Le deuil est une souffrance mais savoir verbaliser celui-ci est une délivrance.

Je dis ce que je pense Qu’importe l’intolérance Si tu ne peux l’entendre Retourne dans tes méandres Pour ma part ça me fait du bien De me libérer des liens Et de dire à haute voix Ce que je pense de toi La vérité est belle à dire La réalité inspire Donc par ces simples mots Je dis ce que tu vaux Si tu ne mérites pas mon estime Tes qualités sont infimes Si je crois en toi C’est que ton cœur fait foi Je dis ce que je pense Qu’importe l’intolérance Si tu ne peux l’entendre Retourne dans tes méandres La vie est ainsi faite Moi, je reste honnête Dans ce que je veux, dans ce que je dis Au moins tu es avertie Donc ne viens pas me chercher Sinon tu vas morfler Nul besoin de mes poings J’utilise les mots avec soin Putain ce que ça soulage De partager tel adage Je suis cru ce soir ? Non, s’exprimer est un devoir Je dis ce que je pense Qu’importe l’intolérance Si tu ne peux l’entendre Retourne dans tes méandres Je ne suis ni fâché, ni énervé J’exprime juste ma volonté De m’entourer de bonnes personnes Et d'évincer les connes On peut le dire de façon poétique En gardant un style unique Mais au moins c’est franc Comme tel on l’entend Mes mots sont ma force Prouvant mon sacerdoce Si je crois en

Je ne veux plus d’une autre aimée
Je ne veux d’un autre… baiser
Cette emprise que tu eus sur moi
A condamné à vie ma foi

Les éléments ont séparé
Les deux amants aussi comblés
Que peut-on dire, que peut-on faire
Nulle réponse à ce mystère

Je ne veux plus d’une autre aimée
Je ne veux d’un autre… baiser
À toi furent données tant de caresses
Dont je ne peux offrir autre adresse

Cet évènement nous a guidés
Vers une vie de séparés
Tous fautifs, tous victimes
Anéantis notre millésime

Je ne veux plus d’une autre aimée
Je ne veux d’un autre… baiser
Les anges nous avaient réunis
Mais c’est fini, c’est ainsi

Aucune rancune, pas une fracture
On ne peut même pas parler d’usure
Juste l’effet des éléments
Qui ont inversé le sens du vent

Je ne veux plus d’une autre aimée
Je ne veux d’un autre… baiser
Même si dans un esprit libre
C'est toujours vers toi que je migre

La douceur satine de ta peau
Dont je ne connais aucun égo
La chaleur de ta voix
Qui confirma mon choix

Je ne veux plus d’une autre aimée
Je ne veux d’un autre… baiser
Sans en être anéanti
C’est un jugement en sursis

L’absence de désir
Ne pourra anéantir
Le choix réfléchi
Qui a guidé nos vies.

Lorsque l’on te voyait bouger
Que l’on remarquait tes coups de pieds
Tu semblais tant mobile
Quand ton cœur était si fragile

Maintenant tu nous a quitté
Aux cieux tu es allée
Toute notre vie nous t’aimerons
Présente tu seras en la maison

Gravé est le prénom Lana
Personne ne t’oubliera
Ensemble tu grandiras
Ensemble on se retrouvera

Pourtant nous avons si mal
Tant de larmes que l’on avale
De ne pouvoir te caresser
De ne pouvoir t’embrasser

Ta jolie bouche ne sortira aucun son
Maman, Papa nous n’entendrons
Ta petite vie a déjà cessé
Ton âme s’en est allée

Gravé est le prénom Lana
Personne ne t’oubliera
Ensemble tu grandiras
Ensemble on se retrouvera

Lorsqu’à nos côtés, tu te trouvais
Tu ne pouvais te réveiller
Ma fille tu étais si belle
Ta perte est une épreuve cruelle

Au jardin des anges tu es partie
Avec d’autres enfants pour compagnie
Nous saurons te retrouver
Quand notre heure aura sonné.

Gravé est le prénom Lana
Personne ne t’oubliera
Ensemble tu grandiras
Ensemble on se retrouvera

La solitude pèse, la solitude rend fou
Surtout lorsque de toi on s'en fout
Aucun avenir ne se profile
Plus qu'à couper ce fil

Ainsi enfin libérés
Les êtres oublieront ton identité
Échappée vers la lumière
Aucun besoin de prière

L'âme sera partie
Rejoindre nouvelle patrie
Les flammes auront embrasé
Ce corps délaissé

Ni de cérémonie, ni d'église
Ne seront requises
Pas de texte, ni de fleurs
Accompagnés de faux pleurs

Tel que certains l'ont voulu
Cet homme n'est plus
La solitude eut raison de tout
Mais après on s'en fout !!!

Voilà, les idées qui peuvent raisonner
Chez un être délaissé
Ces idées que je pus avoir
Dans mes grands désespoirs

Aucun fautif, aucune fuite
Juste l’envie de ne plus vivre une suite
Á un avenir sans harmonie
Qui ne convenait à mes envies

Cette échappatoire n’est plus
Car sont parties les déconvenues
Maintenant le désir de croire
En un avenir avec l’espoir

Même si la solitude pèse
La solitude rend fou
Ce petit cœur de braise
Te trouvera je ne sais où

À l’arrivée d’un ange
Passé par providence
Les choses changent
Si l’on saisit sa chance

Sortir de l’ombre
Voir l’issue du chemin sombre
Retrouver un couloir éclairé
Illuminé par les allumettes séchées

Retrouver tout son être
Cesser de paraître
Ou de se cacher pour ne pas être vu
Du fait d’une identité entière perdue

Eliminer les gestes visibles
D’une faiblesse si perceptible
Et enfin penser à soi
Un sourire pour la joie

À l’arrivée d’un ange
Passé par providence
Les choses changent
Si l’on saisit sa chance

Vibrer d’un regard
Rencontrer par hasard
Charmé d’une voix
Qui te parle, à toi !!!

La vie est ainsi faite
Même si peu parfaite
Un moindre plaisir au quotidien
Te libère du comédien

Etre entouré et apprécié
Répare les allumettes mouillées
Qui te sortent de ce dédale
Pour enfin vivre en écrasant la pédale.

A l’arrivée d’un ange
Passé par providence
Les choses changent
Si l’on saisit sa chance

Vivre à cent pour cent
Sachant que ton cœur est grand
Même si tes allumettes se trouvaient mouillées
Aujourd’hui elles peuvent t’éclairer

Se présente un nouveau chemin
Lequel tu peux prendre serein
Car maintenant cet ange
Te guide vers cet heureux challenge

Ce destin enfin illuminé
Par le souffre ainsi chauffé
T’apporte toute cette chaleur
Qui ne peut que ravir un cœur

L’écriture est un hobby
Dont on œuvre avec envie
Décrire l’ensemble des sentiments
Par un stylo fusant

Raconter un état d’être
Sans utiliser de phrases parfaites
Mais assembler les mots
Peut être guise de cadeau

Les écrits sont les reflets de l’âme
Sans faire d’amalgame
On donne, on se livre
Avec et par un esprit libre

Le texte commence en majuscule
Tachant la page de particules
Il finit par un point
Les lecteurs en sont témoins.


Souvent prônant l’amour
Celui souhaité au jour le jour
Mais il peut raconter l’amitié
Dont on est fier d’identifier

Espérant toujours une suite
À ces compliments que l’on ébruite
Lorsque les phrases s’enchainent
L’auteur sait qu’elles sont les siennes

Les écrits sont les reflets de l’âme
Les joies produites sont le sésame
Le manuscrit portera une signature
Pour qu’il n’y ait pas d’imposture

Que ce soit poème, que ce soit chanson
C’est le cœur qui en met le ton
Chaque texte évoque une image
De sentiments en arrimage.

Charles Aznavour s’en est allé
Le poète chanteur nous a quittés
« Avec un brin de nostalgie »
Il chantait « Sur ma vie »

« Hier encore »
Tu vivais « comme les comédiens »
« Et moi dans mon coin »
J’écoutais « La mama » à haut volume sonore

Personne n’a pu te dire « Tu te laisses aller »
Et tu désirais « Mourir d’aimer »
Et non, « Je n’ai rien oublié »
Même pas « Les plaisirs démodés »

En ce jour « Que c’est triste Venise »
« Désormais » « Le temps » a perdu l’emprise
« Et pourtant » « J’me voyais déjà »
Avec ta voix dire à « Ma bohème » « reste » là
Ou lui dire « Nous irons à Vérone »

Car « Il faut savoir » que tes paroles résonnent
Laissant « Mes emmerdes » « Au piano bar »
Avouant « Plus bleu que tes yeux » ton âme est mon miroir
« L’amour c’est comme un jour »

Ou tu dis merci Monsieurr AZNAVOUR
A toi « For me formidable » Charles je peux l’affirmer
Tu fais partie du patrimoine Français

Tel le Phénix
Je vais renaitre de mes cendres
Comme un être que l’on transfixe
Qui revient de ses méandres

Reconstruire une vie
Même adulte je renais
Avec un esprit plus réfléchis
Car hier m’a tué

Gardant les personnes aimées et chères
Qui ont su être là
Dans ce passé de galère
Me poussant non loin du trépas

Creusant des fondations
Pour supporter une forteresse
Mais laissant un portillon
Pour une éventuelle princesse

Tel le Phénix
Je vais renaitre de mes cendres
Comme un être que l’on transfixe
Qui revient de ses méandres

Tu seras la bienvenue
Nous écrirons nos dix commandements
Pour éviter toute déconvenue
Et honorer nos sentiments

Tel le préfixe
Je serai ta première syllabe
Qui respectera tes idées fixes
Car elles demeurent charitables

Qu’importe ton prénom
Tu seras enfin présente
Du cadenas tu seras ma combinaison
Ma beauté cicatrisante

La tendresse
Se livrer en une caresse
Vouloir donner du plaisir
Tout en assouvissant sondésir

La volupté
De recevoir et donner
Dans un acte accompli
Qui charme, te ravit

Le baiser
Celui qui est embrasé
Par la chaleur des lèvres
Liées par un orfèvre

La douceur
Même donnée avec ardeur
Te flanque la chaire de poule
Comme bercée par la houle

Les préliminaires
Ces plaisirs si nécessaires
Où la chaleur monte
On s’abandonne sans honte

L’acte sexuel
Apprécier ce désir charnel
Rester l’un en l’autre
En cadence, ce temps est le nôtre

L’orgasme
D’accomplir ce fantasme
Avec cette partenaire rêvée
Que l’on ne pensait pouvoir charmer

Les vibrations
Ces tremblements de la passion
Ressentis par ces deux corps
Qui en redemandent encore

Certes, la vie est faite de sursis
Avec les tracas, les ennuis
Mais il faut entreprendre
Sans être tendre

Car le fait de rester gentil
Fait de toi une proie sans vie
Et tu t’empêches de vivre
Perdant ton équilibre

Je veux donner mon cœur
À ceux qui en auront l'honneur
Et ne plus donner à n’importe qui
Les valeurs de ma vie

Si je dis je t’aime
Humblement j’affirme
Sans contrainte ni dilemme
En amitié, en amour l’avenir prime

Plus jamais je ne serai la proie
D'une personne sans foi
Car est venue cette clairvoyance
Que l'on appelle méfiance

Sans haine ni reproche
Sans vouloir d'anicroche
Si tu ne suis mes valeurs
Vas voir ailleurs

Certes, je désire une personne à mes côtés
À qui je pourrai donner et me livrer
Une femme de mon choix
Dont le cœur fait foi

Je ne veux plus donner au hasard
À m’en retrouver hagard
Je veux une confiance
Une tendresse en abondance

La volonté a ses envies
Que le présent ne fait fi
Du coup, je te rêve
Je serais ton Adam, tu seras mon Eve

Si je dis je t’aime
C’est tout humblement que j’affirme
Sans contrainte ni dilemme
En amitié, en amour c’est l’avenir qui prime

Dans ma tête tu mets le doute
Dans des envies pourtant absoutes
Comment pourrais-je discerner
Ce qui est éphémère ou vérité

Indécise, indécision
Tout est remis en question
Devrais-je à nouveau y croire
Ou penser à mon miroir

Tu dis vouloir mon retour
Pour reformer le mot amour
A Amoi de faire des concessions
Pour espérer reconstruction

Indécise, indécision
Tout est remis en question
Nulle présence de l’égoïsme
Mais l'envie de vivre au paroxysme

Je sais qui tu es
Mais encore mieux qui tu étais
Maintenant présence de doutes
Activés par tant de déroutes

Indécise, indécision
Tout est remis en question
Tu es très chère à mon cœur
Mais reste une certaine peur