Hanaoshi
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Suite à la découverte d'un symbiote extraterrestre en pleine nuit de décembre, trois chercheurs décident d'apporter au monde entier la plus grande révolution scientifique n'ayant jamais vu le jour jusqu'à présent: serait-ce l'immortalité, la vie éternelle tant convoitée par de nombreux humains imparfaits ?
Cette trouvaille aura un grand impact sur l’histoire de l’homme et ce à l’échelle planétaire, permettant alors aux scientifiques d'atteindre les sommets de la gloire ! Deviendront-ils de nouveaux dieux, en chair et en os, pour tous les humains ? Ou leur destin prendra-t-il un autre tournant ?
Cette trouvaille aura un grand impact sur l’histoire de l’homme et ce à l’échelle planétaire, permettant alors aux scientifiques d'atteindre les sommets de la gloire ! Deviendront-ils de nouveaux dieux, en chair et en os, pour tous les humains ? Ou leur destin prendra-t-il un autre tournant ?
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" Pouvions-nous parler de poésie lorsque la vie s'était avérée être un cauchemar incessant, poussant chacun d'entre nous dans ses retranchements les plus sombres : voici l'hécatombe. Tous aimantés à coucher sur de nombreuses feuilles nos terribles maux, qu'ils soient salvateurs ou maudits. "
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Défi
Je suis un être, qui un soir illuminé, a vu et ressenti jusqu'à coucher sur papier son expérience inoubliable. Transcendant alors entre réalité et fiction. Celui qui a foi en ses écrits, et qui leur donne vie au point de vivre en même temps que sa création.
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Michel est un bon homme ! disent les gens. Généreux, charitable, il se dévoue chaque dimanche dans une association où il y met tout son coeur. Il distribue la nourriture comme le sourire aux plus démunis.
Michel ira au paradis, c'est un homme béni.
Et dimanche arriva encore, c'était la même routine.
Mais lorsqu'il rentra chez lui, ce fut différent.
Du monde s'était amassé devant la porte du voisin.
- Que se passe-t-il ? demanda-t-il. L'un parmi la foule lui répondit.
- Comment, ne sais-tu pas ? Cela fait plusieurs jours que Bernard est mort, son cadavre commençait à empester depuis le trottoir ! Apparement, le pauvre avait perdu son boulot depuis longtemps et n'avait plus un sou pour payer quoi que ce soit. Il est sûrement mort de déshydratation et de faim... Paix à son âme.
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Vois
Comment
Le cœur lourd
Je m'étiole !
Mais se consumant
De ses cendres renaît
Mon faible amour et nourri
Pour chérir, j'en ferai un tout !
Ainsi de folie et passion
Laisse tout ton être faire et baiser
De mes lèvr' un nom ai-je si prononcé
Un goût aussi bien sensuel sur mon palais !
Cependant, la magie s'est là affaissée
Te retenir, moi, je n'ai point osé
Ainsi lutter pour notre union
Je ne suis arrivé à bout.
Ce soir l'amour se tarit
Antéros disparait
Qui de l'autre ment ?
Toi, tu t'envoles
Sans retour
Le sang
Froid
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La nuit,
Ce funèbre moment où l’être ne peut échapper à ses démons, inlassable tourmente accaparant la chair pour la vouer aux viscères de la Vie. Maudit soit-elle ! Broyant, digérant, l’être englouti n’est plus que déchet. Ah ! Maudit soit cette vieille ébène ! où l’âme broie et boit la coupe de l’immonde liquide noirâtre indéfiniment dans le néant. Mais c’en est assez ! Le besoin de gueuler et de dégueuler ses mots et ses maux se fait dangereusement pressant !
Puis, les yeux fermés, l’esprit est seul face à son destin - mortel, peut-être. Sûrement. Dès lors, suffit-il de prendre les armes pour livrer bataille, ou parmi tout ce noir, tirer le drapeau blanc ?
Un opaque rideau vint couvrir la scène, instant de grand silence revêtant l’habit de la méditation ou de la dépression. Qu’importe ! Maintenant, ce voile aveuglant tomba au sol, et dans sa chute, la lumière se fit. Il avait pris sa décision. Celle d’ouvrir son coeur, et de parler pensés et sentiments au rythme irrégulier de ses battements. Alors, la voix de sa bien aimée s’énonça :
- Est-ce bon comme cela ? demanda-t-elle, en ajustant l'oreiller de son mari exténué par une journée comme une autre. Exécrable, horrible, et détestable, en outre.
- Oui, ma chérie, tu es un amour ! s’exclama-t-il, portant continuellement le masque du sourire, un faux-semblant trahissant sa souffrance. Cependant, il était temps que cette expression adoucie devienne plus grave, que la bouche et ses lèvres se délient et s’expriment ! La parole lui brûlait la langue, comment cela pouvait-il être si dur de se confier à un être proche ? Il devait s’armer de courage, se glacer le sang. Et il le fit, finalement, prononçant ses premiers mots :
- Un an… Bientôt un an que je supporte cette situation. Le temps passe vite, mais il n’est qu’éternité pour moi depuis ce sombre jour. Tu étais là, lorsqu’on m’annonça que je resterai à vie dans cet état. La maladie m’a pris en otage, à présent, j’en souffre. Lara, j’en souffre… Es-tu également là, pour voir cela ?
Ainsi dit les yeux dans les yeux, la détresse de l’un criait un hurlement silencieux vers l’autre. La femme passa sa main sur le visage de l’homme en une douce caresse, signe d’affection, de tendresse témoignant son amour sincère. Car elle comprenait son mari et sa douleur. Mais elle était tout aussi impuissante, préférant parfois se voiler la face. - Je sais, dit-elle, et je serai toujours là pour toi, Gabriel.
- Mais moi, je ne serai pas toujours là, répliqua-t-il aussitôt, un coup de massue signant un temps mort entre eux deux. L’espace sembla se figer, et la respiration de l’un et de l’autre se coupa. Puis, Gabriel soupira. Dans cet instant, il prit si délicatement la main de Lara dans la sienne, qu’elle crut que la force de son mari s’était presque éteinte dans son geste.
- Dis-moi, toi qui as toujours été croyante, qu’est-ce que le bon Dieu pense du suicide ? questionna ce dernier intentionnellement. La réplique ne fut sans attente.
- Pour Dieu, la vie est sacrée, Gabriel ! Se tuer est aussi un crime et...
Bien sûr, la réponse était évidente pour elle. Non, pour lui, elle ne comprenait peut-être pas.
- Alors, lui coupa-t-il la parole, tu prieras pour moi une fois là-haut, pour qu’il ait pitié de ma pauvre âme écorchée qui n’a jamais invoqué le mal sur autrui. J’ai aimé, et j’ai été détruit. N’ai-je pas aussi droit à une bonne espérance ? Ai-je simplement mérité de subir mon malheur ?
Il vit sa femme le regarder d’un air ahuri, la réponse était encore évidente. Il soupira une nouvelle fois, et tourna la tête dans la direction opposée.
- Bien sûr que non, tu ne le feras pas. Ce serait donner ta bénédiction à cet acte “ odieux ” que je m’infligerai, n’est-ce pas ? Mais je ne t’en veux pas. Je n’ai pas l’intention que tu te sentes coupable de mon action. Que tes mains restent belles et propres ! Nous avons juré “ jusqu’à la mort nous sépare ”, mais je vois à travers tes yeux que ton amour transcendera cette règle. Ne fait pas le malheur de rester veuve, tu ne pourras t’occuper de tout toute seule lorsque je ne serai…
- Arrête ! Tais-toi s’il-te-plait ! Arrête de faire comme si tout était déjà fini. C'est insupportable et douloureux de t’entendre parler comme ça ! rétorqua Lara, troublée.
- Non, non. Cela fait trop longtemps que je me suis tu, ce soir je veux rendre tout ce que j’ai dire. Alors je t'implore, écoute-moi, j’en ai besoin plus que tout en ce moment ! Parlons d’humain à humain, des êtres qui ont besoin d’amour et de compréhension !
La femme se sentit décontenancée et navrée. Malgré la maladie, son mari n’avait perdu cette pointe d’autorité sans être vulgaire. Et ce dernier continua son discours : - Tu sais, pour la première fois, j'ai prié le petit Jésus, pour toi et les enfants. J’ai aussi prié pour moi, pour qu’il m’aide à aller mieux. Mais rien n’est venu, à part cette seule réponse : “ il n’y a aucun traitement pour vous soigner. ” Je me suis résigné, avoua-t-il. Gabriel serra plus fermement la main de sa femme, avant de se confier de nouveau :
- J’ai toujours été fasciné par l’histoire de ce stoïcien qui n’a émis aucun gémissement, aucune plainte lorsqu’on lui arracha la colonne vertébrale. J’admire ce détachement de l’âme et du corps, de l’esprit et du désir. C’est faire preuve d’une force insoupçonnée ! Cependant, moi, je suis si faible ! Je défaillis chaque jour, je pleure quand tu n’es pas là, lorsque cette peste ronge chaque parcelle de ma chaire. Je ne suis pas atteint d’une maladie qui me tuera, mais d’une avec laquelle je dois vivre jusqu’à la mort. Je ne peux me défaire de celle-ci, je la subis pris au piège.
- Mais nous sommes là pour t’aider à la supporter, Gabriel, n’est-ce pas notre rôle ? Nous sommes ta famille, nous sommes ta force !
- Non, c’est faux ! Je suis un boulet, je suis votre faiblesse ! Je ne veux être un fardeau ni dans mon vivant, ni même dans la mort ! Lara, si un jour, je me suicide, c’est que c’est mon seul acte de révolte, de liberté et de délivrance que je puisse à présent faire. Je vaincrai cette maladie qui est en moi, je brandirai l’épée et la retournerai contre moi. Voici comment je la tuerai, moi de même. C’est le mal qui s’est inscrit dans mes gènes, et non le bien. Je t’aime, et si toi tout autant, ne me laisses pas devenir l’ombre de moi-même. Je désire seulement partir l’esprit en paix, en sachant que tout ira pour le mieux.
Lara…
Sa mine reflétait le désespoir, à présent. Elle entendait un homme qui était parfaitement conscient de chaque parole qu’il proférait. Elle ne faisait alors qu’écouter.
- Il existe des jours où je me sens tel un cadavre en décomposition, me liquéfiant dans ce lit pour m’enfoncer dans le sol, là où sera ma tombe de terre. Mais l’instant d’après, ce mal-être est remplacé par un bien-être. Je me sens tellement léger, que l’impression de mon corps montant au ciel m’envahit de toutes parts ! C’est juste miraculeux ! Et cette sensation est si bonne, Lara, si bonne ! C’est dans ces moments que j’ai envie de passer à l’acte: en finir dans ce monde, pour renaître dans un autre.
Les pupilles de Gabriel pétillaient, il voyait déjà son avenir ailleurs. Peut-être que son âme souriait à s’imaginer là-bas, dans un endroit merveilleux. Tandis que Lara ne disait rien, que pouvait-elle faire de toute façon ? Les paroles de son mari la heurtaient en plein coeur, elle aurait voulu de même mourir dans ses bras. Mais elle, son désir était de vivre. Alors, ses yeux perlèrent leurs premières larmes.
- C’est dur à dire, mais il faut que désormais tu t’habitues à l’idée que je vacille entre la vie et la mort. Le jour où je basculerai du mauvais côté, je ne veux pas que tu sois surprise et horrifiée de voir mon corps inerte. Non, Lara, Lara, Lara, Lara...
Elle pleurait à chaudes larmes. Il ne pouvait la consoler, il avait pris sa décision. Je suis désolé ma chérie… Dès ce soir, considère moi déjà comme mort, pensa-t-il.
La fin de cette histoire restera floue. Ces larmes ici versées, sont comme celles d’un ciel souffrant. Mais nous savons, qu’après la pluie, viendra le beau temps.
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Chef de l'armée cayhënienne, Kem et sa troupe sont accusés d'avoir illégitimement répandu le sang de nombreuses vies innocentes, lors d'une simple mission de reconnaissance. À présent, ils sont sur le point d'être jugés directement par le roi, le grand Céphas, la sentence risquant d'être bien rude à leur encontre ! Cependant, une seule chose dont tous étaient certains, était que l'ordre de tuer venait d'un messager personnel de leur roi ! Que se passe-t-il ?
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Défi
J'ai fait ce que je pouvais dans la mesure du possible. Clémence et bienveillance siouplait x)
Ps : Lisez à haute voix et ne manquez pas de faire la liaison entre les son à chaque fois.
Ps : Lisez à haute voix et ne manquez pas de faire la liaison entre les son à chaque fois.
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