Extrait :

Soumise par amour :
"Tu emprisonneras mes poignets ligotés dans tes mains et pèseras de tout ton poids sur moi. Tu m'embrasseras la nuque, ce qui susciteras en moi une pointe de désir. Un tout petit instant de douceur jusqu'à ce que tu murmures : « À chaque fois que tu désobéis, ça sera 5 fessées »."

Une danse sensuelle:
"C'est un supplice divin, toi glissant si profondément en moi, la rencontre humide et pleine de passion de ton corps avec le mien. Tu gémiras mon nom, encore et encore, comme je gémirais le tien à ne plus en finir. je agripperais aux draps pour fuir un moment tant d'excitation et de délire. De nouveau, tu prendras mes lèvres pour des baisers langoureux et passionnels qui effaceront à jamais les baisers de quelques précédentes conquêtes."


BIG UP à ceux qui m'ont encouragés vous même vous savez ♥♥

Des conseils en amour ? Une explication à l'amour ?

Elle avait mal au cœur.... j'étais là pour elle.... il m'a fait mal au cœur... j'attendais encore ...

Nous étions à table, pour Noël, mon petit ami était assis en face de moi. Cela faisait déjà quelques heures que nous étions assis avec nos familles à échanger des politesses. Nous nous ennuyions à mourir. Soudain, je sentis monter le long de ma jambe, un pied. Je jetai un coup d’œil autour de la table et lançai un regard à mon chéri qui sourit malicieusement.
Me gêner l'amusait au plus haut point. Il se débarrassa de sa chaussure et avec son pied, il releva ma robe. Je ne portais qu'une fine culotte blanche en dentelle . Il me lança un regard charmeur et esseya de me débarrasser de ma culotte.
Amusée, je me laissais faire. Il réussit, alors discrètement, je m'abaissai rapidement sous la table sous les regards curieux des convives. Je pris ma culotte laissée au sol et la rangea dans ma pochette.
Je me relevai, et posai mes mains sur la table. Il reprit ce qu'il faisait, son pied nu, s'introduit près de mon entrejambe et il commença à me caresser l'intérieur de mes cuisses. Ce qui provoqua en moi des frissons, et un léger mouvement de recul. Les membres de la famille ne se doutaient de rien pour l'instant.

Il continua de plus en plus vite et de plus en plus proche de mon sexe. Je m'agrippai à la nappe de la table et essayai de retenir en moins un gémissement. Il m'excitait m'excitais et il le savait.
Après quelques instants, il entra brusquement en moi ce qui m'arracha un gémissement de surprise. Tous les regards convergèrent sur moi et je fis mine de tousser. Il ne put s'empêchait de rire. Je le fusillai du regard, ce qui ne l’empêchait pas de continuer. J essayais que je pouvais cependant de petits cris de plaisir s'échappèrent de ma bouche.

Je ne pouvais plus tenir en place alors je m'échappa en disant simplement " je vais me rafraîchir", personne ne m'accorda d'importance. Je montai à l'étage suivie de près de mon homme, rouge d'excitation.

Nous sommes entrés dans la première chambre pour terminer ce que nous faisions..

censuré

Une lettre de résolutions des personnages érotiques de l'oeuvre "Erotique Diary"

Pardonne moi je t'en prie, je t'en conjure laisse moi une dernière chance ...

Ecrire c'est donner du sens à nos pensées,
Ecrire c'est mettre des mots sur toutes nos pensées, les plus morbides aux plus belles, les plus romantiques aux plus sadiques,
Ecrire c'est aussi donner un sens à notre imagination,
Ecrire c'est donner au lecteur une clé pour s'échapper de son monde, triste, fade, sans couleur,
Ecrire c'est dire à quel point on est triste, à quel point on est heureux, à quel point on l'aime, à quel point elle nous plaît, à quel point elle est belle, à quel point il est attirant, à quel point elle est intelligente, à quel point il est irrésistible,
Ecrire c'est graver nos souvenirs, nos mémoires, notre vécu , notre histoire,
Ecrire c'est laisser une trace sur cette Terre, une empreinte de notre passage,
Ecrire c'est avouer des secrets inavouables, c'est mettre en avant nos fantasmes, nos phobies, nos peurs, nos souhaits,
Ecrire c'est se plaindre, admirer, aimer, se satisfaire,
Ecrire c'est avoir la possibilité d'être libre pour une fois,
Ecrire cher lecteur c'est aussi te satisfaire, te donner envie de vivre des aventures, te donner envie de sexe, te donner envie d'aimer, te donner envie d'être aimé, te donner envie de fondant au chocolat, te donner envie de liberté, te donner envie de commenter cet écrit, te donner envie de me laisser un coeur, te donner envie de m'écrire et de me partager ton ressenti, ta tristesse pour que tu deviennes à ton tour écrivain !

Dans les deux sens je dis, et je prévois que la mariée ira mal.

2 inconnus, une chambre, un lit, des ordres, des secrets mais une seule liberté !

--------D'une oeuvre : life is in trouble -------
Pour savoir qui nous sommes en théorie, il faut voir qui nous étions, puis qui nous voulons être et enfin faire la différence des deux, une simple soustraction.
*Flash back*
Nous sommes en cours, à l'avant dernier rang, sur des paillasses de science, l'un à côté de l'autre, comme de vrais amis, nous avons le sourire aux lèvres, nous bossons ou du moins nous avons l'air de bosser. Mais en vérité, nous discutons, il me raconte ses ébats sexuels avec sa copine, il me donne une leçon sur le sexe, la cyprine, l'éjaculation,... Il est à fond dans son explication, tout ce qu'il me laisse dire est « je ne veux pas entendre ça », il l'a bien compris mais ça lui est égal. Cette manière qu'il a à toujours vouloir tout contrôler et tout dominer m'impressionne et m'énerve en même temps. Je l'écoutais, je rigolais quand il faisait des gestes inappropriés. Je me sentais bien, je me sentais moi-même. La cloche sonne, on ramasse nos affaires, il sort de cours, je lâche un bref salut, et il me lâche un bref regard, et c'est bon, ça s'arrête là. Heureusement, ce soir j'ai boxe.
*Fin du flashback*
C'est comme ça que j'avance dans la vie, je frappe dans les punchingballs pour me vider de ma colère, de ma tristesse, de ma souffrance et de mon désespoir. Et oui, ma passion numéro 1 est la boxe, en sous-entendu le kick-boxing, le thaï-boxing, la boxe française et la boxe anglaise. Un excellent moyen de se défouler, je vous le confirme. Je suis une piètre danseuse, une casserole quand je chante, deux pieds gauches au football, ... Mais en boxe, une superbe machine à donner des coups, et un superbe punching-ball lorsqu'il s'agit de sparring. Mon coach m'adore, c'est réciproque, je me suis fait d'excellents partenaires à la salle de sport, la plus jeune fille de l'équipe, une parmi trois autres. Comment se passent mes séances ? Un vrai calvaire pour ceux qui n'y sont pas habitués, une demi-heure de cardio, courir, sprinter autours du ring, sueurs et bouteilles d'eau au rendez-vous. Quelques échauffement aussi, tourner les bras comme ci, les poignets comme ça, squatter, faire des pompes, pas chassés, talons-fesses, ... Ensuite, chacun son matériel, gants, protèges tibias et pour certains protège dents, dont moi, pas très pratiques les bagues aux dents. Quelques combats amicaux pour l'entrée en matière, puis des enchaînements que l'on apprend comme des chorégraphies. Essoufflés, nous passons au renforcement musculaire, abdominaux ou séries de squat, de jumping-jacks ou même de climbing. Ou bien nous passons aux sparrings, coups réels, droite, gauche, crochet, uppercut quand c'est seulement les bras et les mains. Si nous avons l'accord pour kick-boxing (tout le corps), middle kick, high kick, front kick, spidding back fist sont au rendez-vous.
*Flashback*
En cours, lui assit à côté de son meilleur pote, moi, un peu plus devant, près d'une amie. C'est son anniversaire. Tout le monde le lui souhaite, tout le monde fredonne la mélodie, tout le monde sauf moi, son ami le lui fait remarquer. Il rit, n'a pas l'air vexé, dans ma main, son cadeau, je le serre depuis 10 minutes, une gourmette plaquée argent, son nom y est inscrit, gravé à tout jamais. Il ne le sait pas, ne se doute de rien. Les deux acolytes me charrient, je ne lui ai pas souhaité un joyeux anniversaire à minuit comme l'ont fait tous ses amis. Je veux marquer le coup, faire quelque chose d'unique, d'inoubliable et spécial. La cloche sonne, fin du cours, je lui demande de patienter sans son acolyte. Impossible, ce parasite est trop collant. Énervée et déçue, je supplie cet ami de me laisser seule avec l'heureux du jour, peine perdue. Alors, je demande à cet imbécile heureux de tendre sa main, il exécute, méfiant, j'y dépose son présent, referme sa main, lui lance un regard triste et m'échappe de cours. J'entends vaguement « Tu n'es pas un chien... tu n'oublieras pas ton prénom... un bracelet où il y a écris ton nom ! », c'est son meilleur ami ! Je dévale les escaliers, larmes aux yeux, le cœur lourd, la gorge sèche, je regarde autour de moi, c'est la pause de 10h.

Une lettre à lui, à celui qui m'a laissée.