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' "Thomas Foster" (Renard hirsute)

En plein cœur d'un rêve et parfois à Nancy(Lorraine).
' "Thomas Foster" (Renard hirsute)
En plein cœur de la Louisiane, Léo, un jeune lycéen passe son temps à dessiner ses rêves. Tout allait jusqu'à ce qu'un des personnages de ses dessins arrive brusquement dans la réalité. A partir de là, tout va s’enchaîner. Il va être obligé de fuir pour échapper à un mystérieux groupe: Le Centre.
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' "Thomas Foster" (Renard hirsute)
Dix personnes sélectionnées pour participer à un jeu. Le but: sortir d'un immeuble en résolvant des énigmes. Mais lorsqu'on joue à un jeu, il faut forcément un perdant...
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' "Thomas Foster" (Renard hirsute)

-Si j'étais un animal je serais un renard car bien que solitaire, j'aime être entouré de ma meute et je me considère comme plutôt rusé
-Si j'étais un végétal je serais une pensée, simple et colorée
-Si j'étais un pays je serais l'Irlande pour sa musique, son calme et sa beauté.
-Si j'étais un sport je serais du tir à l'arc car il faut savoir être précis dans la vie.
-Si j'étais une musique je serais probablement Happy de Pharell Williams
-Si j'étais une touche de clavier je serais un T pour mon prénom et la boisson (double utilité)
-Si j'étais un vêtement je serais un chapeau, plus précisement un panama
-Si j'étais un objet je serais un casse-tête
-Si j'étais une couleur je serais un bleu nuit.
-Si j'étais un véhicule je serais probablement une Tesla
-Si j'étais un meuble je serais une bibliothèque. Oui, c'est plutôt classique.
-Si j'étais un personnage historique je serais Nikola Tesla car il faut aimer inventer en combattant la folie et j'ai déjà parler de Tesla plus haut, essayez de suivre un peu.
-Si j'étais un personnage de fiction je serais Sirius Black car il n'existe personne qui lui soit supérieur.
-Si j'étais un signe de ponctuation je serais un point d'interrogation car j'aime me questionner.
-Si j'étais un plat je serais des lasagnes.
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Défi
' "Thomas Foster" (Renard hirsute)

Je me présente je suis le père Benoit et en cette journée, nous sommes réunis pour nous récueillir sur la tombe de Thomas. Nous lui avions pourtant dit que jouer avec des explosifs était une mauvaise idée mais au moins, il est mort en pratiquant sa passion : la chimie. Il laisse derriere lui son labo fumant et sa petite amie.
- Mon père ca ne va pas du tout
-Qui a dit ça ?
-Le cadavre en dessous de vous. Vous savez pas vous y prendre, bon laissez moi faire. Faut tout faire par soi même ici.
Je suis Thomas et je suis effectivement mort

Je sais que vous m'avez apprécié et que je vous manquerais mais ne pleurez pas sur ma mort. J'ai vécu paisiblement et je m'n vais l'ame legere de vous avoir rencontré. Surtout picolez bien en pensant à moi, tchao.



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Défi
' "Thomas Foster" (Renard hirsute)

La vie qitionuende est pelnie de ssurireps, on ne siat jaaims ce que dieman srea. La vie est pnctouée de rneocnters qui pevuent être heruseue ou mlhrsaeueue. Ici, je vuex vuos paerlr d'une fmmee qui coyrait en l'aveinr et en la vie mias cttee drenirèe ne lui a pas rnedu la paeirlle. Nous smoems en 1891, en pelin cuœr de Lnoedrs, jsute à ctôé de Big Ben. L'hievr est djéà arirvé et il fiat niut nroie. Dnas les reus prsnneoe ne srot et la vlile tornue au raelnti. Proutant, une fmeme barve le forid et le smog lndnooien; elle se nmome Kate, a 28 ans et elle diot s'oucecpr de son jneue fils d'à penie un an. Il se nmome Gergoes cmome son garnd-prèe, mais il tossue becauoup et les mdcéeins pneesnt à la coqluecuhe. Clea dit, Ktae ne pssdoèe pas aessz de reveuns pour peayr les tratiemnets de son fils, elle se reoutrve à trallivaer trad et puls souevnt au bar du cion, à seirvr à broie aux aooilueclqs ntrooies pour teinr le cuop. Cmmoe cahuqe soir, elle va sbuir des aavnecs et poaeerbblmnt se fraie tcohuer par duex ou toirs hmmoes, mlharsmenueueet elle ne dria rein pour éivetr de predre son eompli. La sleue cohse qui la fiat spuproter tout clea, c'est de saovir que l'aergnt peut aiedr à guéirr son flis. Elle n'a acnuue atrue mtvtoiaion dnas sa vie, son mrai éatit mrain et il a diaspru en mer, la lassiant sleue et enecinte. Son seirvce s'est trmneié vers toris heuers du mtain et elle se dépchêa de rnetrer. Mlhaerusemuneet, en eantrnt la bgouie éatit étnteie et il rgénait un foird qusai mrotel dnas ttoue la pcièe. Lrsqou'elle s'aopprcha de son flis, elle n'eentndit pas sa resipraiton. Le foird et la mldaaie l'aavit tué et il s'était eondrmi snas soffruir pour ne jmaais se rvlléeier. Ktae fnoidt en larems, tnat de tmeps de prdeu pour rien au fainl. Elle aiavt suibt des aegirossns puor son fils, elle faiaist tuot puor lui et portuant il n'éatit puls là. Sleue, elle n'a puls traavllié, elle reaistt cehz elle à ne rein farie en ateatndnt que la mrot vinnee la chrecehr. Dbéut mras, un garnd hmmoe qui éatit le mrai de Ktae et éatit finlaemnet rvneeu ertna dnas la masion; il toruva sa fmmee et son flis congleés l'un cnotre l'atrue et il s'eoffndra. La vie est plus pssunitae que tuot. Rein n'est péeirdstné et tuot puet airervr, Ktae l'apiprs à ses dpéends maleuheurseemnt.
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' "Thomas Foster" (Renard hirsute)

On dit souvent que pour être heureux il faut faire un métier qu'il nous plait, pour moi c'est chose faîte. Je recois un grand de personnes différentes, venant de contrées et avec des habitudes singulières pour certains. Aujourd'hui par exemple, j'ai travaillé avec mon ami Vincent qui avait une grande passion pour l'art. Il était comme possédé par l'amour de la peinture. Ici on sentait l'odeur du sud avec ses champs de lavande et l'on entendait le bruit des cigales. Tout respirait la simplicité et le travail accompli jusque dans les moindres détails.

"-Tu es sûr de vouloir t'installer ici avec moi pour m'aider ? me demanda t-il.
-Enfin Vincent, nous sommes amis. Bien sûr que je serais là pour toi. Je peux prendre la chambre du haut ? demandais-je.
-Désolé, j'ai déjà installé mes affaires."

Sur ces mots, il monta les escaliers deux par deux, impatient d'emménager visiblement. Je m'installa dans la chambre du bas, quasi similaire à la première mais je n'avais vu que sur des champs où j'ai vu un paysan, allongé dans une botte de paille, en train de faire la sieste au soleil. J'esperais qu'il n'attraperait pas une insolation. Après avoir ranger mes quelques vêtements, je suis monté dans sa chambre. Elle était assez simple, on y trouvait un lit en bois avec une table basse et deux chaises en bois et paille. Il était assis sur son lit et regardait une photo de son frère. Je sentais qu'il lui manquait mais ni moi, ni lui n'aurions fait une remarque dessus.

Nous sommes restés là sans rien dire pendant près de cinq minutes, puis Vincent brisa le silence.
"- Cette chambre m'inspire tu sais. Tu ne penses pas qu'elle ferait un bon tableau ? demanda t-il
-Si bien evidemment mais tu n'es pas assez renommé, tu n'arriveras pas à le vendre et je n'ai pas assez de contacts dans le milieu de l'art pour toi. Cette chambre pourrait être un point de départ pour toi. Ici je pense que tu vas pouvoir te constituer une vraie image de peintre. Il te faut créer ta célébrité et Arles peut être un bon lieu pour se faire connaitre.
-Tu as raison."

Sur ces mots, il sortit toile et pinceau et referma la porte de la chambre. De septembre à octobre il travaillera d'arrache pied. J'essayais en tant que simple philantrope, de le faire connaitre dans la région. Malheureusement l'année 1888 se soldera sans la vente de ce tableau. Bien plus tard, mon ami est tombé dans la folie jusqu'à se suicider. Je gardais le tableau et je l'offrit à un musée de Chicago. J'ai longtemps pleuré et j'ai eu du mal à me remettre de sa mort. Au moins j'avais été heureux d'une chose, c'était le temps passé avec Vincent Van Gogh et à le regarder peindre sa chambre à Arles.
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' "Thomas Foster" (Renard hirsute)
Tout le monde a besoin d'amis dans la vie, de personnes pour nous soutenir et nous aider si besoin. Et souvent, on espère que cette amitié soit forte et durable.
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' "Thomas Foster" (Renard hirsute)

Sans magie, la vie ne peut exister. En tant que magicien, je me dois de poursuivre une tradition millénaire et ancestrale.
Dans le village d'où je viens, tout le monde naît avec des pouvoirs: certains auront le don de la nature, d'autres des éléments vitaux comme l'eau ou le feu, certains encore peuvent donner vie à des choses inanimées. Cependant, je suis le seul à ne pas être comme les autres, à ne pas pouvoir rentrer dans une catégorie de magicien. Mon pouvoir principal est le contrôle du temps, et je parle bien sûr du temps l'unité de mesure. La plupart des habitants ont peur de moi car je peux accélerer le temps pour faire mourir une chose ou la faire perdurer dans l'agonie. C'est pourquoi aujourd'hui était un grand jour car on m'a exilé, de peur que je devienne trop dangereux pour la communauté. Ainsi, marchant quelques heures je suis arrivé dans une petite bourgade cossue et paisible. Les gens semblaient intrigués de voir un nouvel arrivant mais personne ne me dérangea. En tant que magicien, j'ai pu "persuadé" un homme de me prêter son appartement qui donnait sur l'axe principal. De là haut, j'avais une vue plongeante sur la ville.

Je suis resté plusieurs jours sans rien faire de particulier, mis à part faire mourir une plante pour inverser le processus, et recommencer cela une bonne dizaine de fois. Cependant, au bout d'une semaine, je vis en haut de l'immeuble en face, un homme qui se tenait sur la corniche. Il semblait prêt à sauter. Une foule de passant c'était arrêtée, mais la plupart d'entre eux ne faisaient que prendre des photos. L'homme déséspéré se laissa tomber et grâce à mes pouvoirs, j'ai stoppé sa chute, littéralement en arrêtant le temps. En le ralentissant au maximum, l'homme atterit avec une douceur remarquable, certaines personnes me félicitèrent.

Finalement, je n'avais pas besoin de rester auprès des autres magiciens, avec les vrais humains je me sens enfin moi-même. Ainsi pendant plusieurs années, j'ai traversé les pays, tentant d'aider ceux qui en avaient besoin et en m'instruisant pour apprendre de nouveaux sorts, car l'homme n'est jamais assez rempli de connaissance, et ma soif de savoir ne connait aucun répit.
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' "Thomas Foster" (Renard hirsute)


L’astronomie m’a toujours fasciné. Le ciel étoilé, la danse des planètes et l’étude de l’univers ont bercé ma curiosité d’enfant. Je n’ai jamais su pourquoi j’appréciais tant cela jusqu’à ce jour précisément. Nous étions alors le douze août et j’étais en vacances dans le sud de la France avec mon père. La petite maison se trouvait au bord de la plage et j’aimais passer mes soirées dehors lorsque le ciel était clair car j’essayais de voir les étoiles filantes des Perséides. Il devait être vingt-trois heures lorsque je me suis endormi dehors sans n’avoir rien vu. Je dus me réveiller vers deux ou trois heures du matin car l’air était plus frais. J’avais souvent quelques problèmes d’insomnies à cet âge.
Je fus étonné par les couleurs du ciel ce soir-là, plus lumineux, plus clair comme plus vivant. Un jeune homme au cheveux bleu était sur la plage avec un télescope. Je m’approchais doucement de lui, il se retourna et il souriait. Il devait avoir autour de vingt ans et il me passa un duvet car il vit que j’avais froid. J’ai dû rester deux bonnes heures avec lui. Il me fit regarder dans le télescope pour que je puisse suivre la trajectoire de ces météores. Il m’apprit que les Perséides s’appelant ainsi car elles semblaient provenir de la constellation Persée, qu’on les appelait aussi Larmes de St-laurent puisqu’elles sont visibles autour du dix aout, jour de la St Laurent de Rome.
Nous discutâmes longuement d’astronomie mais principalement des autres périodes d’étoile filante. Il y vouait comme un culte et semblait si serein en cette soirée. Il m’offrit un bout de roche légèrement bleuté, il m’avoua qu’il l’avait trouvé après la chute d’un astre oublié, tombé sur terre un jour de juillet. Je le remerciais et je la mis dans ma poche. Malheureusement, la nuit, tout comme les étoiles, filait et je me suis endormi sur la plage.
Je me réveillais dans mon lit sans savoir si la nuit que je venais de vivre était réelle ou pas. La seule certitude était que la pierre n’avait pas quitté ma poche. Depuis chaque année, je surveille les Perséides dans le sud car je me dis que peut-être un jour je reverrais cette personne qui m’a tant appris sur l’espace en une nuit.
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