il éxite une ville ou une consonne est bannit, la 18éme de l'alphabet

Je suis dans la gare, pourquoi ? Car je vais à Paris en train. Je suis très en avance, quand soudain un autre train arrive et un garçon vêtu de noir sort du train, il court à toute allure vers moi et me donne une clé en me disant : « pas le temps de t’expliquer, je compte sur toi » puis des messieurs avec des lunettes (genre espion) lui courent après. Je suis encore choqué par ce qui vient d’arriver mais le train arrive et je dois partir, je mets la clé dans mon sac et rentre dans le train. Comme je n’ai rien à faire je décide d’examiner la clé, elle est dorée avec plein de jolis détails et des mini-diamants (surement des faux). Mais au bout d’un moment je remarque qu’une dame avec des lunettes (genre grosse intello) me regarde, ou regarde la clé, alors je range vite la clé dans mon sac. Mais la dame saute sur la clé et essaye de me la piquer, mais je ne la lâche pas, je finis par réussir à lui arracher des mains et partir en courant. Une fois arrivé à Paris, je m’installe dans mon hôtel et repense à cette journée bien agitée. J’observe cette clé de plus prés et je remarque qu’il y a écrit J-F, je recherche sur mon téléphone « clé J-F ». je trouve un long texte sur cette clé :
«  La clé J-F est sans aucun doute la clé qui renferme le plus de secret, cette clé a été créée par Jean Fourier qui décida de crée cette clé pour enfermer la machine la plus puissante au monde, cette machine avait le pouvoir de commander la terre, les humains, les animaux… Avec cette machine on pouvait refaire le monde. Jean décida donc d’enfermer cette machine dans un coffre fermer par la clé J-F, ce coffre se trouve aujourd’hui dans les égouts de Paris, quant à la clé elle fut jeter dans la Seine. »
Je compris soudain pourquoi tant de personnes voulaient cette clé. Je ne pouvais pas prendre le risque de perdre cette clé, je suis soudain tombé sur une phrase d’actualité datant d’hier :
«  Le coffre J-F qui venait d'êtres retrouvés vient d'être retrouvés qui est le voleur ? » 
Ce qui avait volé le coffre étaient surement les hommes en lunettes noir qui poursuivaient le garçon qui m’avait donné la clé. Je ne sais plus quoi faire, si je donne la clé à quelqu’un il pourrait êtres tenté d’ouvrir le coffre, même si le coffre à était volé, mais si je la cache, vue comme je suis nul à cache cache on la trouvera en deux secondes. Quand soudain une idée me vient pourquoi ne pas trouver le coffre et faire en sorte que la machine n’est jamais exister tout comme la clé. Bon il commence à êtres tard je le chercherais demain. La nuit est passé et je vais aller vers les champs Elysées, soudain je vue une magnifique robe rouge en dentelle, dans une boutique vraiment pas chère, mais je ne suis pas venu pour ca alors je vais continuer mon chemin. Mais devant moi je vois soudain les hommes en lunettes noirs que j’avais vues à la gare. Et la mes venue la merveilleuse idée de les suivre, je les observe de loin (environ 2 mètres) quand il descende dans des zone interdite des égouts, je décide de ne pas les suivre mais de faire les boutiques tout en observant si il sorte des égouts, deux robes et un  t-shirt plus tard les hommes sortir et partir très loin. Alors je vais descendre dans les égouts (horrible, ca pue !) C’est facile de ce repéré car c’est une ligne droite, soudain je trouve la boite, bon je vais ouvrir mais je stresse un peu, bon j’ouvre, la machine est magnifique et facile d’usage il y a trois boutons et un clavier, un avec écrit effacer, un autre avec écrit crée et avec écrit changer. Je clique sur effacer et commence à noter « La clé J-F, la boite J-F et… ». Mais soudain j’entends des bruits, alors je cours tout en notant (j’ai réussit à écrit deux lettres) mais la il y a deux chemin alors je prends le chemin à gauche et remonte en haut par une autre plaque d’égouts. 
«  La clé J-F, la boite J-F et la machine J-F ».
Soudain le monde s’arrête (sauf moi car je tiens la machine entre mes main) je sens une bouffé d'aire puis la clé, la boite et la machine disparaisse Le monde à reprit son court personne ne se souvient de cette machine, mais moi je men souvient ! 

J'étais là, sur mes petites pattes, avec ma queue qui bougeait dans tout les sens, j'avais un joli pelage gris, mais j'étais dans un petit trou, quand je dis petit, c'est petit !
Bon, il faut bouger, je ne vais pas rester dans ce petit trou miteux toute ma vie. En sortant, l'air frais me fait bouger les moustaches. Enfin frais, ce n'est pas le mot, il y avait une vieille odeur de chaussettes et de cigarette. Au dessus de ma tête trois hommes, le premier était assis sur une chaise, portait un pantacourt kaki et un t-shirt tout plein de transpiration, le deuxième était debout et portait un bandana rouge avec des boucles d'oreille et ses vêtements étaient tellement moches, quant au troisième il était habillé très élégamment, avec un costume noir et une cravate rouge.
Je tendis l'oreille, pour entendre la conversation, mais ils chuchotaient, je sais que j'ai des grandes oreilles, mais ce n'ai pas si facile. 
- Vous avez compris, dit le plus élégants.
- Ze croit que zai compris, dit celui qui était assis, son zozotement me dérangeait réellement.
- Quoi ?!?! Tu crois ?????? 
- Non, il est sûr, dit le dernier.
- D’accord, alors qu'il répète, dit-il avec une touche de moqueries dans la voix.
- Ze vais aller avec Maurize, pour voler le diamant, puis ze te le donne.
- Et comment tu fais pour le voler.
- Ze...enfin...zai oublié
- Comment voulez vous que j'avance avec deux boulets comme vous !!!
- Avec un boulet, dit l'un discrètement

- Je le dis une dernière fois, tu prends la mallette frappe la dame avec, Maurice désactive le lazer, il met le diamant dans la mallette, tu donnes à Maurice le faux diamant, il le remplace et vous partez.
Mais ce sont des voleurs, je suis donc leur complice !!!!!!!! Je ne sait pas garder un secret, je vais tout finir par avouer.
Mais je suis une sourie, il me suffit de retourner dans mon petit troue et ma vie seras comme avant.