Dan Gray
Ah…
Qui suis-je…, quelqu’un qui escomptait échapper à ce petit épisode ?
Entendons-nous bien sur la chose : j’aime, non, j’adore l’écriture. Mais, discourir sur moi, voilà tout sauf un sacerdoce.
Bon ! Quand faut y aller…
Tout d’abord, bonjour à toutes et à tous.
Cela fait déjà un moment que je voyageais dans la grande barque de l’hésitation à m’inscrire sur Scribay. Une quelconque crainte du site, me diriez-vous... pas du tout, plutôt de celle à oser poser un ouvrage qui me tient énormément à cœur.
Je parle de « Siv », mon roman qui devrait s’étaler sur plusieurs tomes. (Au minimum trois.) Tout a débuté après une énième relecture d’un livre qui m’a motivé à l’écriture : « Le Hobbit », de Tolkien. L’envie de créer mon monde ainsi que protagonistes et antihéros n’avaient de cesse de me marteler l’esprit…
Une feuille de papier A4, un vieux crayon à la mine usée et me voici occupé à dépeindre une terre éloignée. Vint après le premier personnage…
Je vous laisse imaginer la suite, il y a de cela huit ans déjà.
... une trame de l’histoire rigoureuse ; descriptif complet réalisé.
... et je range le tout dans un tiroir. Ne me demandez pas pourquoi, je ne pourrais guère vous répondre…
Dès lors, je décidais de continuer à écrire. (Vous savez, quand ça vous démange, même à quatre heures du matin…) Cependant, je me dirigeais plutôt vers le roman policier, qui devint polar et prit le chemin d’un thriller lorsque je le finissais. Son titre « Sarah Jones » est une histoire qui se déroule aux États-Unis, plus précisément dans la région de Bâton-Rouge.
Les premières lignes débutent en une course poursuite de deux individus en poursuivant un troisième à la recherche d’un énigmatique « colis ». Ensuite, l’introduction de certains protagonistes commence huit années auparavant et l’intrigue nous mène dans une machination associant certains des services d’état les plus influents au monde.
Il est mon premier ouvrage, rédigé après le dilemme stylistique de sa narration du temps au passé ou au présent. Option prise pour le premier, celui-ci me conduit jusqu’à l’auto-édition.
Néanmoins, je vous avouerais que le contentement ne se présenta pas à moi. (La satisfaction personnelle s’entend là…)
Ainsi, la décision d’entamer les écrits de Siv se conforta en moi…
… et me voici avec vous…
J’aspire à vos commentaires, sur le style, le contexte, etc.
J’attends également vos pensées, vos réflexions… la totale !
… et je vous dis à très bientôt, entre quelques mots…