Ayaël Kazuo
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La rentrée à l’université dans la cité phocéenne permet à Tristan de retrouver ses amis, dont Solène, qu’il connaît depuis le lycée et espère enfin conquérir cette année. Son grand ami Patrice est là pour l’aider, mais la belle étudiante est courtisée et la concurrence est aussi rude qu’impitoyable.
Les relations se nouent et se dénouent au cœur de Marseille, sur fond d’études et d’examens avec pour enjeu l’avenir de tous et de chacun.
Note : l'histoire mettant en scène des étudiants marseillais, de l'argot provençal sera utilisé, bien qu'avec parcimonie. Un lexique est donc mis à disposition des lecteurs.
Les relations se nouent et se dénouent au cœur de Marseille, sur fond d’études et d’examens avec pour enjeu l’avenir de tous et de chacun.
Note : l'histoire mettant en scène des étudiants marseillais, de l'argot provençal sera utilisé, bien qu'avec parcimonie. Un lexique est donc mis à disposition des lecteurs.
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Tout écrivain, amateur ou professionnel, a déjà rencontré au moins une fois dans sa vie ce moment infernal qui nous lie complètement les doigts. Cet état psychologique qui nous empêche de faire quoi que ce soit, contre lequel on ne peut lutter. Tous. Même vous.
Là, je me suis retrouvé dans cette situation. Je n'ai pas fait exception. Je n'arrivais plus à écrire quoi que ce soit. Et le pire dans tout ça est que j'ignorais totalement d'où venait ce blocage qui m'est tombé dessus sans prévenir.
Je raconte tout ici. Comment l'ai-je vécu ? qu'ai-je fait pour y remédier ?... vous saurez tout.
Nouvelle
Là, je me suis retrouvé dans cette situation. Je n'ai pas fait exception. Je n'arrivais plus à écrire quoi que ce soit. Et le pire dans tout ça est que j'ignorais totalement d'où venait ce blocage qui m'est tombé dessus sans prévenir.
Je raconte tout ici. Comment l'ai-je vécu ? qu'ai-je fait pour y remédier ?... vous saurez tout.
Nouvelle
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Malgré ce que le titre peut faire croire, on ne parle pas de politique, mais de langues. Plus clairement, vous allez voir que vous êtes parfaitement capables d’apprendre toutes les langues que vous voulez et comment cela peut impacter votre vie.
Admettons qu’apprendre une langue étrangère soit un superpouvoir… croyez-le ou non, vous le possédez tous. Vous n’en avez juste pas conscience.
« Mon but est de vous inciter à surmonter vos préjugés si vous avez envie d’apprendre une ou des langues étrangères, mais n’osez pas vous lancer. Si, de base, vous vous en fichez, je ne peux rien pour vous. La base de l’apprentissage, c’est l’intérêt. Si l’intérêt n’est pas là, alors à moins de l’éveiller, il n’y a simplement rien à faire. »
Image : Giuseppe Mezzofanti, portrait
Admettons qu’apprendre une langue étrangère soit un superpouvoir… croyez-le ou non, vous le possédez tous. Vous n’en avez juste pas conscience.
« Mon but est de vous inciter à surmonter vos préjugés si vous avez envie d’apprendre une ou des langues étrangères, mais n’osez pas vous lancer. Si, de base, vous vous en fichez, je ne peux rien pour vous. La base de l’apprentissage, c’est l’intérêt. Si l’intérêt n’est pas là, alors à moins de l’éveiller, il n’y a simplement rien à faire. »
Image : Giuseppe Mezzofanti, portrait
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« J’ai beaucoup entendu parler de cette maison. Imprenable, paraît-il. On y entre, on y meurt, personne ne sait ce qu’on y devient ensuite et tout le monde a une vague idée de la cause de tout ça. Mais personne ne l’a jamais prouvé. Personne ne souhaite entrer dans cette bicoque, par peur. »
Nouvelle
Nouvelle
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« – Alors, amorça-t-il, de quoi vouliez-vous me parler ? Je vous écoute.
Mon cerveau fait barrage. J’ai un blocage pendant un instant.
Un court instant pendant lequel j’ai un vif désir de quitter la pièce en lui demandant pardon, incapable de m’exprimer, de faire face à mon problème, à ma tare… Incapable d’affronter ses yeux ronds, à lui aussi, que je visualise déjà, que je redoute.
J’inspire un bon coup, déglutis.
J’ouvre les yeux, puis la bouche.
– Eh bien, je… »
Mon cerveau fait barrage. J’ai un blocage pendant un instant.
Un court instant pendant lequel j’ai un vif désir de quitter la pièce en lui demandant pardon, incapable de m’exprimer, de faire face à mon problème, à ma tare… Incapable d’affronter ses yeux ronds, à lui aussi, que je visualise déjà, que je redoute.
J’inspire un bon coup, déglutis.
J’ouvre les yeux, puis la bouche.
– Eh bien, je… »
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Discussion à la pause déjeuner.
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