Certains évènements changent les gens. Dans l'histoire de Benjamin Courtois il aura suffit d'une mauvaise chute.

MY WAY : Une entreprise révolutionnaire qui a réussi le tour de force de rendre crédible les médiums.
Mieux, elle a rendu le peuple accroc à leurs visions.
Lorsqu’un vétéran de la guerre d’Afghanistan est retrouvé mort, on pense à une banale agression. On met Sven Petterson, un jeune inspecteur, sur le coup. Son enquête l'amène à creuser du côté de MY WAY. Mais il se heurte à une muraille. Là-bas, a défaut de répondre à ses questions, un médium lui fait une terrible révélation : sa mère mourra dans trois jours et 10h. Pire, ce sera lui, sont fils, qui causera sa mort.
Sven Petterson n’y voit qu’une maladroite tentative d’intimidation. Pourtant le slogan de la firme raisonne dans sa tête : « My Way ne se trompe jamais ».
Un terrible compte à rebours est enclenché.

Ceci est le syndrome de la page noire. La plume sans encre. Comme si l'outil de l'écrivain s'était vidé de sa sève pour inonder sa page au point de noyer ses idées. En pleine marée noire l'auteur s'ébroue tel un albatros pitoyable. Même si il s'en sort, il y laissera sa plume.

Je suis la rampe. Polie au fil du temps. J'en ai vu passer des mains sur le cuir de ma peau. Parfois même quelques derrières téméraires. J'ai sauvé bien des vies. Et puis aujourd'hui il y a toi. Tu es là, penché sur moi. Heureusement que tu as le vertige.

Le cadre est parfait, on dirait la vraie ! Et mon costume est... whaouuu... je ne regrette vraiment pas mon achat !! Mais... mais alors pourquoi personne ne s'arrête ? Pourquoi personne ne me remarque ? Hé ho ! Je suis là ! Vous ne me reconnaissez pas ?! Regardez-moi !!!!