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La perte d'un être cher, peut réellement nous anéantir, comment doit on procéder dans notre deuil. Y a t-il d'ailleurs une procédure à suivre ?
Vivez ce deuil à travers mes émotions et mes pensées.
Vivez ce deuil à travers mes émotions et mes pensées.
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Défi
Pour répondre au défi de EruxulSin, j'ai pris ma plume ou plutôt mon bic et j'ai essayé de faire honneur à ce défi. J'espère être dans les clous
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Elle ne s'aime pas. C'est quand même pas si difficile à comprendre. Elle n'en peut plus de voir chaque jour dans le miroir son visage aussi pâle que la mort. Ce visage qui par lui-même lui inflige un sourire. Quelqu'un d'attentionné verrait, que ce sourire est un faux. Un semblant de « je vais bien ». Comment est-elle censée se supporter et se trouver belle, alors qu'elle n'a aucun amour propre et aucune confiance en elle. Elle pense que quand Dieu la créée il a dû oublier quelques éléments indispensables, visiblement. D'après elle, son physique est trop atypique et particulier. Elle pense avoir une voix d'enfant. Elle n'a apparemment pas assez de forme là où elle en voudrait et bien trop là où elle n'en veut pas. Elle se berce d'illusion pour se faire croire qu'elle s'apprécie rien qu'un peu. Elle se dit que si elle fait semblant d'aimer son corps, quelqu'un va bien finir par l'aimer, elle. Alors elle se camoufle derrière un masque de maquillage et de mèches de cheveux qui envahissent le visage qu'elle croit laid. Elle ne s'aime pas. Beauté, bien-être, confiance en soi, vous êtes où ? Elle a besoin de vous. Elle se croit pas très belle, et pourtant c'est Aphrodite qui a imaginé la
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La jeunesse, celle de nos plus belles années
D'après nos ainès.
On l'attend depuis l'enfance
Avec une grande impatience.
Car elle apporte avec abondance
Des rires qui embellissent une adolescence
Sans beaucoup d'élégance
On apporte un brin de clairvoyance
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Il prend differentes formes,
Lui, il est comme ça toujours tout difforme
Un jour on l'a vu prendre forme
Soudain, sous le controle de la tension il se déforme
On lui donne accès à une formation
Attention celle-ci doit se faire en bonne et due forme
Toi le contrôle, enfiles donc ton uniforme
Et en route pour ta remise en forme
Après cette petite réforme
Doucement il se reforme
Voyez donc, il est comme ça le contrôle, il joue avec sa forme tel caméléon jouerais avec sa couleur
Mais au final il aime toujours garder la forme
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Le terme " battre" est très vaste.
Il est assimilé à plusieurs contextes, comme pleins d'autres mots de notre riche langage.
En cuisine, on bat des œufs pour en faire desmets savoureux.
On peut battre un jue de carte, ça en va même de soi, afin de jouer plus facilement.
On se bat aussi dans les compétitons de boxe, de judo de karaté et que sais-je encore... dans n'importe quel autre sport d'ailleurs. Ici, on s'y bat car il un esprit compétitif. On veut gagner, gagner un prix.
On bat un adversaire aux échecs pour le simple plaisir de mettre une bonne raclée, en quelques coups déterminées et précis, à notre énnemie de quelques minutes.
A la guerre on a pas d'autre choix que de se battre. C'est se battre ou mourrir. Il n'y a aucune autre solution, il faut combattre et survivre, coûte que coûte. Et tant pis si sur le chemin on doit faire battre en retrait nos morales.
On se bat pour des causes qui nous tiennent à cœur, quand on espère un monde meilleur. On peut se battre avec les poings ou juste avec les mots. Celui-ci c'est le combat que je prefere, la plume est bien plus puissante qu'une épée.
Mais, on ne peut et ne devrait pas battre un corps. Un corps qui possède une âme. Un corps qui vit, qui respire, qui évolue, qui aime. On ne peut pas battre ce corps qui est soudain faible à cause de trop de coups encaissés.
Tu as beaucoup d'autres moments où tu as le droit de te battre ou de battre quelque chose, alors pourquoi tu continu à vouloir te défouler su ce modeste corps dans tes moments de colère ?
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Avez vous déjà eu ce sentiment, celui d'être seul ?
C'est le sentiments qui m'entoure constammet, depuis quelques mois. Je suis très bien entourée et pourtant je me sens si seule.
Avez vous déjà eu ce besoin d'hurler au monde votre souffrance ?
C'est ce besoin moi, que j'éprouve depuis des mois sans pouvoir y arriver. Je suis entourée de personnes qui ont l'air de croire que je vais bien mais qui ne voient jamais vraiment mon mal-être.
Je suis vide de l'intérieur. Comment pourrait-il en être autrement, après tout ? J'aimerais devenir comme ces filles que je jalouse tant. Ces filles là, celles que j'admire dans le secret de mon âme.
J'aimerais que l'on voit mon bohneur et ma joie de vivre qui émanerait tout autour de moi tel un rayon de soleil d'ét. J'aimerais déjà le ressentir et en être imbibé, moi, de ce bohneur et de cette joie.
Pourquoi ? Pourquoi, Dieu, pourquoi m'a tu créer si c'est pour vivre cette vie où je suis emplie de souffrance ? Cette vie que je vois minable, qui me fait me lever chaque matin, me plonger dans mes étudespour espérer à un bon métier que j'aimerais, à quoi bon si au final je ne vis pas ?
Je suis perdue. Je n'arrive plus à savoir qui je suis, qui je deviens. Comment redevenir celle qui riais avec ses amis à en avoir mal au ventre ? Et pas celle qui se cache derrière un faux sourire timide.
Comment parler de ces problèmes là, lorsque le monde qui m'entoure est comme sourd ? A quoi bon parler, et déclarer tout ce que j'ai sur le coeur si les gens me disent : " essaies de te changer les idées" ou " ça va passer, c'est juste une mauvaise passe" et encore " aller ressaisis toi, t'es jeune tu as toute le vie devant toi !"
" Me changer les idées", j'ai envie de leur rire au nez à ces gens là qui me disent ces mots, l'air de rien.
" C'est juste une mauvaise passe", qu'est-ce que t'en sais toi , qui me juge sans vraiment me connaître ni même m'apprécier ? Ce que toi tu appelles une "mauvaise passe" comment l'appellera-tu quand elle aura continuer à un tel point que je pourrais avoir envie de faire une bétise ? Un mauvaix choix, peut - être ? Un acte égoïste et irréfléchit ?
Avoir la vie devant soi c'est beau mais est-ce que c'est vraiment si beau au fond ? Pardon, mais je ne parviens pas à comprendre ce système , qu'est la vie. On naît, on grandit, on évolue, on devient des enfants, on grandit encore, on evolue encore,on apprend encore, on deviens des ados boutonneux, on apprend encore et davantage, on évolue encore et davantage, on deviens des adultes. On nous dit d'aller travailler, et de travailler encore plus, toujours plus. Ensuite on nous dit qu'on doit travailer pour gagner sa vie. Puis on nous dit qu'on doit arrêter de travailler, on nous dit va te reposer. Et enfin on nous dit qu'on a assez vécu, et qu'il est temps de passer à autre chose. Alors chaque matin, on se lève on va étudier ou travailelr, puis le soir arrive et on se rendort en attendant le lendemain ou tout va recommencer encore.
Mais alors sommes nous réellemnt heureux ? Heureux de vivre, je veux dire vivre la vie qu'on nous impose et nous dicte chaque jour un peu plus.
Un jour on aura un evêment particulier, qui nous fera sourire, qui nous émerveillera. Puis soudain un autre jour, on aura un évènement particulier, qui nous fera pleurer, qui nous mettra peut-être en colère. C'est vraiment ça la vie ?
Pourquoi est-ce que qu'on la veut tellement ? Je veux dire : il y a qui réellement au bout ? Tout ce que je vois moi au bout c'est la mort.
Je ne comprend pas. J'aime vivre, je veux vivre mais je ne comprend pas. Et c'est difficile.
SI ça se trouve il y a même rien à comprendre d'ailleurs. C'est peut-être ça au final la vie : on ne peut jamais vraiment la comprendre, mais on la vit tous, chacun à sa manière et on s'efforce de la vivre de la meilleure des façons possible.
Comment savoir si on est heureux ? D'ailleurs c'est quoi le bonheur ? Sûrement une notion phylosophique, sûrement quelque chose qui est qualifié d'éphèmère. On le coprend réellemnt que lorsqu'on l'a perdu. C'est bien dommage dans ce cas là, on ne sera jamais vraiment pleinement heureux et remplie de bonheur pendant toute une vie.
Ca existe, les personnes heureuses et rempleis de bonheur dans leur quotidien ? Les hommes politiques, les spotifs, les artistes, les acteurs, les chanteurs, les influenceurs, les célébrités qui affichent leur bonheur sur les réseaux : est-ce qu'ils sont toujours pleinement heureux, avec une joie de vivre sans limite, ou ont-ils eux aussi des coups de moral dans les chaussettes : c'est à se le demander ? En tout cas, moi je voudrais le savoir.
Peut-être que je fais partie d'un groupe de personnes restreint " les gens pas vraiment malheureux mais pas vraiment heureux non plus"
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Jeudi, Je suis sortie On m'a si souvent dit Sors de l'enfer pour voir le paradis Il faut que tu la vives cette putain de vie Alors j'ai souris à la vie Et je suis sortie J'ai tellement rit Que la folie m'a pris Jusqu'au bout de la nuit Et puis, Soudain une envie m'a pris Et j'ai dit Je vous aime les amis On va la vivre cette putain de vie Jusqu'au bout de la nuit Dans n'importe quel pays.
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Quand on est introvertie de base et qu'à cause de d'un évènement, on se renferme sur nous-même encore plus qu'à l’accoutumé, il est alors très difficile de vivre. Parfois j'ai l'impression que je me meure, chaque jour un peu plus. Je crains tellement ce moment. Ce moment qui me terrifie. Ce moment de non-retour. La vie est si dure quand on est un introverti doublé d'une timidité maladive. Je réfléchis trop, je me fais des milliers de scénario, qui ne m'aident pas, bien au contraire ils m'angoissent encore plus. Chaque minute qui passe me fais me renfermer dans mon mal-être, un peu plus. Je ne sais pas comment me sortir de ce cercle vicieux dans ce gouffre dans lequel je suis tombée malgré moi.
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Ces appels avec toi, Me font autant de mal Que de bien, je dois l'admettre. J'aime te parler J'aime aussi que tu me parle, Que tu me raconte tout et rien à la fois. Même ces petits blancs gênants Je les affectionne finalement. En revanche ces appels, D'un autre côté je ne les aimes pas. Ils me font mal, Mal au cœur, Mal au moral, Mal au corps. Ils me rappellent toute cette distance qui nous sépare. 255 kilomètres, c'est ce qui nous sépare. C'est ça qui fou la merde dans mon esprit. J'en suis certaine. Ta vie est là-bas. La mienne est ici. J'ai peur aussi. J'ai peur de ce qui se passe entre nous. Peur de m'attacher encore. Peur de ressentir ces choses étranges. Peur de te faire du mal. Peur que tu t'attaches, A l'image que tu as de moi. Peur que toi tu me fasses du mal, Peur de pas être celle dont tu as besoin dans ta vie. J'ai peur de nous faire espérer et que ma famille ne t'accepte pas... Peur de devoir faire un choix, eux ou toi. Et dans ce choix, malgré ce que je peux ressentir pour toi, ce ne serait pas toi que je choisirais. Que je m'en mordrais les doigts de regrets. Mais je ferais sûrement toujours passé ma famille d'abord. Mais hier, t'avoir appelé pendant autant de temps,
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