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Sous la menace annoncée du Ragnarok, l'ultime guerre qui entraînera l'apocalypse, les dieux d'Asgard ont résolu d'arracher les âmes des trépassés au Néant afin de reformer les rangs de leur armée moribonde.

Mais alors que rien ni personne ne semble pouvoir mettre un terme à la folie d'Odin et des siens, un espoir improbable s'empare du plus oublié des neuf mondes : parmi les ombres de Helheim, Valgard, fils d'un dieu et d'une iotun, voit le jour. La toile du Destin se joue de son libre-arbitre, mais ce héros brisé entend bien rétablir le grand cycle de la vie et de la mort.

Au même moment, dans les ténèbres, une force millénaire semble tirer les ficelles de tout ce chaos.

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Désigné par les damnés de Helheim comme leur champion, et choisi par la sombre Bloddrekk, l'épée ennemie des dieux, le héros Valgard quitte le monde des ténèbres pour gagner Midgard, le royaume des hommes. Là-bas, alors que personne n'est au courant de son existence, il part en quête du chemin d'Asgard, la forteresse d'Odin.

La tâche semble déjà impossible, mais pire encore, voilà que se dresse sur son chemin la déesse Freyia, première des valkyries. Le choc de leur affrontement sonnera-t-il l'avènement du Ragnarok, ce "Crépuscule des Puissances" tant redouté par les neuf mondes ?

Mrs Taipi est une gentille grand-mère, on lui donnerait le Bon Dieu sans confession. Et voilà qu'elle a besoin d'aide pour quelques corvées, à la maison. Il serait impoli de lui refuser un petit coup de main, n'est-ce pas ? À moins que...

CV - CONTENU SENSIBLE

La petite Dolores n'ira pas à la fête foraine, cette année. Son père le lui a interdit. Mais alors qu'elle observe, à travers la fenêtre de sa chambre, les lumières lointaines de la foire, apparaît devant elle un drôle de personnage au teint blafard et au nez rouge. Un clown.

– Image d'illustration : © fergregory

Il y a soixante secondes dans une minute. Soixante minutes dans une heure. Vingt-quatre heures dans une journée. Ça fait… pas moins de quatre-vingt-six-mille quatre cents secondes à occuper avant la mort. Avant d’être fixé pour de bon sur ce qui nous attend après.

C’était une nuit de novembre, sèche et glaciale, noire entre toutes, où le sommeil m’avait pris avec plus de force que d’ordinaire. Les songes qui vous assaillent en de pareils moments ont ceci de particulier qu’ils vous changent pour le restant de vos jours et laissent sur votre âme la morsure d'un inaltérable stigmate.

Je ne me souviens plus de grand chose d'avant le cataclysme, mais tout ce qui venait de toi m'est resté gravé en mémoire, et je sais que ton cœur d'enfant n'aurait pu supporter pareil spectacle. J'embrasse la fin de l'humanité avec joie : je porte ce fardeau, car je sais que toi tu n'auras jamais à le faire.

– Image de couverture : © designprojects