Mouquet Louis
Les plus lues
de toujours
Bon, ce soir, c'est Halloween, et en écrivant sur mon ordinateur, cette histoire m'est venue.
87
22
184
15
Petit texte improvisé après avoir fini de lire une oeuvre.
83
35
24
1
Texte écrit un peu sur le moment alors que je travailles à côté sur Woomousearth et ne publie pas grand chose ici. Il est question ici d'un certain Cody Rhodes, de son vrai nom Cody Runnels,catcheur aux Etats-unis.
Deuxième texte sur le deadman,le phenom,l'undertaker, légende des rings.
Deuxième texte sur le deadman,le phenom,l'undertaker, légende des rings.
8
2
12
3
Défi
Voilà ma réponse au défi "Elle était toute seule dans cette ruelle sombre". Il se pourrait qu'il y ait une suite d'ici quelques temps.
8
5
53
7
On oublie pas son premier amour, la première fois qu’on a aimé quelqu’un. Quelqu’un d’autre que ses parents ou ses frères et sœurs si on en a. Quelqu’un d’extérieur à la famille. Mais pour moi, ce fut difficile. Cette fille, c’était elle qui était venue vers moi, on avait toujours été proche, durant le collège.
On est sorti ensemble durant l’année 2008. Mais c’était compliqué, très compliqué. J’étais interne dans un centre de rééducations. Elle était externe et rentrait chez elle tous les soirs. Nous ne pouvions nous voir que lors des fins de journée ou des moments où on avait pas cours. On profitait à fond de ces instants.
Mais l’Homme est homme et imparfait et il commet des erreurs. La mienne, j’en gardes un profond souvenir car moi-même je ne me la suis jamais pardonné. J’avais une classe de plus qu’elle et je devais partir à la fin de l’année. Ajoutez à cela qu’à l’époque, je souffrais d’un problème de communication assez important.
Je ne croyais pas aux relations à distance, et de ce fait, je l’ai quittée. Elle n’allait pas forcément bien, je n’en ai su qu’après, la véritable raison. J’aurais eu cette information, ça n’aurait rien changé car je devais de toute façon partir. Et l’information en question ne changeait en rien ma vision des relations à distance.
Le problème, c’est que je n’ai jamais réussi à l’oublier. Pendant des années, j’ai cherché d’autres femmes à conquérir. Mais dire à une femme qu'on l’aime et qu’on aimerait sortir avec elle, c’est compliqué. Surtout quand on perd l’usage de la parole en présence de nombre de jeunes femmes attirantes.
Le sort a voulu que cette femme qui fut mon premier amour et moi, on se retrouve. Je l’ai recontacté, par Internet, j’arrivais mieux à communiquer avec elle. Et non, je peux dire aujourd’hui, qu’on n’aime pas qu’une fois. Car nos retrouvailles ont amenés à une nouvelle relation entre elle et moi.
Même si elle n’a duré que cinq mois, cela m’a fait énormément plaisir de la revoir. Et faire la route de Rennes à Saint-Brieuc où elle était alors a été un plaisir. Parce que j’allais la voir et que j’étais heureux d’aller la voir, plus heureux que jamais je ne l’avais été. Ou du moins que je ne l’avais pas été depuis bien longtemps. Aujourd’hui, c’est de nouveau fini entre nous.
Mais d’un côté comme de l’autre, on a encore des sentiments. Qui sait, peut être ai-je eu la chance de tomber sur la bonne du premier coup. Moi qui n’ai habituellement pas beaucoup de chances. Notre relation a nourrit mes écrits et les nourrit toujours,même si je suis timide et qu’elle n’a jamais lu mes textes. Mais...ne dit on pas jamais deux sans trois….
13
4
19
2
Dans le sujets de discussions de la plateforme, on à un sujet intitulé «ce dont vous êtes fier ». J’ai d’abord eu l’idée de répondre tout simplement en bas de la discussion. Répondre par un paragraphe, simple, court et qui récapitule le tout. Mais une autre idée m’est venue, cette idée, c'est d'y répondre sous forme d’un texte. Texte que voici.
15
3
8
1
Défi
Ce texte, je l'ai en tête depuis longtemps, il s'agit d'une des scènes que j'ai prévues pour la fin d'un de mes livres. Je te remercie donc pour ce défi qui me permet de me la remémorer et de continuer à travailler dessus. L'idée est là ,mais la scène en elle-même peut encore changer, bien des fois
3
3
31
2
Défi
L'idée de ce défi est assez amusante et c'est avec joie que je m'y attelles. Le personnage en question n'a pas encore fait son apparition dans l'oeuvre publiée sur Scribay. Mais il arrive d'ici quelques chapitres et son rôle sera déterminant. Je me suis bien amusé, merci pour l'idée.
2
0
28
5
Défi
Merci pour l'idée de ce défi. Je vais m'en resservir dans un texte sous une autre forme. C'est ce même texte dont je parles qui m'a inspiré celui-ci. Si je parles d'une tige, c'est que celle qui tient l'objet, le tient dans sa bouche, et à les mains attachées.
8
7
62
4
Tu avais un talent fou, tu as su emporter bien de gens avec toi dans ton monde
Quelle chance pour nous, que tu sois, toi aussi français, que l'on peut être fier
Alors qu'un grand nombre de gens écrivant dans ton style sont d'Outre-Manche
Ton héroïne la plus célèbre me sert actuellement de moule pour créer la mienne.
3
3
1
0
Défi
Toi, Rennes. Je n’ai pas besoin de te dire ce que tu représentes pour moi. Même si aujourd’hui, je t’ai quittée pour Vannes, un temps. Tu sais que c’est toi que je préfères. J’espère que ma future femme aimera partager. Parce qu’elle ne sera pas l’unique reine de mon cœur, tu auras ce rôle aussi. Mon corps n'est peut-être plus rennais, ces derniers mois, mais mon coeur lui y est resté.
Rennes, au départ, rester n'était pas ma priorité. Tu devais être une ville de passage comme Lorient l'a été avant toi. J'étais alors un citoyen d'ici et d'ailleurs, quelqu'un qui n'a pas encore trouvé sa place. Qui avait du mal à la trouver, ou plutôt disons le, qui ne la cherchait pas encore. Quelqu'un qui aurait pu être n'importe où chez lui.
Et puis, tu as vu que j'étais un peu seul, isolé, dans mon coin. Et là, tu as mis cette première association sur mon chemin. La suite, je n'ai pas besoin de te la raconter, tu la connais, j'ai suivi cette route que tu me montrais. Cette route qui a permit à l'ancien moi de commencer tout doucement à mourir.
Après cette première association, il y en eut une deuxième, puis une troisième. Aujourd'hui, je ne comptes plus les associations que je fréquentes en ton sein, ma chère cité. J'aime même en découvrir de nouvelles portées par des jeunes comme moi et dont je suis avec attention l'avancée périeuse.
Et avant, oh ma reine, ma belle cité bretonne, avant cette première association, tu m'avais déja guidé. En mettant sur ma route, les Rencontres Transmusicales, tu savais que tu ferais mouche. Je ne pouvais pas résister, ma curiosité allait me pousser à y aller, tu le savais, et tu as attendu, attendu patiemment.
Puis, après les Transmusicales, festival musical, tu as guidé mes pas vers Travelling. Ce festival de cinéma rennais pour lequel j'ai suivi ces dernières années, le même chemin. Année après année, j'ai décidé de m'investir de plus en plus, et si j'avais été dans tes murs, cette année, tu le sais, tu sais où je serais aujourd'hui. Tous les astres étaient alignés, tu avais tout mis en place.
Ne t'en fais pas, ma chère, ce n'est qu'une question de temps. Ce temps perdu, je peux le rattraper, je peux reprendre le cours de ma vie telle que tu l'avais tracée. Je m'y emplois chaque jour, chaque semaine, mon coeur ne rêve que de te revoir, fouler tes rues. Certes, je viens parfois les week-ends mais je veux revenir définitivement.
Je le sais, certaines personnes doivent être intriguées de ne plus me voir, à certains évènements. En tes murs, j'étais devenu quelqu'un, quelqu'un que je n'étais qu'ici. J'avais une raison d'être, de vivre, de me battre, toi et ce que tu m'offrais. Ce que tu m'offrais et ce que j'ai pendant longtemps su prendre.
Si tu étais une femme, Rennes, une vraie faîte de chair et de sang, tu sais ce que je voudrais. Oui, si tu étais une femme, j'aimerais que tu sois mienne. Que tu me fasses connaître tout ce que tu me caches encore, de belles choses. Te servir comme un mari peut servir sa femme, je le ferais sans jamais rechigner.
Je l'ai dit, mon corps n'est plus là, mais mon coeur est bien resté à Rennes. Tout ce que je peux partager sur les réseaux sociaux, cela te concerne toi. Tout ceux que la vie a mis sur ma route, ou une bonne partie du moins, sont dans tes murs. Tu m'as permis de trouver un lieu où m'exprimer librement.
Moi qui parles peu, j'ai pu coucher ce que je pensais sur les lignes de plusieurs journaux de ta cité. Qu'il s'agisse de journaux jeunes. Et la plupart des textes que je peux écrire, se déroulent entre tes murs. Tu es pour moi, la ville qui m'a vu renaître, celle où je veux vivre le restant de mes jours et bien d'autre choses.
J'ai toujours aimé me promener dans tes parcs. Qu'il s'agisse de celui de Bréquigny, des Gayeulles ou du Thabor. Tes bars, qu'il s'agisse de ceux de ta mythique rue de la soif ou tous les autres ont plus d'une fois eu ma visite. Et à jamais, je foulerais de mes pieds, le sol de chacun d'entre eux, je le sais.
Ton grand centre culturel des Champs Libres est toujours un hâvre de paix et de tranquilité pour moi. Si je pouvais, je l'achéterais et le privatiserais pour moi seul ou moi et ma famille. Je n'ai pas encore de travail mais tu le sais, j'aimerais travailler là-bas, je m'y sens chez moi. J'y suis chez moi, enfin, c'est l'impression que j'ai toujours.
Quand un auteur écrit, il parle de lui, de choses qui lui sont proches, qui le touchent. Et toi, tu es la ville qui est le plus proche de mon coeur. Tu abrites les histoires de nombres de récits que j'ai en tête. Et mon oeuvre principale se déroulera dans tes murs, du moins pour une partie, je te le dois bien.
Je reviendrais ma belle, en septembre, je l'espères. Paris, c'est beau, la ville lumière, la capitale de la France. Marseille, ça à l'air joli aussi, d'après ce qu'on en dit, Lille, j'y ai vécu dans mes jeunes annés, je le sais que c'est beau. Courchevel, aussi. Lorient, où j'étais avant de te découvrir et où je suis récemment retourné. Toutes ces villes ont du charme, je les aime toutes bien.
Mais toi, tu as quelque chose de plus. Tu es la ville où Louis Mouquet est né une seconde fois. Tu es la ville où je veux passer le restant de mes jours. Qui sait, peut-être vivrais-je un jour à la même adresse que certains des héros de mes histoires. Même en banlieue, cela ne me dérangerait pas car je serais tout près de toi.
Si un jour, je suis publié, je ne dirais pas que je suis du nord, même si j'y suis né. Je ne dirais pas non plus que je suis de Vannes, même si ma famille y vit. Non, je dirais que je suis rennais,que je suis un enfant de Rennes. Je suis un pur produit rennais et je n'en ai jamais été aussi fier. Tu me manques, mais quand je reviendrais, ce sera pour rester éternellement.
1
1
11
5
Défi
Et si…
Aujourd’hui, on a les livres
Peu importe de quels genres
Qu’ils soient fictifs ou non
Qu’ils traitent d’aventure ou pas
Aujourd’hui, on peut s’échapper de notre réalité en lisant un livre
Que serait la vie sans livre, sans l’imagination de certains auteurs.
S’évader, dans le monde qui est le nôtre est parfois nécessaire
Que dis-je non, c’est capital, c’est un besoin vital.
Lire, c’est découvrir des univers différents du nôtre
Ou notre propre monde, vu par les yeux d’un autre.
Cela permet de confronter différents points de vues
Que ce soit entre auteurs ou entre lecteurs.
Si les grands de ce monde faisaient un autodafé
Avec tous les livres que la terre peut compter.
Que se passerait-il pour les pauvres auteurs
Dont la situation est déjà précaire pour certains
Que se passerait-il si on enlevait aux gens le droit de lire
Et qu’on interdisait aux auteurs d’écrire leurs livres
Quelle serait notre société sans tous ces livres
Personnellement, je n’aimerais pas que ça arrive
Que s’est-il passé dans la vie de mon arrière grand-mère
Moi qui n’était pas né, comment pourrais-je le savoir
Et pourtant, grâce à des livres, je connais sa vie
Ma vie aussi, j’en ferais une autobiographie.
Et mes descendants si ils veulent me connaître
Devront lire celle-ci pour découvrir qui j’étais
Cela leur donnera peut-être l’envie de lire
Comme je l’ai eu à leur âge, en mon temps
On dit que les paroles s’envolent
Que seuls les écrits restent
Eh bien, heureusement pour nous
Qu’il y en ait encore pour les lire.
9
3
19
1