On m'a demandé des nouvelles, il fallait bien que j'en donne un jour.
Cent historiettes de tous poils composées furtivement en plein cours, puis retravaillées à la maison, tête au chaud.

Expériences érotopoétiques scatomanes métagenres, recherche de la tangente discrimineuse entre désir et dégoût, puits de syllabes calembouriques, endroit d'une nausée apesantrice, l'audace apaisante d'enfin succomber au malaise le plus débridé, plaisir cronenbergien du délitement des chairs.
Détachez la ceinture, ça va freiner tout sec.

En réponse au défi "Retranscription en langage soutenu" de @Antoine Bacham@ .

Pinceau. Quelques intuitions de couleurs. Accidents de courbes. Et voilà, sapin.

En réponse au défi "Un genre inédit", proposé par @HarleyAWarren@ .

En réponse au défi "Le constat d'un monde fragile" proposé par @Florian Pierrel Officiel@ .

Il y a longtemps, Sidonie a perdu son nom.
Elle en cherche un nouveau qu'il vaille vraiment de prendre, mais sans s'encombrer d'un mari.
Pour cela, elle choisit de se faire adopter par un père. Et pourquoi pas deux ? Pourquoi pas plus ?
Jeu dangereux, car rares sont les pères prêts à donner leur nom.
La plupart le prêtent, et veulent que tout ce qui leur est lié leur dépende.

En réponse au défi "Le Prisme" de @Florian Pierrel Officiel@ .

https://www.atelierdesauteurs.com/text/710779649/le-prisme---ecrit-multiple-2022--

du thâtre sans rideaux, sans public, dans des boîtes noires dans des sous-sols, qu'un brin de lumière pour arroser les gouailleurs, un paquet de tartre en poudre par terre, quelqu'un pinaille à demander ce qui reste