Par moment nous ne savons pas si nous rêvons ou si nous vivons vraiment ce qu'on crois rêver. J'ai écris ce que j'ai rêver mais avec le sentiments d'écrire... un souvenir...

Je marche sans relâche, sans pause, sans nombre,
À la recherche de ma place dans l'ombre. Je suis un vagabond de la vie,
Errant sans but, sans rêve ni envie.

Je ne me retourne pas, je ne veux pas voir, Le temps qui me poursuit, qui veut me recevoir.
Je fuis cette horloge implacable,
Qui rythme mes jours, mes nuits interminables.

Sur le trottoir de la vie, je me sens étranger,
Perdu dans une foule qui ne veut pas m'accepter. Je ne sais plus qui je suis, un homme ou un déchet,
Jeté par le destin, abandonné à mon sort regret.

Mon cœur bat fort dans ma poitrine oppressée,
Témoignant de la vie qui coule en moi, blessée.
Je sens mon sang circuler, mais ma tête est blessée,
Par toutes les souffrances du passé que j'ai traversées.

Le murmure du vent m'accompagne dans ma détresse,
Apaisant mes angoisses, m'offrant un peu de tendresse.
Je suis vide, je suis calme, comme en état d'ivresse,
Perdu dans mes pensées, noyé dans ma détresse.

Je me réveille chaque jour avec cette insouciance,
Qui me rappelle que ma vie est une éphéméride en transe.
Je sens que je n'ai plus beaucoup de temps, je le crains,
Et j'entends comme un ricanement dans le brouillard, le chagrin.

Je suis seul dans ma douleur, perdu dans mes pensées,
Espérant trouver un jour une éclaircie, une clarté.
Mais pour l'instant, je marche sans relâche, sans pause, sans nombre, Toujours en quête de ma place dans l'ombre.

Écrire comme un accouchement verbal illégal que l'on assume,
Un flot de mots déchaînés qui s'échappe, un torrent qui s'allume.
Dans l'ombre de la nuit, sur le papier, une symphonie posthume.
Écrire pour ceux que l'on aime, se délivrer de son amertume,
Des mots embrassant les cœurs, tranchant comme une lame, sans coutume.
Révéler nos vérités, nos espoirs, nos échos dans cette brume.
Écrire simplement pour libérer toute la ferveur de sa plume,
Dans chaque ligne tracée, l'âme se dévoile, se consume.
Exprimer les douleurs, les joies, les rêves, une bulle qui s'allume.
La poésie s'élève, s'échappe comme un souffle dans la brume,
Dans un enchevêtrement de phrases, d'émotions qui se consument.
L'encre se mêle aux larmes, les mots défient le temps, s'allument.
Écrire comme un accouchement verbal illégal que l'on assume,
Écrire pour ceux que l'on aime, se délivrer de son amertume.
Écrire simplement pour libérer toute la ferveur de sa plume.
Dans chaque syllabe gravée, une parcelle de nous se consume,
Une danse de lettres qui s'enlacent, sans peur, sans costume.
La poésie nous relie, nous transporte vers des horizons qui s'allument.
Alors écris, libère-toi, laisse parler ton âme sans costume,
Car dans chaque mot, chaque vers, se trouve un trésor posthume.
Que tes écrits résonnent, qu'ils embrassent l'univers, qu'ils s'allument.
Écrire comme un accouchement verbal illégal que l'on assume,
Écrire pour ceux que l'on aime, se délivrer de son amertume.
Écrire simplement pour libérer toute la ferveur de sa plume.

Ceci est un de mes brouillon que je souhaite mettre en place :

La terre est menacé et les dieux prépare une guerre qui risque de détruire l'humanité. Une prophétie peut probablement les sauver... Mais rien n'est gagné.

Dans un monde sombre et mystérieux, Jack Sparkler, un jeune Immortel, se retrouve au cœur d'une guerre ancestrale entre les clans des Ganhtizhar et des Zarhkans, le sien. Alors que Ernell, le cruel chef des Ganhtizhar, cherche à asservir les humains, Jack et son amie Elara sont choisis par leur sage chef, Maître Alistair, pour trouver la légendaire Pierre d'Éternité, un artefact puissant. Leur quête périlleuse les conduit à travers des lieux oubliés et des épreuves terrifiantes, où les choix qu'ils feront impacteront leur monde et celui des humains. Entre alliances et trahisons, Jack Sparkler devra dépasser ses doutes pour devenir le gardien de la lumière dans l'obscurité éternelle.

Le jeune Sacha et sa mère emménagent dans une petite ville qu'ils ne connaissent pas. Sacha découvre son lycée et rencontre un fille, Eva, mystérieuse. Mais un événement étrange ce produit lors d'un cours de sport, changeant Sacha à jamais...

Le Soleil se lève, la lumière s'infiltre passant à travers les petit espaces de ma fenêtre, éclairant pile ton beau visage endormie, calme et serein, je te contemple et te trouve belle, magnifique, angélique, je t'aime.

Dans l'ombre de l'aube, Jade marchait silencieusement,
Un combat quotidien, face à un handicap invisible et pesant.
Sa fatigue chronique, compagne d'une vie en suspens,
Un fardeau souvent incompris, un défi permanent.

Sourires en surface, mais des larmes en secret,
Jade cachait sa douleur, dissimulant son propre reflet.
L'entorse de sa vie, une blessure invisible aux yeux,
Un fardeau qu'elle portait seule, sans pouvoir le dire à ceux.

Qui dans le monde ne voyait pas son combat intérieur,
Le poids des limites, l'épuisement, la douleur.
Car chaque jour, elle luttait, une guerrière silencieuse,
Cherchant la force pour avancer, malgré la douleur tenace, épineuse.

Un jour, l'épuisement devint insupportable, l'espoir s'évanouit,
Jade se perdit dans l'obscurité, son sourire s'éteignit.
Le monde perdit une étoile, un esprit brillant et lumineux,
Emportée par le poids de son handicap invisible et douloureux.

Son histoire nous rappelle l'importance de l'empathie,
De voir au-delà des apparences, d'être une épaule amie.
Pour banaliser le handicap, il faut comprendre la douleur,
Être des porteurs de lumière, des sources de chaleur.

Dans chaque sourire cachant une peine inavouée,
Dans chaque entorse invisible, une histoire à écouter.
Soyons des alliés, des confidents, des cœurs bienveillants,
Pour que personne ne se sente seul face à son propre tourment.

Assis à cette gare, je regarde le temps qui s'écoule,
Les secondes qui défilent, les minutes qui coulent.
J'attends quelqu'un qui ne viendra peut-être jamais.
Je suis là, seul, perdu dans mes pensées,
Le temps, comme une vague qui déferle,
Déroule son cours sans jamais s'arrêter,
Rappelant à notre âme qu'elle est mortelle,
Et qu'il faut donc vivre, aimer et savourer.
Tour à tour doux et amer, il nous entraîne,
Vers des souvenirs qu'on voudrait figer,
Mais il s'envole, laissant derrière lui la peine,
De ne pas pouvoir tout retenir, tout garder.
Le temps est un maître parfois cruel,
Qui nous confronte à la dure réalité,
Mais il peut aussi nous rendre heureux,
En nous offrant la chance de vivre intensément.
Il nous appartient de vivre chaque instant,
De profiter de la vie avec passion,
Car le temps est un éternel présent,
Qui ne nous offre qu'une seule occasion.
Que l'on cherche à le fuir ou à le suivre,
Le temps ne fait que passer sans relâche,
Nous laissant à jamais avec nos souvenirs,
Et nous rappelant que chaque jour est une page.
Il peut être source de regrets et de tristesse,
Mais aussi de bonheur et d'émerveillement,
Il suffit simplement de savoir faire preuve d'adresse,
Et de goûter chaque instant intensément.
Le temps est un compagnon de route fidèle,
Qui nous accompagne tout au long de notre vie,
Et il nous appartient de faire en sorte qu'il nous élève,
En profitant de chaque seconde avec envie.
Alors ne perdons pas de temps à regretter,
Les moments qui ne reviendront jamais,
Mais saisissons l'instant présent,
Et faisons de notre vie une belle histoire à raconter.

Un jeune adolescent qui vis seul avec sa mère, découvre qu'il n'est pas n'importe qui. Il est recherché par une très vieille organisation secrète magique, ce concentrant sur des phénomène mystique et paranormaux, qui souhaite le mettre à l'abris de quelque chose ou de quelqu'un...

Dans le jardin des rêves où les étoiles s'endorment,
Je t'ai écrit un poème, un murmure dans la nuit sans borne.
Là où les larmes se mêlent à la rosée du matin,
Où les souvenirs se tissent en doux satin.

Tu es parti comme une étoile filante dans le ciel,
Laissant derrière toi un océan de tristesse éternelle.
L'ombre de nos silences danse sur les murs,
Et la mélancolie murmure des secrets obscurs.

Dans ce poème, je dépose chaque éclat de douleur,
Chaque écho d'un chagrin, chaque brise de malheur.
Les vers sont des larmes figées sur le papier,
Chacun portant le poids de notre désir de s'envoler.

Les roses pâlissent devant la teinte de tes yeux,
La tristesse se couche dans l'écrin de tes cheveux.
Les émotions, comme des vagues, déferlent en moi,
Et je peins ce poème avec les couleurs de notre émoi.

Au fil des mots, les cœurs se serrent, les âmes se brisent,
Comme des étoiles filantes, nos rêves chutent et glissent.
Ce poème est un cri silencieux dans la nuit noire,
Une étreinte d'émotions, un torrent de mémoire.

Que chaque syllabe touche les cordes les plus profondes,
Que chaque vers évoque nos vies, nos joies, nos frondes.
Dans ce poème, je t'offre l'essence de mes pleurs,
Pour que tu ressentes l'amour et la douleur, dans leurs grandeurs.

Et quand tes yeux effleureront ces lignes tracées,
Peut-être, dans un soupir, tu comprendras l'écho de mes pensées.
Ce poème, c'est l'écho de nos âmes qui se cherchent,
Dans l'immensité des mots, où nos larmes se percheront, lourdes de perches.

Je suis Jack Elvis Santos-Reveira, je suis dileur. Oui pour raconter une histoire, c'est un peut rapide. Mais c'est ce que je suis, je suis pleins de choses, mais...