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Arnaud Descombes

Sur les terres d'Avranie.
Arnaud Descombes
Dans le royaume d'Avranie, deux sœurs se vouent une détestation réciproque.

Dans l'espoir de préserver la paix dans la péninsule, leur père, le roi Léandre, les a mariées à ses deux plus puissants vassaux.

Mais loin d'apporter la stabilité voulue, ce double mariage souffle sur les braises de la discorde et réveille un feu qui menace d'engloutir toute la péninsule.

Dans l'ombre de la guerre, des opportunistes se réveillent et dressent leurs plans secrets, pendant que les âmes innocentes luttent pour leur survie.
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Arnaud Descombes
Complexée par ses rondeurs, Élodie remarque avec un certain émoi les regards appuyés de son collègue Anthony. En couple avec Bastien depuis trois ans, la routine lui pèse, et un jeu de séduction et d'interdits commence à alimenter ses fantasmes.
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Arnaud Descombes

Elle reviendra.

Tu t'efforces de t'en convaincre. Allongé dans ton lit, les bras tendus de part et d’autre comme si tu cherchais un fantôme, tu t’accroches à cet espoir que tu aimerais voir se muer en certitude, tandis que le vide à tes côtés semble te narguer. La femme que tu aimes n’est plus là, mais elle reviendra. C’est évident, non ? Sept ans, ça ne s’efface pas comme une trace de buée sur un miroir. Tu sais qu’elle t’aime encore. Elle n’a pas pu t’abandonner comme ça. Pas complètement.

Pourtant, dans l’obscurité de ta chambre, le silence te rappelle combien tu es seul. Tu fermes les yeux et tu la revois : son adorable sourire, ses beaux yeux bleus, sa façon de passer une mèche blonde derrière son oreille quand elle est nerveuse. Tu te rappelles son élégance ; toujours bien apprêtée, bien maquillée, toujours tirée à quatre épingles. Tu étais tellement fier de t’afficher avec elle. Tellement jaloux, aussi, du regard que portaient sur elle les autres hommes.

Tu te tournes sur le côté, incapable de trouver le sommeil. Est-ce qu’elle pense à toi, elle aussi ? Est-elle, à cet instant précis, allongée dans son lit, les yeux rivés au plafond, se demandant si elle a fait le bon choix ? Est-ce qu’elle pleure ? Est-ce qu’elle regrette ?

Tu te redresses et allume la lampe de chevet. La lumière jaune éclaire les souvenirs épars de votre vie ensemble : une photo encadrée de vous deux sur la plage, son écharpe oubliée accrochée derrière la porte. C'est douloureux, et pourtant ! Tu ne peux pas t’empêcher de sourire en la regardant.

Elle reviendra. Elle doit revenir. Pas parce que tu le mérites, mais parce que ça ne peut pas se terminer ainsi.

Tu te rallonges et ferme à nouveau les yeux, écoutant le bruit lointain des voitures qui passent. Peut-être qu’elle est dans l’une d’elles, revenant vers toi. Ou peut-être qu’elle est déjà couchée, les yeux rougis par les larmes, luttant contre l’envie de t'appeler. À tout moment, l'écran de ton portable pourrait s'allumer et afficher son nom.

À quoi pense-t-elle en ce moment, que fait-elle ?
Si tu savais…

*


Ton ex redresse la tête, la respiration haletante, les cheveux en désordre. Chassant une mèche rebelle d'un revers de la main, elle plisse les yeux, peinant à s’habituer à la pénombre. Il est tard ; ça ne fait pas longtemps qu’elle est rentrée chez elle. Ses joues sont encore rougies par le vent glacial qui souffle dehors.

— Ça t'embête pas si on allume ? J'ai envie de te voir.

La voix masculine est chuchotante, mais elle résonne dans le silence de la chambre de ton ex, jusque-là seulement rythmé par le son humide de glissements de langue qu'accompagne un souffle rauque.

Elle hésite. L'obscurité, ça facilite les choses. Invisible dans le noir, elle s'affranchit de tout jugement, et surtout du sien. Aurait-elle osé en arriver jusque là autrement ? Pas certain, mais pas impossible non plus. De ce mec croisé par hasard sur la piste lors d'une soirée en boîte, elle ne connaît pas même le prénom - elle n'a d’ailleurs aucune envie de le connaître. Pourtant, elle l'a laissé fourrer sa langue dans sa bouche au beau milieu du dancefloor. Voilà deux heures que ton ex petite amie échange sa salive avec un parfait inconnu qui semble particulièrement pressé de passer à la vitesse supérieure. Elle a fini par le ramener chez elle, en passant l’entièreté du chemin à tenter de faire taire la petite voix qui cherchait à la faire culpabiliser. C'est vrai que le jeu l'excite un peu ; il faut dire qu'en sept ans avec toi, elle n'a guère laissé libre court à ses fantaisies. Et puis, il y a quand même un léger feeling avec ce mec. Rien de bien folichon… mais après tout, elle est libre, maintenant. Libre de se laisser aller, libre de se faire plaisir.

— Allez, s'il te plaît, insiste-t-il. De quoi t'as peur ? T'es canon.

Ton ex prend une grande inspiration, puis tend la main vers l'interrupteur de la petite lampe de chevet. Une lumière tamisée inonde la pièce, dévoilant les secrets de la semi-pénombre.

Debout face à elle se tient un homme à la trentaine bien dépassée, trente-sept ou trente-huit ans au mieux - elle vient de fêter ses vingt-trois. Il a la barbe poivre et sel, un air faussement négligé, et des yeux verts dont le regard accroche celui de ton ancienne copine en brillant d’une profonde intensité. Il a le pantalon baissé, la queue sortie du caleçon ; il bande si fort qu'il semble prêt à jouir. Le bout de son gland est humide de salive ; son goût imprègne encore la bouche de ton ex.

Elle est toute nue.

Agenouillée sur le sol, elle tend délicatement la main vers le sexe qui lui fait face, referme ses doigts autour de la hampe, rapproche son visage et le glisse à nouveau entre ses lèvres.

— Hmm, c'est bon, putain. T’es trop bonne…

Il s’enivre de la sensation délicieuse de la langue tendre et humide qui lui lustre le gland. Il savoure la vision sublime qu’elle lui offre sur sa peau de pêche, lisse et immaculée, véritable bouffée de fraîcheur et de jeunesse ; ce qu’elle est canon ! Sous la cascade de cheveux blonds qui encadre son visage angélique, il voit s’agiter ses nichons, deux jolis citrons proéminents dont les mamelons remuent joliment à chaque fois que ton ancienne copine fait un mouvement ou qu’elle reprend sa respiration entre deux succions. D’une main, il vient jouer du bout des doigts avec les aréoles rose pâle ; de l’autre, il vient plaquer la paume contre la nuque de la belle et, pris d’un élan de désir, la pousse sans ménagement contre lui à tel point qu’elle a le nez collé contre son pubis. Il l’entend hoqueter alors que son sexe s’enfonce dans sa gorge.

— Hmmm, c’est trop bon…
— Ça va pas, non ? proteste-t-elle après l’avoir recraché. J’ai failli m’étouffer…

Elle a l’air fâchée, mais pas dégoûtée pour autant ; la voilà qui avale de nouveau sa bite, et elle y va franco. Ton ex le prend à pleine bouche, fait tournoyer sa langue, le suce, le lèche, l’embrasse… l’odeur du foutre emplit sa gorge. Elle se donne à fond, savoure cette queue comme si elle cherchait à en extraire jusqu’à la dernière goutte de sève. Entre deux léchouilles, elle sent une délicieuse sensation humide titiller son bas-ventre ; la situation l’excite. Elle n’imaginait pas à quel point elle pourrait adorer ça.

— Je vais jouir si tu continues comme ça, grogne l’autre.

L’idée traverse l’esprit de ton ex alors qu’elle continue de se gargariser avec la bite d’un autre. Elle l’imagine répandre sa semence dans sa bouche, se demande ce qu’elle ressentirait. Ce n’est pas tant le geste en lui-même qui l’attire, mais ce qu’il sous-entend l’excite beaucoup. Elle hésite une seconde, elle a presque envie d’essayer, mais elle renonce finalement ; pas parce qu’elle n’en a pas envie, mais parce qu’elle ne veut pas le terminer si vite sans en profiter jusqu’au bout. Maintenant que le désir monte au creux de ses reins, elle a envie de le sentir en elle.

— Tu veux me baiser ?
— Putain, oui.
— Tu veux faire ça comment ?
— Fous-toi à quatre pattes. J’ai envie de mater ton cul en même temps que je te baise.

*


Tu continues de scruter l’écran de ton téléphone, qui s’obstine à rester désespérement noir. Encore une nuit de plus à attendre. C’est trop tôt. Après tout, ça ne fait que trois jours qu’elle t’a largué, et elle a sa fierté, associée à un sale caractère. Elle est peut-être en pleine crise de larmes en ce moment-même, mais elle préférera affronter son chagrin toute seule plutôt que d’exposer une once de faiblesse. Tu te réconfortes en pensant que la situation la peine sûrement tout autant que toi. La solitude qui te serre le coeur, elle la subit elle aussi.

Tes bras remuent sous la couverture ; au hasard de ses pérégrinations, ta main droite trouve ta queue. Flasque, endormie, aussi apathique que toi en ce moment ; ceci dit, ce bref contact réveille déjà un début d’érection. Tu convoques l’image mentale de ta dulcinée, et les souvenirs de vos étreintes ne tardent pas à te mettre au garde à vous. Tu te rappelles les douches que vous preniez ensemble, ces étincelles de désir qui te faisaient frémir à chaque fois que tu collais ton corps au sien, le contact de ton sexe contre ses flancs nus, la vision enchanteresse de sa chute de reins, la texture délicate de sa peau de pêche quand tu lui savonnais le corps.

Il te paraît impensable que de tels moments puissent ne plus jamais se produire.


*


Ta dulcinée creuse les reins et bombe le torse. Elle lève les fesses bien haut, alors que deux puissantes mains d’homme s’emparent de ses flancs. L’autre s’est débarrassé à la hâte de ses vêtements ; elle sent la peau de son torse contre sa chute de reins. Il est tout nu, songe-t-elle, et bien qu’elle ne puisse le voir, elle est curieuse de se le représenter dans le plus simple appareil. Tout en laissant libre court à son imagination, elle sent frotter contre sa vulve le gland humide qui tâtonne à la recherche de l’entrée de son sexe. Gare qu’il ne se trompe pas d’orifice dans cette position-là ! Elle le sent enfin s’immiscer dans sa chair et se mord la lèvre inférieure, avant de pousser un petit gémissement aigü. Le corps tout entier de ton ancienne petite amie s’agite d’un frisson de plaisir, alors qu’un autre homme que toi s’invite au plus profond de son intimité. Il va et vient en elle, glisse dans son sexe avec facilité, d’abord en douceur, puis avec plus de fermeté ; à chaque coup de rein qu’il assène résonne le claquement caractéristique des corps qui s’entrechoquent. Ton ex relève encore ses fesses, tout en plongeant la tête contre l’oreiller pour étouffer ses cris. Elle le sent tellement bien…

— Caresse-moi les seins, murmure-t-elle d'une petite voix aiguë, tout en fermant les yeux pour mieux se concentrer sur les sensations qu'elle éprouve.

Les grosses mains masculines se mettent à lui malaxer les seins avec une intensité prédatrice. La grosse bite pilonne la chatte de ton ex avec violence ; elle la sent toute chaude au fond d'elle. En pleine cavalcade, le type déploie d'immenses efforts pour ne pas jouir instantanément en elle ; il ne cesse de dévorer des yeux les formes délicieuses qu'elle expose sans honte à son regard carnassier. Tandis qu'il prend la femme que tu aimes, l'homme s'excite en songeant à leur différence d'âge ; il n'imaginait pas avoir encore la chance de se taper une petite jeune dans son genre. Il savoure la fermeté des seins dans ses paumes, s'amuse de sentir ses couilles fouetter l’adorable petit cul qu’elle tend contre lui. Il s'étonne qu’une fille comme elle n’ait pas de mec ; elle est typiquement le genre de petite pétasse que tous les hommes rêvent de sauter.



*


Tu ne trouves toujours pas le sommeil. A force de ronger ton frein, tu en es venu à perdre patience. Tant pis pour la fierté, penses-tu en attrapant ton portable. L'envie de l'appeler tout de suite est presque irrésistible, mais au milieu de la nuit, elle risque de sacrément mal le prendre… Alors quoi, un simple texto ? Tu as tellement de choses à lui dire qu'il va être difficile de tout exprimer en un simple message.

On dit que la nuit porte conseil, mais agir en plein milieu d’une nuit blanche n'est pas toujours le plus indiqué…


*


Les gémissements de ton ex sont de plus en plus aigus, de plus en plus forts. La tête toujours enfouie dans l'oreiller pendant qu'elle se fait pilonner, elle ne voit pas s'allumer l'écran de son téléphone, pas plus qu'elle n'entend la notification du nouveau message. Paupières closes, elle est entièrement absorbée par la sensation délicieuse qui emplit son bas-ventre. De temps à autre, entre deux coups de reins qu'elle subit, un élan de lucidité lui rappelle qu'elle est en train de se faire sauter par un parfait inconnu, elle qui jugeait si sévèrement ses copines adeptes des plans cul. Mais elle était en couple, à l'époque. Aujourd'hui, elle veut profiter de sa liberté, la savourer, en jouir…

— Je vais pas tenir, souffle le type d'une voix rauque, trahissant la lutte intérieure qui se joue dans son esprit embrumé alors qu'il tente désespérement de contrôler la vague qui menace de tout dévaster sur son passage.
— Attends un peu… on n'a pas mis de capote… tu n'as qu'à jouir sur mes fe…
— Oh, putain, hmmm…

Elle sait déjà qu'il est trop tard quand elle le sent se raidir de tout son long. Elle sent l'extrémité de sa queue, au plus profond d'elle, décharger en quantité sa sève masculine, chaude, visqueuse, épaisse. Le type prend tout son temps à présent - il prend surtout son pied, accompagnant l'acte d'un long gémissement de plaisir tandis qu'il répand en elle chaque goutte de sa semence, chaque seconde prolongeant son plaisir.

Il se retire d'elle, non sans profiter abondamment de la vue qu'elle lui offre sur sa chute de reins. Il la revoit au moment où il l'a abordée en boîte, auréolée de sa jeunesse, sa beauté et son élégance, si inaccessible en apparence qu'il avait failli renoncer après qu'elle l'ait rembarré une première fois. Cette petite coquine cachait bien son jeu. Elle se dérobe à lui en s'allongeant sur le dos, offrant à son regard une vision tout aussi enchanteresse avant qu'elle ne rabatte le drap sur elle pour dissimuler son corps nu. Pendant le bref instant où elle a changé de position, il a pu contempler et apprécier dans la semi-pénombre la fente intime de sa vulve, luisante et humide, la sueur se mêlant aux sécrétions féminines et au reflux de semence lui dégoulinant du vagin. Elle n'avait pas l'air disposée à écarter les cuisses pour lui tout à l’heure, et pourtant…

Ton ancienne petite amie soupire, alors qu'elle songe à ses draps qu'il lui faudra changer. Passé l’instant de folie, elle se sent un peu déphasée. Est-ce qu’elle regrette ? Difficile à dire. C'était appréciable sur le moment, mais à l'arrivée, elle n'en retient pas grand chose, à part avoir la chatte pleine de foutre. Même sa pudeur est en train de refaire surface, alors qu'elle a laissé ce type la mater sous toutes les coutures. Elle ne sait pas trop si elle a vraiment aimé ça. Il faut dire que le gars n'est pas non plus son premier choix… Elle aurait eu d'autres opportunités ce soir, mais elle avait déjà éconduit deux autres prétendants avant de céder à celui-ci. Dommage, les autres lui avaient fait un meilleur effet au départ. Peut-être que si elle avait couché avec l'un de ces garçons à la place, ce serait différent.

— La course à pied, j'en fais pas mal, ça aide à être endurant, surtout pour ce genre de chose. Là, j'ai pas hyper bien assuré, mais normalement, tu peux me croire, j'aurais…

Elle ne l'écoute pas. Il ne l'intéresse déjà plus. Est-ce qu'il réalise au moins qu'il est seulement le deuxième homme à l'avoir vue nue ?

Un bref instant, elle repense à toi. Une once de culpabilité la prend, comme si elle éprouvait la sensation de te trahir. Elle chasse aussitôt cette pensée. Je suis libre de faire ce que je veux, avec qui je veux. Machinalement, elle baisse les yeux vers son téléphone posé sur la table de chevet. L'écran clignote par intermittence ; elle glisse son doigt pour le déverrouiller, affichant la notification du nouveau message. Le visage de ton ex se fige moment où ton nom s'affiche. Non, non. Elle ne veut pas penser à toi, pas maintenant, surtout pas maintenant. Elle supprime le message sans le lire, abandonne le téléphone et se recroqueville dans le lit. L’autre parle encore. Elle ne l'écoute toujours pas.

— C’est vrai qu’à la fin on ne le faisait presque plus avec mon ex-femme, mais j'arrivais toujours à lui donner son plaisir… mais avec toi, c’était tellement intense que j’ai pas pu me…

Elle sent son cœur battre à tout rompre, réprime le léger tremblement qui agite ses bras. Pourquoi je réagis comme ça ? Ça n'a aucun sens. Après tout, elle a fait un choix. Elle a toujours assumé ses choix, elle assumera aussi celui-là.
Quitte à assumer jusqu’au bout.

— C'était bien, glisse-t-elle à son amant avant de déposer sur ses lèvres un baiser destiné à le faire taire.
— Mieux que bien. Tu étais parfaite. T'es tellement…
— Ça t'ennuie si on dort ? Je suis épuisée.
— T'as raison, ma belle, moi aussi, je suis crevé. Tu m'as vidé !

Le double-sens graveleux lui arrache un ricanement qui la laisse de marbre. Elle hésite à lui demander de partir. Elle a envie d'être seule, et en même temps, elle sait qu'elle va passer le reste de la nuit à penser à ce qu’il vient de se passer.
Elle n’a aucune envie de penser à quoi que ce soit.

— Tu ferais bien de te reposer, parce que je compte sur toi demain matin, murmure-t-elle d'une voix enjouée.
— Coquine. T’en veux encore, hein. Tu vas pas être déçue…
— Allez, dors… on s’amusera plus tard.

Enhardi par l'étrange revirement de ton ex, le type vient se coller à elle. Elle esquisse d'abord une grimace en sentant contre sa peau nue le corps chaud et transpirant de son amant, avant de se résigner à se pelotonner dans ses bras pour dormir.
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Arnaud Descombes

JE SUIS LE MAITRE DU MONDE !!!!

Héhé. Ça valait le coup.

Bon, ce serait bien que je descende maintenant, parce que c'est pas bien large quand même.

Mais comment je vais faire ?

Oulala, c'est haut quand même.

Quelqu'un peut m'aider ?

Allô ?

Hou hou ? Ya quelqu'un ?

J'commence à avoir des fourmis dans les pieds...
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Défi
Arnaud Descombes

- C'est beau !
- Bof.
- C'est pas un souvenir reluisant de l'Histoire humaine, mais quand même ! C'est beau.
- C'est une image faite par IA. Paye ton sens artistique.
- Et alors ? Les artistes ne vont plus rien gagner à cause des méchantes IA ? Y feront caissier, comme tout le monde.
- Toutes les caisses sont automatiques.
- Boomer.
- Wokiste.
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Vous êtes arrivé à la fin
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