Ayant peur de tout, j'ai envie de partager mes angoisses. Et par la même occasion, de les personnifier.

(Ces textes sont libres d'interprétation, n'hésitez pas à laisser la vôtre)

Quand je suis déprimée, j'aime à écrire mes pensées. Du coup, je risque d'écrire souvent ici.
Il ne faut même pas chercher un sens à ces textes, sûrement que mon inconscient sait où il voulait en venir, quand à mon conscient il relit sans comprendre.

Parfois, le danger surgit sans crier gare.
Parfois, il prend des formes incongrues.
Dans un village niché au milieu de nulle part,
En tant que flaque, il apparut.

Du français à l’hawaïen, de l’hawaïen à l’ouzbek, de l’ouzbek à l’ourdou, de l’ourdou à l’irlandais, de l’irlandais au portugais, du portugais au basque, et du basque au français, voici enfin la nouvelle version de mon dernier poème.

Mon poème issu de "Pensées", et nommé "plus tard", a désormais son alter ego.
Un alter ego honteux...

Se mettre à nue est toujours trop complexe.

Une amie proche (Sainsu si tu passes par là) m'a demandé d'écrire de la romance. Vraiment quelque chose de niais, bourré de clichés, 100% romantique et aux chapitres assez courts. Alors voici ma tentative...


Je demanderai de l'indulgence, ce n'est vraiment pas mon genre d'écrire des textes pareils (au cas où ça se voit pas à mon profil).

Je crois que je suis un exemple parfait de ce qu'on pourrait appeler "une grande enfant". J'ai donc décidé de répertorier tout ce qui fait de moi une gamine ici.

Une manière simple de distinguer croyance et savoir.

Une fin qui donne un certain sentiment de joie, sur le coup, je ne voyais que ça.

Aujourd'hui, il fait froid, non ?

Les maisons risquent de rester à la vente longtemps dans ce coin...

Pour ce poème donnant le sourire, je vous propose un poème sur une tradition familiale.