Il y a Norah et Sébastien, qui quittent Paris, aspirant à plus de calme et à moins de stress.
Il y a aussi Shannah, qui tombe éperdument amoureuse. De la mauvaise personne.
Norah aussi, tombe amoureuse. Au mauvais moment.
Et il y a Anouk, qui n’a pas d’amis, encore moins de petit-ami. Et qui du haut de ses 14 ans sait tout.
Et n’aime personne, elle non plus. Les autres sont bêtes, et ont des pensées inutiles. Personne n’est
à la hauteur de son alter-ego, Raphaël. Mais ce qui lui manque, à ce Raphaël, et que les autres ont,
eux, c’est un corps, de la chair. Ils sont en vie, quoi !
Tout ce petit monde a un point en commun : ils vivent avec le manque insatiable crée par la perte
d’un être intimement lié à eux : leur enfant, qui est lui-même le jumeau de leur autre enfant, ou
leur propre jumeau.

Depuis que Norah l'a vue, elle a été secouée par le coup de foudre. Rien ni personne ne pourra contrer cette certitude ni l'amour passionnel qu'elle ressent pour Shannah.
Même le fait que cet amour ne soit pas réciproque.

Cette histoire est la jumelle de mon premier roman "Écoute-moi quand tu me parles". Il est également question d'amour, mais d'amour à sens unique. Celui qui rend fou, qu'aucune voix ne peut raisonner.
J'espère que cette histoire vous plaira comme il m'a plu de l'écrire.

Pipo et Popi sont en proie à quelques doutes...

Elle est seule, elle pleure, elle se souvient, elle regrette. Elle réalise qu'elle a commis l'irréparable.

Les tribulations de deux mères de famille se posant des questions existentielles sur la nécessité - et sa réelle utilité - du port de couches chez les bébés.

Je n’ai jamais compris pourquoi tu étais ami avec des mecs aussi détestables. L’un était violent. L’autre ne l’était pas moins, du reste. Et le troisième, frustré et méprisant. Je les détestais tous. Je le déteste, lui. Je le hais de m’avoir regardée, complimentée, et de m’avoir donné envie de l’embrasser. C’était un macho fini. Mais je ne le savais pas encore quand c’est arrivé. Il a joué les gentils, les doux, les tendres. Je me suis laissée séduire puisque tu n’avançais pas plus vers moi. Tu voulais aller à ton rythme et moi j’ai été aveugle et impatiente. « La tête qu’il faisait ! » m’a chuchoté mon amie, juste après que le macho et moi on se soit embrassés pour la première fois, en te considérant. J’avais du trop boire. Je me suis égarée et j’ai tout perdu : ma route, mon estime de moi-même et ton amour. Tout est redevenu douloureusement limpide en quelques millièmes de secondes après l’annonce faite par mon amie, dans mon corps et dans mon esprit. Je t’avais trahi, je t’avais fait du mal, j’avais brisé ton cœur. J’ai revu cette scène aussi clairement que je vois mes doigts écrire en ce moment-même. Je l’ai rejouée des dizaines et des dizaines de fois. Rien à faire, la fin est