Je trouve qu'il correspondait assez bien au thème du défi.
Il date du 23 janvier 2018

Dans un petit matin orageux, Abilio l'ancien vice-ambassadeur de la Justice est rappelé d'urgence pour une vielle affaire. Mayrissa de Nuo vient d'être capturée !

Le problème étant qu'elle devait se trouvée dans les prisons d'Esternaé, l'une des geôles les plus impénétrable du Continent. Ses crimes la précédent et la poursuivent jusqu'au plus profond de sa folie.

Le procès se rapproche et les souvenirs de Mayrissa semblent enfouis dans les méandres du désert d'Hazal. En les déterrant de nombreux mystères ressurgiront mettant de nombreux gouverneurs dans des situations plus que délicates.

Petit poème en réponse au défi : "Si vous mouriez demain, que feriez vous aujourd'hui?"

Un petit défi touchant sur la recette d'un filtre d'amour fait par une grand-mère et sa petite fille !

La description de Noisette, vache Prim'Holstein de Normandie.

Dernièrement, j’ai tué un personnage d’une de mes histoires.
Son sang recouvrait les mots de Scribay. Dans la sombre nuit qui m’entourait, mes mains parcouraient le clavier afin de donner les derniers souffles de vie a cet animal qui a accompagné l’un des personnages principaux.
J’ai lu quelques parts que la mort d’animaux dans des fictions (film ou livre) était plus émouvante que celle d’humains. Je ne sais pas à quoi cela est dû. Peut-être au fait que l’animal reste fidèle jusqu’au bout, sans jamais se poser de question, sans jamais trahir la personne avait qui il est relié depuis le début du roman.
Par exemple :
Dans « Je suis Une Légende » lorsque le chien de Wil Smith se sacrifie pour sauver son maître, j’ai plus pleuré pour lui que quand Robert Neville se sacrifie a son tour pour sauver l’humanité.


Dans mon histoire, l’animal meurt lui aussi en héros. Je savais plus ou moins qu’il allait mourir depuis le début. Je m’attendais à verser des petites larmes en écrivant son sacrifice, mais a la place je souriais.
J’étais plutôt contente. Je prenais plaisir de décrire les détails, la réaction de sa maîtresse. À la fin du chapitre, j’étais heureuse et satisfaite. Je suis allé voir mon frère a minuit pour lui lire sa mort, toute fière. Parfois, je me dis qu’il doit me prendre pour une folle quand je lui raconte des scènes comme celle-ci tout sourire.
Je crois que j’ai enfin la réponse de pourquoi G.R.R Martins tus tous ces personnages dans Game Of Thrones. Parfois tuer un personnage nous emplie de satisfaction et c’est horrible a dire.


Pourtant, ce n'est pas le cas pour toutes les situations. Avant d’écrire, je passe par une phase d’invention et quand je choisis de tuer un personnage, surtout de manière non héroïque par exemple, une maladie, une trahison, ou autre, je sens mon ventre se nouait, mon nez picotait et par moment, une petite larme me coulait sur la joue. Et puis, je me dis : attends ! C’est un personnage qui tu as créé, qui est dans ta tête et tu pleurs parce que tu viens de le tuer. Cela n’a pas de sens !

Petit J'aime/J'aime pas pour me plaindre de travailler en aout ^^

Paroles d'une chanson sur une rupture difficile et la reconstruction après les cœur brisés