
gai motus
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Lucas, jeune étudiant, tombe sur une annonce de serveur dans un club privé. Il va découvrir son homosexualité au travers d'un grand amour, et toutes les implications que cela entrainent...
(ATTENTION : des passages sont "sensibles", mais savoureux ! / lecteur prude, passe ton chemin)
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Histoire gay et érotique.
(élucubrations écrites pendant le confinement de 2020... puis poursuivies... puis corrigées)
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pour public averti
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Un quarantenaire se souvient des débuts de sa vie d'adulte...
Au cours de ces années de lycée, Sylvain va rencontrer Camille l'indéfini, Charly le ténébreux et Marianne la référence. D'autres personnages apparaitront, comme Elias le solaire, Eugénie l'impératrice.
Face à ces personnalités, Sylvain hésite, ne parvenant au bonheur qu'en glanant le meilleur de ces personnalités.
Pourtant, il faut choisir...
En terminant ces mémoires, il revient sur ce choix, nous ouvrant d'autres perspectives...
(ce texte a déjà été publié sous un autre nom)
Au cours de ces années de lycée, Sylvain va rencontrer Camille l'indéfini, Charly le ténébreux et Marianne la référence. D'autres personnages apparaitront, comme Elias le solaire, Eugénie l'impératrice.
Face à ces personnalités, Sylvain hésite, ne parvenant au bonheur qu'en glanant le meilleur de ces personnalités.
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La vie débute pour ce jeune homme...
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Une histoire courte écrite en confinement...
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Un anti-héros absolu face à un ange noir...
Qui est le démon ?
Du sexe, des sentiments, de l'action...
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Défi
Nous nous connaissions depuis toujours. Il habitait à l'autre bout du quartier, mais venait souvent dormir à la maison. L'ambiance était autrement chaleureuse dans ma famille baba cool que dans la sienne, sévère, terne et triste. Lui, vilain petit canard, rayonnait en permanence. Ce n'est pas pour ça que nous étions inséparables, c'était une évidence pour nous et pour tout le monde.
Il était le deuxième fils et mes parents nous avaient installé un grand lit, car c'était simplement plus confortable.
Nous échangions tout, nous avions comparé nos pubertés, naturellement, en toute simplicité. Il n'y avait jamais eu aucun geste entre nous, hormis ceux de tendresse ou de consolation, parfois si nécessaires quand on est enfant ou adolescent. Nous parlions de nos conquêtes, de nos émois avec les filles, tellement désirables et tellement incompréhensibles.
Nous partagions tout, sauf le sport. Tom était mieux bâti que moi, plus musclé et plus joli garçon. Intellectuellement, il était plus brillant, mais infiniment fainéant, alors que la curiosité me tenait en effervescence. Je l'ai toujours admiré, pour son physique, sa jovialité, son amitié si chaleureuse qui me faisait me sentir indispensable. Je n'aimais pas ses camarades de foot, trop cons. Surtout Mat, le capitaine et le meneur.
Ce soir-là, il y avait eu une victoire à fêter, chez Mat, où les parents étaient toujours absents. C'était quelques maisons plus loin. Comme chaque fois, je récupérais Tom complètement soûl, incapable de rentrer chez lui, où il se serait fait incendier.
Je le fis monter, arrivai à le déshabiller avant qu'il s'effondre sur le lit. Je dus encore le faire rouler, pour avoir une petite place. C'était mon ami, je prenais soin de lui.
Ses ronflements me réveillèrent et j'allais pisser. Quand je revins, il était étendu sur le ventre. Je le connaissais, mais ce matin, je vis son derrière, pris dans son boxer. Cette rondeur me fascina et une envie irrésistible m'envahit. Je me penchais et posais un petit baiser. Cela me fit perdre la tête. Je fis glisser le tissu pour libérer ces courbes, à peine duveteuses. Je le sentis se réveiller. Honteux, je reculais. Il se mit à gigoter pour se libérer, avant de m'exposer cetre harmonie. L'invite était evidente. Je posais un, puis deux, puis d"incessants petits baisers, pris par une frénésie incontrôlable. Son absence de réaction m'enhardit. Je caressais de mes mains, alternant avec ma bouche. Son sillon m'attirait, je l'écartais, trop désireux d'atteindre un interdit. J'étais perdu dans une enivrante folie. Quand ma langue se posa sur sa fleur, alors que j'étais aux portes du Nirvana, la raison me revint brutalement. Horrifié par ce que je venais de faire, je me reculais à nouveau, heureux qu'il ne m'ait pas repoussé avec dégoût. Encore confus, j'entendis alors :
— C'est déjà fini ?
Il s'était retourné, exhibant un mat que j'avais déjà vu souvent dans cet état, fin et élégant, lisse et marqué de veines, couvert d'un beau chapeau qui laissait entrevoir un rosé tentant. Sa phrase me désinhiba, libérant une fougue inconnue. Je me jetais sur ce membre, l'avalant goulument. Nous étions tête-bêche et je sentais son souffle sur mon pubis. J'étais trop occupé pour regretter une absence de contrepartie. Que c'était délicieux de savoir que chacun de mes petits mouvements entraînait une réaction ! J'avais une main sur ses adorables rondeurs et une autre sur son ventre. J'ai ressenti des contractions avant d'être plein de son nectar. J'avalais sa semence, poursuivant mes câlins bocaux jusqu'à ce que son sexe se soit relâché. Il s’était rendormi, un sourire immense baignant son beau visage. Je le rejoignis dans le sommeil.
Je me réveillai seul dans le lit. J'entendais sa voix et celle de mes parents en bas. Soudain, le souvenir de ce que j'avais fait me plomba. J'avais souillé à jamais notre relation, avec cette pulsion irrépressible. Il m'avait laissé faire, à cause de sa gentillesse habituelle et de sa tendresse pour moi. Et puis, j'avais aimé ces caresses, boire cette ambroisie, le voir heureux. J'étais doublement coupable. Ma vue s'arrêtait là. J'avais tout détruit sans m'en rendre compte.
Mon nom fut lancé, pour me faire descendre. Comment me présenter devant celui à qui j'avais tout pris ? Je me présentais la tête basse, triste à en mourir, avec le seul désir qu'il ne soit pas là, qu'il n'ait jamais existé. Mes parents étaient silencieux, s'interrogeant sans doute sur mon attitude. Je sentis son regard darder sur moi et ma honte. Sous ce feu, je ne pus que lever les yeux pour voir son merveilleux sourire et l'éclat d'un clin d'œil. C'était impossible. Je m'assis pour aussitôt sentir ses jambes nues s'emmêler aux miennes sous la table, déclenchant une réaction, heureusement invisible.
Ce fut tout. Aucune parole, aucun geste ne survint ensuite. Notre relation se poursuivit, inchangée dans son intensité. Les études nous séparèrent pour des retrouvailles encore plus chaleureuses. Il connut Anna, comme je connus Alice. Nous étions quatre, c'était non négociable.
Il fut le témoin de mon mariage et moi du sien. Le jour de sa cérémonie, alors que nous attendions pour partir à l'église, tous les deux, dans un dernier moment de complicité, il me dit :
— Marc, tu te souviens du lendemain de ma nuit de beuverie ?
Je rougis, tellement c'était frais et intact dans mon esprit.
— Tom...
— Tu sais, j'ai regretté de ne pas être allé plus loin.
— Tom...
— Je n'ai jamais osé t'en parler. Mais, c'est le plus beau souvenir de notre amitié.
— Tom...
— Marc, avant de nous séparer, j'ai envie que tu me fasses tes adieux.
La pulsion revint avec la même intensité. Je défis son beau costume gris pour retrouver cette verge déjà tendue pour moi. La même sensation de plénitude. Je ralentissais mes mouvements, les voulant éternels, alors que la porte pouvait s'ouvrir à tout instant.
On nous appella. La tension était au maximum et j'allais retrouver cette délicate ambroisie, la remâcher avec délectation. Ça allait trop vite. Je ne pus le conduire jusqu'au repos, laissant perdre une goutte sur son pantalon. C'est ainsi marqué de ce sceau qu'il épousa Alice. Au cours de la soirée, alors que nous dansions ensemble, ses yeux obligèrent les miens à descendre sur cette tâche. Son sourire de remerciement m'en disait tellement long !
***
La vie continua. J'ai eu beaucoup de mal à faire accepter par Anna mes explorations d'intimité. J'adorais la forcer à cette ouverture, recherchant un plaisir inachevé. Rapidement, cependant, elle céda devant ce plaisir interdit. Elle en ressortait honteuse et satisfaite. Je persévérais, y trouvant un aboutissement à ma pulsion profonde.
L'amour s'estompa, car il manquait quelque chose qu'Anna alla chercher chez un collègue bellâtre plus jeune, malgré notre fille. Tom vécut la même chose et nous partagions les mêmes déceptions, les mêmes incompréhensions.
C'est ensemble que nous assumèrent nos échecs conjugaux, nos séparations. Leur fils et notre fille restaient plus liés qu'un frère et une sœur et, malgré leur dizaine d'années, ils partageaient également ce choc dans leur petite vie.
C'est donc naturellement que nous sommes partis en vacances, les deux potes désabusés, les deux enfants, trop heureux d'une vie sans contrainte. Nous savions ce que nous allions trouver même si nous n'avions jamais évoqué cette recherche. Nos enfants vivent maintenant avec deux papas, heureux de leur bonheur.
Peut-être que nous devions simplement attendre...
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Il fut surpris de la voir à la maison quand il arriva ; le midi, elle ne rentrait pas et il avalait un frichti avec un œil sur le journal télévisé. Son air indiquait quelque chose de grave. Il allait la questionner quand elle lui désigna le journal du doigt. En manchette : « Manifestation des agriculteurs à la préfecture », avec une immense photo. Ils n’étaient pas abonnés ; un ou une de ses patientes avait dû lui donner. Il y était, hier, à cette manif. En quoi… Son interrogation du regard refit pointer le doigt, cette fois vers le haut de la photo. Pourquoi ne disait-elle rien, alors que d’habitude…
Il se pencha. Derrière le tracteur, en arrière-plan, mais bien visibles, deux hommes s’embrassaient, se tenant par la main. Jeremy était difficilement reconnaissable, mais sa veste rouge ne laissait aucun doute !
Quoi lui expliquer ?
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Flirian et Armand, 14 ans, se découvrent.
La réaction des parents est catastrophique.
La réaction des parents est catastrophique.
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Normalement, je ne regarde pas les mecs dans le métro. Je veux dire que je ne suis pas insensible, mais je reste discret. Lui, je ne l’ai pas vu de suite. J’ai attrapé le métro de justesse et j’ai pu me caler dans un siège, abruti de fatigue. La soirée avait été intense. J’aime bien ce petit job de serveur le vendredi soir. Pas pour ce qu’il me rapporte, mais pour l’impression de liberté dans mes mouvements. J’aime y mettre de la grâce. Je ne veux pas dire féminité.
Il me regardait, c’est pour ça que je l’ai aperçu, à l’opposé de moi. Il y avait encore du monde et seul son visage m’apparaissait, plutôt ouvert et sympathique. C’était la première fois que j’étais l’objet d’une telle attention. J’étais confus, mais je ne crois pas avoir rougi.
Quand le métro s’est vidé, j’ai pu le regarder. Un mec vraiment magnifique : de longues jambes dans un jean serré, un t-shirt qui moulait des pectoraux et des abdo parfaits, des bras puissants, mais pas trop gros. Je n’aime pas les mecs virils. Je préfère ceux qui sont comme moi, fin, gracieux. En fait, la plupart des mecs me rebutent. Et puis j’en vois un et, pour celui-là, j’abandonnerais tout pour m’offrir à lui, me perdre en lui. Je rêve…
Si la plupart des mecs me rebutent, je ne parle pas des femmes : absolument toutes me font peur. La seule exception, c’est Laur, ma meilleure amie. Le seul être humain que j’ai dragué. J’ai mis trop de temps pour me rendre compte que c’était une fille ! Pourtant, elle était mon genre, entre fille et garçon. Mais elle préférait exclusivement les filles. On a rigolé de mon innocence et nous sommes devenues copines.
Lui, ce n’était pas mon genre, mais il était tellement beau que je l’aurais suivi quand même. En plus, il était noir. Je n’ai jamais été attiré par l’exotisme, mais pas inintéressé non plus. Lang, ce n’est pas pareil. D’abord il est métis, pas que Vietnamien, ensuite, il me ressemblait. Mon amour. En rêve. En fait, nous nous sommes fréquentés pendant nos études. On a couché six fois ensemble. C’était bien. Il faut que je le retrouve… Je rêve…
Le métro avance. Il n’y a plus que nous deux dans la voiture, hormis une poignée répartie au-delà. Je ne sais pas s’il me fixe. Il faudrait que je sorte mes lunettes. Quelle connerie ! Déjà, avec ma conformation et ma quasi absence de barbe et de poils, on me donne dix-huit ans plutôt que vingt-quatre, mais prendre des lunettes à la Harry Poters me rajeunit encore. Moi, j’aime ! Je m’adore avec. Pour le service, ça marche ! Les gens sont plus gentils. J’aimerais mieux sentir une caresse sur mes fesses… C’est quand même un bar gay friendly… Je rêve...
J’aime cet état de fatigue, quand l’esprit saute d’un sujet à l’autre librement. Chaque fois que je rouvre les yeux, il y a son regard et sa beauté. Il faut que j’arrête d’y penser juste garder son image pour ma branlette du soir. Il est quand même extra ! Je lui ai mis un petit cul bien moulé, faute de le voir. S’il me propose, je veux bien le posséder. Exceptionnellement. La seule fois, cela avait été ma toute première fois. On avait inversé. Je n’avais pas trop aimé. C’est tellement mieux d’être pris, de s’offrir, de se laisser accompagner.
Je dis ça, mais mes expériences sont tellement limitées. Une dizaine de fois, en comptant large. Mon problème est que je ne sais pas draguer. J’ai honte de moi et j’ai tellement peur du refus violent, des insultes. J’attends le grand amour, avec un beau mec tout en douceur. Quand je le présenterai à mes parents, ils sauront alors je ne sais pas comment ils réagiront. Je rêve…
Nous arrivons au terminus. Je me lève. Normalement, je me mets devant la sortie, mais ce soir, je dois remonter tout le quai. Il me suit, nous sommes les derniers. J’essaie de marcher normalement. Si seulement il me prenait la main… Je rêve…
Aux tourniquets, il aurait pu les sauter. Il préfère se coller à moi. Ça m’arrive de temps en temps. Je laisse faire. Mais cette pression soudaine contre mes fesses et mon dos me transporte. Je m’arrête pour profiter de cette fraction d’éternité. Je sens son odeur. Elle m’affole. Je sors du tourniquet et je m’arrête, le cœur immobile. Propulsé par la machine, il me heurte et, par réflexe, pose sa main sur mon épaule. Je fonds. À mon étonnement, je mets ma main sur la sienne, me retourne et fixe son regard. Mon cœur s’emballe, car j’y lis le même désir. Je ne rêve pas !
Sans lui lâcher la main, je l’entraîne hors de la gare. Je connais bien ce bosquet, à deux pas sur la gauche.
À peine dissimulés, nos bouches se rencontrent. Ce goût, cette force, ces cheveux crépus alors que sa main caresse ma tête. Mon autre main va vérifier ses fesses. Quelle perfection ! Me perdre en lui, m’abandonner totalement… je lui retire son t-shirt, puis le mien. Nous nous étreignons avec force. Sa peau est épaisse et rugueuse, mais ses gestes emprunts de douceur. Je descends ma bouche sur son torse, sur ces muscles magnifiques. Je m’attarde, avant de venir butter sur sa ceinture. Il la défait, descend son jean. J’enfonce ma main vers mon envie, trouve un membre qui épouse parfaitement ma main, une taille de rêve, tout en finesse. Ma bouche chauffe l’objet de mon plaisir. Il me redresse, fait tomber mon pantalon. À son tour, il m'enfourne, me décalotte avec délicatesse. Nous reprenons nos bouches. Le rythme se ralentit. L’un comme l’autre, nous voulons étirer ce moment de volupté. Une voiture pénètre sur le parking, nous fauchant momentanément de ses phares. Qu’importe ! Le monde nous appartient, le reste n’existe plus.
Il me fait retourner. Mon désir ! Mon rêve ! Il me prépare de sa langue. Pourquoi sais-je déjà que ce sera merveilleux ? Il s’enfonce doucement, alors que ses mains sur mes hanches me couvrent de frissons. Que c’est bon de le sentir pleinement en moi, nous épousant parfaitement. Ses mains remontent vers ma poitrine. Il me redresse. Une fois mon dos contre son ventre, il commence de profonds mouvements, nous emportant dans le même voyage. Je décolle vers l’absolu. Une de ses mains maintient ma vigueur de doux mouvements. Je le sens autant qu’il doit me sentir. Cette éternité s’achève par notre éclatement simultané, renforçant cette union sacrée. Nous ne bougeons plus un long moment, le temps de revenir. Il se retire sans que je le sente partir. Je serre les fesses, voulant garder en moi son don. Un dernier baiser. Il me passe un doigt sur le visage, j’embrasse sa paume. Avant un premier mot, il s’est fondu dans l’obscurité.
Je me remets doucement. Je rejoins mon chez moi, encore assommé de bonheur. Ça existe donc pour de vrai !
Ce n’est que le lendemain matin que je réaliserai que j’ai baisé avec un inconnu, sans protection. Cela n’a pas d’importance : nous allons nous revoir, nous connaître, recommencer, à l’infini !
Le soir suivant, bien que n’étant pas de service, je suis à la même heure sur le même quai. Chaque soir. Une heure avant, entrant dans chaque rame, partant avec la dernière vers mon désespoir.
Un an que je l’attends, mon corps et mon esprit affamé de cette dérilection.
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Un drôle de voyage...
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