Chacha
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de toujours
Je sais pas, je sais pas... Ce qu'on nous a fait, Pourquoi toi, si froid et si distant à en oublier, comme tu étais si bon avec moi, avant. Pourquoi moi, si collante, Amoureusement folle et dépendante, Dans l'attente, D'un amour, qui ne verra jamais le jour... Pourquoi nous, Nous deux, amoureux et fous... Je sais pas, je sais pas... Pourquoi le destin, nous a fait nous connaître... Nous rapprocher, nous aimer à en perdre la tête, Jusqu'à nous séparer et prendre la poudre d'escampette... Maintenant, me voilà, condamnée à perpéte... A t'aimer, te détester, jusqu'à m'user, sans jamais t'oublier... À la bonne heure, peut-être... Je sais pas, je sais pas... pourquoi les gens s'aiment, se désirent, se blessent... Je sais pas, je sais pas... Pourquoi les gens s'aiment, s'unissent, se déchirent et s'abandonnent et se perdent... Je sais pas... Je sais plus... Je voudrais savoir... Prise au dépourvue et prisonnière Du temps, de l'amour, de la toile sur laquelle, on s'est connue... Tous ces mots posés et pensés pour toi, pour nous, pour le respect d'entre nous... Je sais pas, je sais pas... Combien de temps encore, cela va durer, Ni quand, La naissance de ces mots sera-t-elle, Enfin, portée d
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Aujourd'hui, 6 septembre 2023, date à laquelle je suis née, il y a maintenant 44 ans, je remercie la vie, je remercie d'être en ce monde, malgré toutes les épreuves parfois difficiles à surmonter...
Je décides qu à partir de ce jour et jusqu'à ce que je ne puisse plus le faire, j écrirai un Haïku par jour, un Haïku par jour pour apporter l'énergie, la persévérance, la force, la paix dans mon esprit... et les partager avec vous lecteurs, chaque Haïku peut parler intérieurement à chacun d'entre nous de bien des manières...
Je souhaite me tenir longtemps dans cet objectif de réparation intérieur... Merci à vous tous.
Chacha.
Je décides qu à partir de ce jour et jusqu'à ce que je ne puisse plus le faire, j écrirai un Haïku par jour, un Haïku par jour pour apporter l'énergie, la persévérance, la force, la paix dans mon esprit... et les partager avec vous lecteurs, chaque Haïku peut parler intérieurement à chacun d'entre nous de bien des manières...
Je souhaite me tenir longtemps dans cet objectif de réparation intérieur... Merci à vous tous.
Chacha.
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Tic tac, tic tac, passe le temps Tic tac, tic tac, passe le vent, Tic tac, tic tac, sur le Tarmac, et bim, bam, boum, C'est un véritable vandale qui déballe son sac, ses mots et son bordel... Miracle dans la débâcle, D une ardeur trop vive, bien équipé, Nous achèvent, De part ses mots aiguisés, de part son flow acidulé, il a la pêche... En pleine réflexion à l'horizon, mais à quoi bon, Ce priver d'un si délicieux bonbon, parfum citron; Vaudrait mieux le laisser fondre Et non le croquer à le faire s'éclater et se perdre parmis les autres fruits sucrés, se multiplier... Tic tac, tic tac, Mon bien aimé, maintenant, allons nous promener, accompagné de ce silence, Etouffé par la nuit... Par les bruits de tes soupirs, Qui en disent longs et rebondissent jusque, dans le fond de mes illusions... Puis, les voilà qui s'installent, comme à I usine, Sur mes joues, dans mon cou et pour finir délivrerons, pour toi, pour nous, Ce scandale de jolis mots Bien sentis, bien pensés avec équité, Parsemé de joie et de plaisir partagé, Pour soigner ton corps, ton coeur et tes maux; Faire, qu'en ce temps précieux pour nous deux, jaillissent et fusionnent nos plus belles pensées... De légères à démesurées.
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Le tournesol... À perte de vue, à perte des champs, Enivrant dès l'aube du printemps... Sa tête Jaune, marron ou beige comme un soleil, un mélange de gouache à la maternelle Sa tige verte, rigide, toucher velours, D'un vert froid menthe à l'eau glacial, un vert bambou des îles tropical Son style bohème, son allure fière et insolente, à l'image d'un dieu Grec, Hades ou Apollon comme la traversée du fleuve Rubicon... Nous laisse sans voix, nous soumet à sa beauté élégante, tel un angle droit... Au gré du vent, Le tournesol fait sa loi, toujours en tête à tête avec le soleil C'est lui le roi.
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Face à l'amer, face à la mer La mer nature, la terre... Explosion d'aventures... Poétesse, cruelle, merveille du monde exponentielle... Douceur d'âme, vague profonde, tempête féroce, vague à l'âme... Un monde magistral des profondeurs de l'océan, de l'espace, l'univers en deux temps...
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Défi
Minuit pile ! Par la fenêtre de son poste de travail, Gaspard, aiguilleur de train, attend, patiemment, depuis des heures, des jours, des années pourtant. L'arrivée de sa douce, qui lui avait promis de venir, un vendredi à minuit. Cela fait bientôt, vingt longues années déjà.
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Cocotte D'ici ou d'ailleurs... D'aujourď'hui, hier ou demain... Cocotte un jour, Cocotte toujours... Cocotte qui parle, qui braille, Qui brille et qui s' éparpille... Au milieu du temps, au milieu des gens, qui s'ennivre nez au vent... Cocotte qui lis, Cocotte qui fuis, Au saut du lit avec ou sans mépris, Un coeur, Une âme blessée... Que seul un ange, à su sauver... Cocotte qui aime, qui adore et qui vénère les mots sans sanglots, les bons, les mauvais, les plus beaux... Cocotte au grand coeur, dévouée à l'amour, à l'âme sœur avec ou sans peurs... Cocotte qui pleurs son dur labeur, ses yeux, sa bouche, ses cheveux sonnent comme un saulepleureur ... Cocotte sourit, Cocotte polie... Cocotte jolie. C.
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Pourquoi toi ... Pourquoi nous ... Pourquoi je t'aime toi et pas celui d'entre nous, celui d'à côté, Pourquoi lui, ce toi que je ne voulais pas, celui du début qui est parti comme un filou, sans avoir prévenu, pour laisser place à l'imprévu ... Je voudrais t'écrire des mots doux, Des mots d'amour et attiser ton retour... Je voudrais que tout redevienne comme avant, quand tu m'aimais, quand tu ne faisais pas semblant... Je me fais à l'idée que tu sois parti, que tu m'ai laissé, pour une autre ou pour retrouver ta liberté... Je ne fais pas semblant, je t'aime vraiment, l'envie de t'écrire, de te parler tout le temps, te serrer dans mes bras, t'embrasser et sentir ta peau, ton parfum suspendu à mon nez, à mon âme envoûtée... je ne le ferais pas, je me rappelle que pendant tout ce temps où je pense à toi, Où tu me manques, où t'es en planque... Je sais bien, que tu le sais déjà, mais que tu préfères faire le mort, faire ta vie en solitaire, en célibataire... Tu te sens supérieur, invincible comme le cruel Darkvador Cette fois j'ai compris, je ne craquerais pas... Alors j'écris, ici et là, sur la toile, sur le fil, Sans faire de bruit, sans faire de vagues, Doucement, je me remettrais d
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Avant, c'était mieux, Avant, c'était vrai, Avant, c'était pieux, il était respectueux... C'était quand, l'avant ... Maintenant, c'est l'enfer, C'est la guerre qu'il préfère, le côté sombre de son univers... C'est tout le contraire, le monde à l'envers, D'où la rencontre avec Lucifer descendu des enfers... Un jour sur deux, le Diable change d'humeur, même souvent, il aime faire peur... Bipolaire à ses heures, Cela le met en joie, c'est son passe temps, à la bonne heure... Ca casse du sucre et sans mal, Ca s'émiette et s'éparpille comme des grains de sable diaboliques... Ça déballe certains secrets, à ciel ouvert, demi-ton, demi-teinte, Juste pour engager, l'étreinte et éternelle feinte... Un jour sur deux, Nous enterrer ou nous ridiculiser qu'il préfère, Ce cher Lucifer... Un quotidien usant dans cet antre brûlant... AÀ en devenir paranoïaque et fou, Ô pensées démoniaques, y voir flou... Repousser le cyanure, l'élixir dont on voudrait se munir pour ne plus avoir à fuir, Affronter le présent et s'enfoncer dans de sombres idées... S'abreuver de ce sérum, mettre fin à tout ce mantra, Noir, En finir, avec cette histoire, noire... On n'es plus, on est lui... On vis dans la peur et l'effr
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