Les années passent, mais tout recommence sans cesse. « Cela revient au même d'avoir observé les choses de ce monde cent ans durant ou pendant trois ans. » écrivit Marc Aurèle.

Cette histoire, qui suit la règle du défi d'Hisoka, est en évolution constante et elle est également - avant tout - un lieu d'exercice pour mon écriture. Je ne sais pas où je vais, mais j'espère pouvoir repérer des thèmes récurrents chez moi, des motifs qui tournent eux aussi en boucle. Pour mieux me comprendre.

Il y a certaines choses que je n'ai plus envie de coucher sur un petit journal secret, et que j'aimerais plutôt vous partager. Les Pensées pour mamène ne viennent pas d'un empereur, elles sont celles d'un bien piètre animal : moi. Difficile de les considérer en véritables réflexions, parce que ces idées sont à l'état brut. Elles sont sauvages, irrégulières.

Couverture : René Magritte, La Reproduction interdite, 1937.

Quand j'ai lu ce défi proposé par PolarisStewart, je l'ai trouvé amusant mais je ne savais pas bien sur quoi écrire. Puis j'ai remarqué que ma guitare avait cette forme de sablier si recherchée par les mannequins actuels...

Photo de couverture : Guitar, par vertxx. (Deviantart)

Quoi que tu sois ou que tu fasses, j'en veux encore.

Photo de couverture : Portrait aquatique de Mira Nedyalkova