Une nuit d'hiver, le hasard d'une rencontre que rien ne présageait. Deux destins s'entremêlant, à jamais changés. D'un côté un jeune humain aux repères égarés, de l'autre une elfe des bois mystérieuse.

Ce récit suivra Jilam et Nellis dans leur quotidien, à travers les instants de bonheur et les difficultés où ils apprendront à se connaître.

Nos amants du bois, Nellis la sorcière et Jilam l'humain, entament leur ultime aventure qui leur fera traverser maints périples, plus dangereux que tous ceux qu'ils ont connus jusqu'ici. Heureusement, ils ne seront pas seuls dans leur quête et à leur côté marcheront Quo la démone, Reyn l'elfe sauvage, Tête-de-Pie la fée-lutin et Silène la chamane, sans oublier Bagon le semi-troll. Nos héros savent où ils se rendent, dans le royaume des redoutables démonifées, mais ignorent tout des défis qui les attendent en chemin. Arriveront-ils à sauver le bois des infâmes machinations de la sorcière-vampire dont l'ombre pèse dans les souvenirs d'une autre sorcière ?

Autrefois vivait un peuple, si ancien que son histoire est devenue mythe. En voici un chapitre...

Des soldats de Noun traversent le grand désert pour se rendre dans la cité de Byrsa. Âmes tristes à la merci des bêtes venimeuses et des tempêtes monstrueuses. Leurs larmes fument au soleil et gèlent dans la nuit.

Aksoum, lui, se fiche de la gloire, du mystère ou des dieux. Un seul songe habite ses rêves : retrouver sa ferme et sa tendre aimée.

Conte sur l'enfance, sa beauté et sa cruauté, mêlant le mythe. Les tourments d'une petite fille sans nom perdue dans un monde dont elle veut s'échapper tout en cherchant désespérément à le saisir.

Extrait d'un recueil de nouvelles en cours d'écriture, lequel regroupera des histoires aux genres variés, centrées autour du rêve.

Le début d'une fin... L’enfer sur pattes n’était pas facile à pister. À peine Jilam l’entrevoyait-il que l’animal disparaissait derrière un fourré. Par chance, la bête perdait sa fourrure hivernale. D’ordinaire, les furets-léopard n’en développaient pas faute d’utilité dans leur environnement d’origine. Mais il s’agissait d’une espèce dotée d’un grand talent d’adaptation et, comme l’humain, elle savait évoluer sans mal en fonction des situations. Mú avait ainsi développé plusieurs caractéristiques propres au climat de la région lorsque Nellis et lui s’étaient installés dans le bois, dont le poil d’hiver. En cette fin de saison, il en laissait traîner partout, de grosses touffes fauve tachetées. Pas besoin d’être un grand chasseur pour suivre la piste. Le jeune homme comprit bientôt où le spécimen le conduisait. Son cœur se serra. La clairière, loin d’avoir retrouvé son apparence d’autrefois, exigerait des décennies avant seulement de frôler l’évocation des vieux souvenirs, et quand bien même, elle n’offrirait jamais plus le tableau que Jilam avait contemplé la première fois que ses pas avaient croisé ceux de Nellis. Un mince duvet vert perçait la couche de givre frais. Ses lèvres l

Les vents froids chassent les cavaliers hors de leur steppe natale. Malades et affamées, les Tribus traversent le désert blanc sous le guide d'un cœur brave et d'un esprit sage. Les vivants se souviennent des morts.

Cette geste poétique est le témoignage d'un temps passé, le récit d'un duel entre deuil et souvenirs. Elle intègre une histoire bien plus vaste que j'espère partager un jour.

Splendide illustration réalisée par Angèle @val_angele_pivi.