Voilà un texte écrit de ma plume, avec de légères modifications et les fautes corrigé pour une meilleure lecture !


Thème d'écriture : "Tout le monde parle de moi ces derniers temps... Et pas en bien. Cependant, faut-il s'arrêter aux apparences ? Ils sont loin de tout savoir."

Résume : c'est l'histoire d'une jeune fille de 17 ans. Elle était celle qui souriait et faisait rire les autres, un poil hautaine. Aujourd'hui, tout le monde l'évite ou la regarde de haut, pourquoi ? La réponse, je ne sais pas si elle aurait préféré le savoir où ne jamais la connaître. Ses vieux souvenirs la rattrapent.

Comment cela se termina ?

Je ne sais pas, je ne saurai pas pourquoi ni comment expliquer ce sentiment , mais j’avait l’impression qu’à présent ses sentiments d’amour qu’il avait s’était envolés. Je le comprenait mais ne pouvait pas le supporter.

Je suis passer de l’indifférence à l’amour, et lui de l’Amour à l’indifférence.

Je ne répondis pas à son message et m’endormit avec une haine profonde en moi et un sentiment de regrets et de rejets, perdre mes copines ou ma réputation je m’en fichais pas mal, le perdre Lui c’était une tout autre histoire.

Le lendemain en cour, je fut bien obliger de me réveiller,
Aujourd’hui j’avait un regard vide, différent des autres jours, je n’essayait pas de faire semblant pour me faire accepter ou pour que les autres me trouvent enjouée et de bonne humeur comme à chaque matin, Non,
Aujourd’hui je voulait juste ne pas faire semblant, et je n’en avait même plus la force en vérité.

Nous avions une rédaction à faire aujourd’hui , en classe, je décida d’écrire quelque chose de nouveau, quelque chose de différent ou pour une fois en le lisant je n’aurait pas ce sentiment ou je mentais, ou je faisait semblant, ou je jouer la fille positive et toujours optimiste.

Dans ce texte-ci de toute façon je m’en fichait pour une fois de dire le fond de mes pensées, car partir juste après était mon but.

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« Par ou commencer…
Chers amis, chers camarades, professeur, école, maison, routine
Désolé de vous le dire
Je suis fatigué de mentir
J’aimerais tellement partir
J’essaye de vous dire la vérité , Papa maman, copines, faux-culs et loisirs
J’ai fait une chose mal, je m’en excuse malgré tout mes pensées tournoient dans la tempête
J’ai comme un énorme mal de crâne, une boule au ventre à répétition
Sors de ma tête, avant que je ne fasse ce qui est de mieux pour moi
Je vis un cauchemar , je n’arrive pas à me réveiller… A moins que je ne me force à dormir

I’ve lost everything

Signé,

La manipulatriste, fille que vous détestez tous , tant mieux vous n’aurez plus à me supporter très longtemps »

Voici le thème que j'avais pour écrire ce texte ;

"Tout le monde parle de vous ces derniers temps... et pas en bien. Cependant, faut-il s'arrêter aux apparences ? Ils sont loin de tout savoir."


Bonne lecture.

Mais je n’eut d’autre choix que de quitter les toilettes...

Une fois en classe, je pris une grande inspiration et lanca mon plus beau sourire aux imbéciles parlant sans ne rien savoir. Rayonnante comme A mon habitude.

Un sourire au lèvres j’avait, car décider de jouer A la Je-m’en-foutisme j’avait fait.

Tout le cour j’entendais les critiques et le jugement mal-placé des autres mais ne les écoutait pas , je me concentrais sur ma feuille et passa le cour à regarder la prof et à prendre des notes du cours.
Pourquoi avait-je fait ce choix de revenir en cour et de ne rien laisser paraître ?
Car plus tu montres que cela t’affecte, et plus ils en joueront pour te détruire. Alors même si plus tard je craquais dans ma chambre, ce sera Seule, je n’ai pas besoin des autres pour me consoler tandis qu’il y a à peine quelques jours ils riaient avec moi et maintenant c’est de moi qu’ils rient.

La sonnerie des cours retentit, je rangea rapidement mes affaires et d’un regard fière je sorti de la classe en première et ferma la porte derrière moi malgrés que mes camarades n’en soit pas encore sortis.

Ainsi hors de vu d’eux, je marcha calmement vers les escaliers, les descendit tout aussi calme et quitta l’école aussi sereinement que possible.

Pendant près de deux heures je fut obliger de retenir mes larmes de couler et les questions que j’avait de sortir de mes pensées.

Une fois rentrer chez moi, je simula un sourire et dis bonjour a mes parents, une fois que je passa la porte de ma chambre ;

Je sauta sur mon lit et fondit en larme , les vieux souvenirs que je pensait emportés par la tempête tournèrent pendant de longues minutes dans ma tête, les moments partagés avec ce garçon ;

y9, Les moments ou l’ont rigolait , ou j’était heureuse mais que je ne saisissait pas la chance que j’avait d’être avec lui, Aujourd’hui cette phrase je pouvait la dire :

« J’avait un mec super, et j’ai fait de la merde »

D’une main, je saisis mon téléphone et mes écouteurs, en boule sur mon lit je mit une musique en boucle et regarda les anciens messages avec ce garçon , ce surnom que je lui avait donner ; y9..

La boule au ventre durant des heures, je scrollait avec mon doigt serré sur l’écran les messages de nos anciennes conversations comme si… Comme si j’espérais qu’en faisant ça, j’entenderais une fois de plus le son d’une de ses notifications , mais plus les heures passait et plus l’espoir grandissait mais devenait en même temps de plus en plus faible …

Je lui envoya un message de moi-même, écrasant mon égo au passage mais à ce moment-là je n’en avait rien à faire de ma fierté, le message était petit de 3 lignes et disait à quel point j’était désolé, à quel point je me sentais comme une connasse car-c’est-ce-que-j’étais pour avoir jouer avec ses sentiments…

J’avait écrit ce mini-texte en pleurs, en boule sur mon lit dans la même position que depuis des heures..

Mes yeux gonflés et secs sans doute à cause des nombreuses larmes que j’avait laisser couler me fit m’endormir, et la fatigue prenait aussi le dessus.

J’eut la chair de poule et sursauta presque quand j’entendit un léger son, comme une notification, j’entrouvrit mes yeux fatigués et regarda le message que je venais de recevoir, un message de lui ; y9..

Il disait qu’il n’avait jamais aimer quelqu’un comme il l’avait fait pour moi et qu’il me pardonnait.

Je vous présente mon texte Rs3 , chapitre 1.
Je tiens d'abord à préciser que je ne suis pas une écrivaine.

Si vous avez des suggestions, remarques ou idées à me donner , proposer ou autre je vous invite à m'écrire en commentaire !
Bonne séance de lecture

« Bon !» Je décide d’intervenir dans cette dispute infantile, je reprends « On doit se dépêcher, demain a la nuit tombée, on se tire. »

Iran parle : «Et c’est quoi le plan Sherlock Eva ?»
Je répondis : « Y’a pas de plan ! On prépare des provisions ce soir, prenez juste vos affaires. D’façon c’est pas comme si on avait grand-chose a emporter… Iran, Amir, demain il va falloir qu’au moment de la cantine vous.. Fassiez le plein de nourriture. »

Les deux plus jeunes, et aussi les plus innocents ; Kia et ‘Aliy répondent : « pourquoi faut qu’on vole ? »
Camylia tente de rendre ça le moins méchant possible : « C’est pas voleeeer… C’est… Emprunter… Voilà ! Emprunter aux méchants pour que les gentils puissent s’échapper de la gueule du loup »
Ahah… Très belle image pour les enfants Camylia…

« J’ai peur… Les méchants dehors vont nous poursuivre, et la nuit j’entends des bombardements je veux pas aller dehors... » Dit ‘Aliy, le plus jeune, d’une voix tremblotante, il avait les larmes aux yeux
Iran approche son petit frère par-derrière et le porte sur ses épaules d’un coup, il rétorque :
« Tu crois que les méchants peuvent quelque chose contre ton grand frère musclé, fort, courageux et…»
« Et totalement maladroit...» Effectivement, ‘Aliy glissa des épaules d’Iran et fut rattrapé par Camylia qui au passage lui fils un câlin, elle ajouta : « même les bombardements ne peuvent rien faire contre une famille aussi soudée que la nôtre »
Amir rejoignit Camylia et ‘Aliy dans leur câlin et m’entraîna avec lui. Iran et Kia nous rejoignent dans ce câlin étouffant ! Je me redresse après quelques secondes et reprend plus sérieusement : «Moi et Camylia on va euh… Emprunter des soins à l’infirmerie sur la pause de récréation ; du style bandages, désinfectant, médoc’ et tout autres trucs en cas de blessure ou de maladies »

« Et nous ?! » Rétorquent Kia et ‘Aliy. L’idée de leur donner une mission trop dangereuse me fais un peu flipper. ‘Aliy n’est qu’un enfant de 9 ans et Kia une pré-ado de 12 ans a peine, malgré qu’ils soient eux deux futés et intelligents, j’ai un peut peur.

Tandis que je réfléchissais à la mission la moins dangereuse pour deux petits malin et maligne, je me fis devancer par Amir qui leur répondit d’un air vif ;

« Faire le guet , ça vous va ? Comme deux espions du F.B.I, vous couvrez nos arrières !»
«Faire le guet ?» Demanda ‘Aliy d’un air innocent.
Iran intervient : « Comme l’a dit Amir, vous couvrez nos arrières en fixant bien les couloirs et dès qu’un méchant soldat puant passe, vous sifflez pour avertir les filles et nous »
En parlant, Iran forme des ronds avec ses mains qu’il place devant ses yeux pour imiter une jumelle et au mot «puant» il tire la langue pour exprimer du dégoût.
Camylia, Amir et moi ont ne put s’empêcher d’éclater de rire devant les expressions faciales d’Iran.

Je rajoute tout en ricanant « Kia fera le guet pour moi et Camylia a l’infirmerie, ‘Aliy tu iras avec les garçons !» ‘Aliy et Kia se prirent la main et tournèrent en rond en sautillant et en chuchotant :
« Les espions avertiront la venue des ogres puants »
Ils rigolaient de bons cœurs et nous aussi. Ça faisait longtemps que je n’avais pas ri comme ça. Une flamme de bonheur remplit mon cœur tant le moment était agréable.

J’ai une famille maintenant et peu importe si nous sommes ici dans le piège du loup ou là-bas, nous restons une famille.

Tout roule comme sur des roulettes, les provisions sont prêts. Toute sortes de nourriture et de médicament dans des sacs, un jour d'anniversaire que la bande a même réussi à embellir pour la petite Kia !

Je suis la dernière à escalader. À la force de mes bras je me hisse sur la grille et m’assieds dessus, tous mes amis étaient assis a côté de moi sur la grille. Les gardes ne sont pas là, il se fait tard et en fait je ne pense pas à ça. J’avais l’impression d’être divisé entre deux mondes.
Personne n’osait prendre la parole, alors Iran mit son bras dans mon dos, et je fais la même chose, chacun nous imite.
Après quelques secondes, Camylia descendit la grille, on fit de même, sauf moi, toujours assise sur la grille, contemplant les étoiles.
Au moment où se furent à mon tour de sauter de l’autre côté de la grille, mes oreilles se dressent suite à un bruit étouffé derrière moi. J’écarquille les yeux et sans avoir eu le temps de tourner la tête pour y regarder ce qui se trame, une balle me perfore l’intestin et une douleur immense m’attrape le ventre, je saute subitement de la grille et me tiens au-dessus du sol d’une main dans l’herbe. Avec mon autre main je serre ma blessure qui commence à s’ensanglanter. Je peine à reprendre mon souffle et crache du sang dans l’herbe.
Tout le monde avait vu la scène et était tous devant moi, sous le choc. Amir fut le premier à accourir vers moi pour me relever et passa un bras autour de ma taille, Iran vint de l’autre côté et fils de même, quant à moi je m’aide d’eux pour marcher et passe aussi mes mains autour de leur cou à chacun. Camylia cache les yeux de Kia, en revanche ‘Aliy sans Iran n’a personne pour lui interdire de regarder, je le vois des larmes débordent de ses yeux tandis que Kia hurle.
J’observe Amir et Iran me dirent qu’on est une famille et qu’ils ne me lâcheront pas.
Quant à moi, je sens bien que des larmes floute ma vision, que c’est la fin pour moi, mais j’ai un regard vide. J’ai vu pour une des premières fois mes amis pleurer et crier de toute leur force.
Tout le monde peut mourir, mais je sais qu’eux auront le courage de vivre.
Dans un dernier souffle, je prends la main d’Amir, le plus proche et lui chuchote à l’oreille « Dites à mes parents qu’ils me manqueront », quant aux autres je leur adresse un sourire et tente de les apercevoir, j’aurais voulu les serrer dans mes bras, tous, mais ils étaient trop loin, ou j’étais peut-être trop faible.
Je me vide peu à peu de mon sang et mes yeux se ferment, ce n’est qu’à ce moment que les larmes qui habitaient mes yeux descendirent.
Sincèrement, moi je n’ai pas ressenti une mince de tristesse, on se retrouvera très certainement au paradis.On se prend tous la main, sacs sur le dos. Prêt à affronter la vie dehors, on se sentait comme invincible, une lueur d’espoir gagner notre cœur à cet instant précis. On escalade chacun notre tour la grille, certains grimpaient facilement, d’autres comme ‘Aliy avait besoin d’aide vu sa petite taille.
J’étais assez choquée de voir que Kia escalader facilement la grille pourtant haute comparée à nous.
On respirait l’air frais, enfin… C’était le même air que dans le jardin, mais là un sentiment de liberté nous envahissait, des étoiles remplissaient les yeux de Kia et ‘Aliy
Iran et Amir avaient un regard fiers, fier d’eux-mêmes, de nous. Camylia, elle, avait des larmes coulant jusqu'à sa bouche.