Emma est une jeune femme, qui par son passé est fragile. Après une liaison difficile, dont elle est sortie meurtrie, elle est aujourd'hui une hôtesse de l'air qui a des difficultés à s'ouvrir aux autres, et qui vit dans ses peurs.

Sarah, est ce que l'on appelle une Maitresse. C'est son choix. Elle est dure et n'accepte pas de refus de quiconque. Pourtant, sa rencontre avec Emma, va la chambouler, et l’amener sur un terrain qu'elle ne connait pas.

La douce et fragile Emma face à Sarah ?

Prenez un billet d'avion, et rejoignez-les !!!

A bientôt, et bonne lecture,

Emma !!

Ce livre sera composé de moments intimes ! Peut-être vous rappellerons-t-ils des souvenirs, ou vous donnerons envies de les réaliser. A vous de voir !

Ce sont des écrits déjà connu sur Wattpad, dont j'ai été bannis.

Je les remets ici.

Je rappelle qu'ils sont pour un public d'adultes. Certains scènes peuvent choquer !

Pour ceux qui aimeront, je vous souhaite un bon voyage au milieu de mes fantasmes !

Emma !!

Quelques petites pensées au fil des jours...

Une nouvelle histoire basée sur la rencontre de deux personnes que tout oppose.
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Il a un passé douloureux qu'il essaie d'oublier, mais il devra s'y replonger, s'il veut sauver celle qui fait battre son cœur !!

Elle est impulsive et se retrouvera au mauvais endroit.

Marc et Lucie devront affronter des souffrances pour peut-être avoir un avenir ensemble.

Bonne lecture !

Emma !!

Comme tous les matins, elle est en retard. C'est un fait, elle n'arrive pas à être à l'heure.. Elle sort du métro et court aussi vite qu'elle le peut.. Ses talons claquent sur le trottoir.
Son rendez-vous est primordial et elle doit être impeccable !! Son petit tailleur crème lui va à ravir. Elle se sent à son aise. Et prête à tout pour que son projet soit accepté.
Elle traverse la route et reprend sa course, tout en regardant sa montre, quand soudain, sa chaussure glisse et elle choit sur son fessier. Elle se relève vite et repart.
Enfin, elle arrive et se dirige vers la salle de réunion. Elle souffle un bon coup réajuste sa jupe et ouvre la porte.
Son sourire accompagné de son entrain, elle s'installe et commence son exposé sur les raisons pour lesquelles la restriction sur les salaires des agents de propreté de la ville doit se poursuivre.. Tout en parlant elle se tourne et explique grâce à un graphique les bénéfices de l'année. Quand elle entend derrière elle des rires et des moqueries..
Se retournant elle fixe les personnes assises et leur demande des explications. Un membre du syndicat se lève, et lui dit :
- Madame, si vous regardez derrière votre jupe, vous comprendrez !! Elle se contorsionne pour regarder et s'exclame :
- oh merde !!
- Voilà Madame, vous comprenez à vos dépens pourquoi chaque balayeur de rue devrait être mieux payé..

Jour 1 :
J'aime pas quand mon réveil sonne le matin !
J'aime pas dormir seule !

Jour 2 :
J'aime pas sentir les pieds froids de mon homme le soir sur mon corps !
J'aime pas les haricots verts !

Jour 3 :
J'aime pas les journées tristounettes !
J'aime pas le froid dans mon cou et dans le bas du dos !

(Reprise de ce texte, avec une aide précieuse. J'ai pu mieux exprimer mes sentiments, et ça fait du bien !! )

C'était un vendredi soir comme les autres, mon frère, étudiant, était passé me voir. Il parlait, mais ses yeux tristes m'interrogeaient. Je lui ai pris la main, l'invitant à se livrer.
Son regard s'assombrit. Il n'avait pas de bonnes nouvelles, il avait fait un test, il était séro-positif. Une colère monta en moi. Séropositif, c'était mourir. Je ne voulais pas le perdre, pas maintenant, pas après le décès de notre mère. Quand il continua en m'expliquant comment il avait attrapé cette m... ma réaction fut stupide, et le choix de mes mots, encore pire. Je crois que je voulais lui faire autant de mal que j'en ressentais. Il avait choisi, et maintenant il recevait son dû. Je l'ai blessé profondément, mais ma colère était telle que je ne voyais pas ses peurs et ses angoisses. Nous avons continué notre discussion, allongés sur le lit, et avons pleuré ensemble. Je crois avoir pleuré ce soir là, pour lui, pour maman, et pour beaucoup d'autres choses.
Malgré tout, j'ai gardé cette colère pendant très longtemps. Je n'arrivais pas à oublier que s'il n'avait pas, ce jour là, suivit cet homme rencontré dans le métro, il ne serait pas malade aujourd'hui.
Les années ont passé, malheureusement, il a perdu son compagnon qui était quelqu'un de formidable. Un homme qui dans sa douceur, et son regard me donnait de l'énergie. Toujours à m'encourager et me féliciter. Avec eux, je crois parfois avoir oublié, qu'il pouvait mourir, tellement cet amour était beau à voir. Evidemment, à son décès, la peur de le perdre, est revenue, mais je me suis tue.
Je suis née deux ans après lui avec trois garçons avant et cinq après. Et, oui, une fille entourée de garçons ! Je n'ai pas de souvenirs avant mes six ans, mais maman me disait qu'il venait souvent dans mon parc, me prenant dans ses bras, disant : "Ohh ma ptite soeur !!"
"Mon frère, tu as toujours voulu tout décider pour moi. Je devais t'obéir, et même si je ne le voulais pas je le faisais quand même. Ton regard ne me laissait pas le choix. Je crois que j'aimais ça. Avoir le sentiment d'être en sécurité tout en étant en danger... Tu n'as pas pu me protéger de tout malheureusement. Même si une fois, tu aurai pu, mais tu as refermé la porte, me laissant seule avec lui. Je ne t'en veux pas. Tu avais toi aussi tes propres démons ! "
Un jour, nous avons reparlé, de ce fameux soir dans ma chambre. Il n'avait pas oublié mes propos, et ne voulait pas me pardonner. Je voyais cette souffrance, ces mots que j'avais dis, qui le faisaient toujours souffrir. Je n'avais que dix-sept ans, et le suicide de maman avait laissé une douleur et une colère. Et j'étais terrifiée à l'idée de ne plus l'avoir près de moi.
Malheureusement, aujourd'hui nous ne nous parlons plus. Pas uniquement pour celà, mais parce que j'ai dévoilé les atrocités que j'ai vécues avec deux autres de mes frères et mon père. Etait-ce une façon de me punir ?
Aujourd'hui, trente-trois ans sont passés, et je reste toujours exclue de ma famille.
_ "Alors, mon frère, je voudrais juste te dire, que je n'avais que dis-sept ans, ce soir là, et chaque jour je regrette ces paroles qui m'ont éloigné de toi, de vous. Et j'ai toujours peur !
Tu me manques terriblement, vous me manquez tous terriblement...
Pardonnes moi !!
Ta petite soeur qui aujourd'hui encore, pleure bêtement en écrivant ses mots.
Je t'aime mon frère...

Comment après tant d'années de haine, de rejet, de tortures, aujourd'hui, je suis là, pleine d'excuses et de chagrin pour toi. Il n'y a pas de mots pour exprimer mes regrets.

Mais je vais quand même essayé. Parce que tu mérites aujourd'hui toute mon attention et mon affection.

Alors, écoute moi....

Bonjour les scribayens !

Pour ce défi, la consigne est simple : quelle serait la phrase que vous écriveriez juste avant votre mort ? La dernière ?

Pas de ton imposé, elle peut être humoristique, poétique, philosophique, tragique, autobiographique, tout ce que vous voulez tant que vous n'écrivez qu'UNE SEULE PHRASE. Pas non plus de longueur imposée (je ne sais pas si vous aurez le courage d'écrire une phrase de dix minutes de lecture ^^) !

A vous d'écrire !

C'était une journée sous un ciel bleu azur.
La petite Zoé voulait aller jouer dehors, mais sa mère lui rappela qu'elle portait une robe toute propre, et qu'elle devait la garder ainsi jusqu'à leur départ en fin de matinée.

Mais comment résister à une journée si ensoleillée. La tête posée sur ses mains, Zoé observait le champ du voisin. Un taureau était là, mastiquant tout en la regardant. Puis elle se souvint de la leçon sur les animaux disparus. La maîtresse leur avait expliqué qu'avant il portait le nom de « Ure ».
Elle tourna la tête, jusqu'à ce que ses yeux se posent sur une magnifique poire accrochée à sa branche. Cette petite fille ne pouvait pas s’empêcher de la regarder. Outre les dires de sa mère, et l'entendant au téléphone, elle savait qu'elle avait du temps devant elle. Avoir une maman pipelette, parfois c'est chouette.
Sans faire de bruit, elle ouvrit la porte, et se rua vers l'arbre de ses envies. Mince, trop haut. Pas grave. Elle regarde autour d'elle et trouve une caisse qui devrait peut-être faire l'affaire. Sans peur, elle la tire et grimpe dessus. Yep ! Toute contente, elle attrape le fruit. Mais au moment de croquer dedans, elle voit sa mère à la fenêtre très irritée.
Surprise, et voulant descendre rapidement, la caisse se met à tanguer. En essayant de se rattraper à la branche, elle la rate, et tombe dans l'herbe. Zut de zut !!

On ne fait jamais rien pour rien, il y a toujours une raison ! Comme l'effet papillon ! Je vous fais suivre le fil de ma chrysalide...
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J'écrivais adolescente pour oublier les sévices de mes frères et de mon père. Je m'imaginais une enfant kidnappée, comme « Rémy sans famille », et attendait qu'un jour mes vrais parents viennent me chercher. Que je trouverais une vrai famille ! Ma place de fille aimée.

La religion, m'a sauvé de ma descente aux enfers. Mais elle m'a contrainte à me taire, et obéir aux lois et aux principes de celle-ci ! Je n'ai pas été malheureuse, loin de là. J'ai rencontré un homme extraordinaire et nous avons un fils. Un homme qui a accepté les traumatismes de sa femme. Une épouse détruite sexuellement, et qui vivait chaque relation comme une obligation maritale. Sans ressenti, ni désir. Il a fallu des années de thérapies pour que j'accepte mon corps, et ses mains sur moi. Un train-train quotidien sans artifices ni étincelles.

En 2016, le cancer a pointé le bout de son nez. Cancer du sein. J'avoue qu'au début, je me suis sentie anéantie, ayant le sentiment que je ne m'en sortirai pas. J'avais en tête, que lorsque ma mère s'est suicidée, mon dernier petit frère allait sur ses neuf ans, et mon fils allait les avoir aussi. Qu'il était l'heure quitter ce monde comme elle.
Puis j'ai décidé que non ! Je n'étais pas ma mère. Je devais me battre ! Et c'est ce que j'ai fait. Après sept opérations (ablation et reconstruction), j'ai eu le sentiment que j'avais une nouvelle porte qui s'ouvrait à moi. Dans le miroir, je ne voyais plus une balafrée, non, je voyais une guerrière. Je me suis retourné sur moi-même et j'ai vu que j'avais dormi pendant cinquante ans. Je n'ai jamais fait ce qui me plaisait réellement, ayant toujours le sentiment de vivre entouré d'interdit.

J'ai eu envie de vivre à deux cent pour cent. Et c'est ce que j'ai fait. J'ai commencé par voir la vie d'une autre façon, en décidant par moi-même. En premier lieu, ne plus considérer le sexe comme quelque chose de honteux, de sale. Avoir des envies ne faisait pas de moi une mauvaise femme (en étant poli). M'autoriser à avoir une sexualité digne de ce nom. Ne plus subir l'acte, mais le désirer et le vivre en incluant des jeux de rôle.

Me libérer de mes souffrances passées en les transformant en fantasmes. Une façon de leur donner une autre image. Et c'est là, que j'ai décidé de les écrire. Chaque texte me rendais plus jeune, plus excitée dans ma vie de femme. Ce qui évidemment plaisait à mon mari. Je me découvrais une imagination débordante, même si parfois je rougissais sur certains passages. Mais, Wattpad, n'a pas aimé, et je suis passé à la trappe comme d'autres. Je les ai suivis sur Scribay, et c'est ainsi que je suis devenue une Scribayienne.

Mes écrits étaient au départ très érotiques. Je pensais ne pas être capable de faire autres choses. Puis, en lisant les différents défis, je me suis dit que peut-être je pouvais en relever un, pour voir si j'en étais capable. A chaque fois, je me mets la pression, quand il y a un chrono-top-départ, j'ai l'impression de ne jamais pouvoir réussir. Et pourtant, j'y suis arrivée plusieurs fois. Et j'avoue que je le dois à vous, chers Scribayiens et Scribayiennes pour vos messages d'encouragements et vos petits mots qui me poussent à me faire confiance. Et je me sens motivée à continuer !

Nous sommes une grande famille, et je l'ai vraiment ressentis, le mois dernier, quand après un problème de santé grave, certains d'entre vous m'ont encouragées et soutenues dans cette épreuve.

Alors, un grand MERCI à vous toutes et tous, pour me permettre d'être là parmi vous.

Emma !!

Le soleil vient de se lever,

Encore une belle journée

Et il va bientôt arriver, l'ami...