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Dovineca

France.
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Bien le bonjour, je suis ici pour partager mes écrits personnels ; j'écris peu souvent mais j'essayerai d'être actif ^^
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œuvres
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défis réussis
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"J'aime" reçus

Œuvres

Dovineca

5 octobre 1804, Whitechapel, Londres.

« Cher journal, aujourd’hui je me confie à toi, comme toujours car au fond tu restes peut-être celui qui m’écoute le plus dans ce monde, un simple journal mais un journal ouvert d’esprit. Tu sais, mes élèves, mon travail, ma famille et ma vie me désespèrent, je ne sais plus quoi faire, je ne sais même plus où aller. On m’a dit, un jour, que j’aurai une vie de rêve en étant professeur mais au final je regrette, je travaille pour deux sous et je n’ai même pas le sentiment d’aider mes élèves à apprendre. Je me demande si je dois vraiment rester ici ou bien partir ailleurs, que dois-je faire journal ?

Je te laisse avec cette question qui pour moi va me préoccuper pendant encore un long moment.

Sigmund. »


19 octobre 1804, Whitechapel, Londres.

« Cher journal, encore une soirée à écrire à une oreille attentive, du moins, j’espère que tu m’écoutes et que tu me comprends car dans ma vie, personne n’essaie de m’aider, ils voient bien que je me sens mal, mais personne ne vient m’aider ou même, tout simplement me parler. Il y a qu’une seule personne qui m’ait toujours écouté et je regrette qu’elle ne soit plus de ce monde ; celle à qui je dois la vie me manque, elle m’est vitale, sans elle, je ne sais plus qui je suis et où dois-je aller, Maman, si tu m’entends par cet écrit, je t’aime et j’aimerai que le modèle que tu as été et qui m’a toujours inspiré soit de retour pour m’aider.

Sigmund. »

31 octobre 1804, Whitechapel, Londres.

« Cher journal, plusieurs jours se sont passés après la question que je t’ai posée et je dois te dire que ,finalement, ma décision est prise, je m’en vais. Je te laisse dans ce monde, j’en ai assez, je vis dans le quartier le plus pauvre, je ne veux plus de ce monde accablant de malhonnêteté, de meurtres et d’hypocrisie. Chaque jour un homme est tué dans ce quartier et chaque jour j’espère que je serai le prochain..

Sigmund. »
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Dovineca

Sang séché, je m'épuise.
On s'est acharné ; chaque pas... J’agonise.
Petite blonde de mon cœur,
Qui aurait pu te faire cette horreur ?
Je ne m'en remets pas;
Je ne m'en remettrai jamais,
Comment n'ai-je pas pu être là ?
Comment n'ai-je pas pu t'aider ?
L'argenterie m'appelle,
Je veux te rejoindre,
J'ai envie de me faire pousser des ailes.
Je ne supporte plus, je vais m'éteindre.
La rose m'emporte,
Son parfum m'accoste,
Je ne refuse pas, je passe la porte,
J'arrive et je ne dispose d'aucune riposte.
Prends-moi dans tes bras quand j'arriverai
Car si tu ne le peux pas, moi j'essayerai.
Allez, commençons !
Je quitte ce monde de cons.
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Dovineca

Aujourd'hui, ressentant la douleur fantôme
D'un baiser venu d'un autre Homme.
J'aiguise ma peine
Des stigmates qui me gênent.

Par-dessus les méandres de l'incompréhension,
Je m'excuse de n'avoir pas prêté plus attention.
Par-dessus ce teint morne qui me garde,
Je réalise un masque qui me poignarde.

Au fond du trou, j'ai su que c'était une mort.
Ce fut une mort douloureuse
Que de se sentir violenté par sa bien-aimée.

Malgré cela, j'espère avoir été un bon support.
Malgré cela, par un amour calamiteux,
j'espère avoir été d'une utilité aisée.
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Questionnaire de l'Atelier des auteurs

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