Il s'agit de l'encyclopédie de mon univers.
Je vais continuer de développer ce qui suit dans le double objectif de l'écriture et du JdR.

Je pense renommer cet univers "Les Chroniques du Voyageur" ou "Les Chroniques Tilliennes" cela me semble plus parlant que "Chullox".
A voir.


Je suis ouvert aux critiques, n'hésitez pas.

**Work In Progress**

Une histoire qui traîne dans mon esprit depuis un moment.


Les évènements de Pierre Pourpre se situe des milliers d'années après une époque nommée l'Ère des Dieux. Un âge plus mythique qu'autre chose. Aujourd'hui est une époque de feu, de poudre et de raison. Les Princes font s'entre-tuer les gens contre monnaie sonnantes et trébuchantes dans des querelles le plus souvent futiles. Certains sont cependant plus pragmatiques tel le Roi Fou. Un homme cruel et rusé qui souhaite réunifier le continent tel jadis l'Empire des hommes qui existaient alors durant l'Ère des Dieux.

Les Grandes batailles de cette époque contre les démons, monstres, duel de magiciens et autres scènes d'interventions des Anciens Dieux sont devenus Mythes et Légendes. Déformé par le temps et aujourd'hui raconté aux enfants pour qu'ils s'endorment le soir.

Pourtant les Divinités Antiques et la source de leurs pouvoirs était bien réelle. Tout comme le reste...
Que se passerait-il si soudainement le monde était rattrapé par son passé ?
Que se passerait-il si ce passé moqué, raillé et presque oublié refaisais surface et imposais sa réalité aux Princes aussi suffisant qu'insuffisant ?

Après la sanglante bataille des Trois Champs la meilleure unité de choc du Roi Fou, le Corps des Sauterelles, doit renouveler ses rangs et partir pour sa nouvelle mission. Le Capitaine Draguur Vrolf et le Maître de Guerre Blöm Heinka n'imagines pas une seule seconde ce qui les attendent.

Après tout ce n'est qu'une mission de plus pour le Roi Fou, n'est-ce pas ?

Il s'agit de la suite de l'histoire d'un défis :
https://www.scribay.com/text/1721612066/reponse-a--chroniques-du-futur-/chapter/476782
A savoir que j'ai inclus cette histoire dans Chullox sous le nom de "Un bon piaf..."

L'ambiance n'est pas la même puisque nous cette fois nous suivons le cours de la guerre de l'autre coté du vide.
Mais les Humains et les Chullox sont-ils les seuls acteurs dans ce conflits ?
Parfois les choses sont plus complexe qu'il n'y parait.

J'écrirais la suite au fur et à mesure.

Souvent les rêves sont le résultat de l'analyse que fait notre cerveau sur notre état ou notre environnement. Le Siège de tout en nos corps perçoit bien plus de choses que nos âmes, source de nos émotions.
Parfois cependant, les rêves sont des messages du futur, de ce qui peut arriver si l'on fait tel ou tel choix, d'autre de ce qui va arriver quelque soit la manière dont agis ou réagis. Ces rêves sont nommé "rêves prémonitoires" et j'ai tant le plaisir que le malheur et même l'incompréhension d'en faire en de nombreuses occasions, le matin au bord de l'éveil.
Non je ne peux pas vous lire l'avenir, non je ne vois pas le futur, je ne sais pas comment seront faits nos jours lointains. Les seules choses que je vois ne concernent que ma personne, ma vie, son devenir.
Il m'est difficile de me rappeler de toutes ses visions, parfois claires comme de l'eau de roche, parfois nécessitant une interprétation comme tout rêves. Il me reste cependent quelques fragments de mémoires.
Avez-vous déjà eu un oeuf ? Non je ne parle pas d'un oeuf de poule, espèce de maniaque de l'omelette. Je parle de cette bosse qui se développe suite à un choc. Elle est très souvent représentée dans les dessins animés américains (Bugs Bunny, coyote et Bipbip, ect...) et bien que j'ai eu le plaisir de vivre cette expérience malgré un rêve prémonitoire, je puis vous assurer que c'est désagréable (surtout au dessus de l'oeil).

Ainsi dans mon rêve prémonitoire, quelques années avant cet oeuf douloureux, je voyais comme si mes yeux étaient une caméra installée sur le guidon de mon vélo. Quelques secondes de vitesses et le vélo tomba sur le coté, le manche droit en plastique rebondissant sur le bitume.
Plus rien.
Beaucoup plus tard, je suis effectivement tombé (ça fait mal) et j'ai eu un oeuf....

Sinon, ces rêves sont des flashs de scènes que je vois effectivement quelques années plus tard. Cela note généralement un évenement passé ou à venir. Bien entendu importants mais je n'en ai pas forcément conscience.
Il m'est difficile de vous décrire ces flashs plus d'avantage. Ni même de vous décrire d'autres rêves, ma mémoire étant se qu'elle est.

Quel rapport avec les Étrusques ? Ils étaient devins, il y avait même une école.

Un coup de mélancolie.
Écrit en 5 minutes.
je n'ai pas fait de relecture.
Mille excuses à toi ô lecteur.

Aujourd'hui il m'est arrivé quelque chose d'extraordinaire.
Je suis mort.
Mort bêtement dans mon plumart, sans douleur ni peur.
Même pas pu me faire siphonné les burnes une dernière fois par une nana. Non même pas.
Je suis mort à 120 ans, avec une vie bien remplie, chiante à mourir (enfin !)
Ca ne parraît pas comme ça mais mourir ça n'arrive pas tous les jours et en soi, lorsque'on le vit, c'est extraordinaire. Enfin, on obtien la réponse que des milliards de connards se posent. Moi je m'en fous comme de ma première levrette. Ou du premier homme que j'ai tué.
Je m'en suis souvenu toute ma vie, cela me hantait même parfois la nuit.
Jeune j'ai été soldat. Enfin... jeune, tout est relatif. A 40 ans ont est encore jeune pour les vieux cons de 60 ans. Bref, quand j'était jeune j'ai été soldat.
Pour être exacte je l'ai été durant 12 ans dans cette putain de guerre qui a duré presque 167 ans. Content d'avoir survécu à cette salope. Pas mes copains....
Je me tenais dans une tranchée, un vieux fusil à vérrou tout pourri dans les mains, plein de marques de coups au but, de choc ou d'éclats en tous genres. Devant au loin j'ai vu un truc bouger. Je me suis dit "C'est quoi ça ?" J'ai pris appui sur la terre, j'ai visé et j'ai tiré. *BAM*
L'homme que j'ai tué, le premier d'une longue liste lorsque j'y repense, a laché un cri qui m'a glacé le sang. Ce jour là j'ai eu la certitude que les âmes existent. Je venais de tuer un homme, en uniforme certes mais un homme tout de même. Se souvenir m'a poursuivi tout le reste de ma vie.
Durant toute cette guerre de merde j'ai vu la Mort faucher des hommes et des femmes de tous âges, peu importe l'uniforme. Cette guerre là de toute manière, seuls les généraux et les politicars voulaient la continuer.
Cette pute, la Mort, m'a aussi poursuivi. Elle a fauché comme les blés tout mes potes et même quelques plan Q (là ça fait mal). Même après la guerre, ma femme m'a quitté il y a 24 ans. Elle a oublié de prendre son médicament contre ses problème de mémoires... Elle a jamais été foutue d'être à l'heure... Même pour nos weekend à deux... Mon fils est mort bêtement d'un accident de la route et ma fille d'une overdose d'une connerie quelconque.
D'ailleurs les jeunes de nos jours ils n'ont plus de couilles, d'autres parleront de convictions. Putains de tarlouses. A mon époque les gamins voulaient devenir ce sniper héros de la nation, membre d'équipage de ce char qui a sauvé le front de l'éffondremment, cet As imbattable qui fait pisser dans leurs frocs les pilotes de chasse ennemis ou encore l'ingénieur qui va crée le nouveau fusil qui va changer le cours de la guerre (14ème édition). Non, aujourd'hui les jeunes préfèrent se bourrer la gueule à mort avec des liquides que j'utiliserais pour nettoyer la carlingue d'un char et fumer des cloppes plus grosses qu'un obus de 20 mm remplies d'herbes en tout genre qui les fait "planner". Personnellement je planne lorsque un obu ou une bombe me projète 4 mètres plus loin. Et puis, même moi je sais qu'il ne faut pas toucher à ces salopperies, après tu prends 30 secondes de plus à alligner le connard d'en face.... Et encore si tu le confond pas avec le mur à 2m sur sa gauche...
Au final la Mort à eu tous mes potes mais elle a pas pu se libérer pour moi. Ou alors je lui ai posé un lapin à chaque fois, allez savoir. Ils sont morts les uns après les autres. Balle, mortier, artillerie, chute, coma éthylique...
Quand je dis que je suis mort dans mon sommeil je ne dis pas tout. J'ai "peut-être" raccourci l'histoire un chouilla. Cette salope ne venait pas me chercher et ces débiles congénitaux de medecins se branlaient sur mon cas "exceptionnel" de viellard encore capable de bander (ou de leurs foutre une torgniole dans la tronche. Putain de gosses). Il m'ont shooté au médicaments pendant des années. Entre eux et l'autre salope qui joue les Sainte-ni-touche j'en ai eu marre.
Une p'tit pilule par-ci une autre par là, des somnifère à tuer un régiment pour pas trop ressentir les effets secondaires indésirables. Et voila je suis mort comme ça. Enfin... Mort...
Je me suis réveillé dans ma chambre, à mon grand désarrois. Je me suis étiré de tout mon long, plus aucune douleur articulaire, pas le moindre blocage, une sensation de force et de couilles pleines.
Je me suis levé, je suis allé dans ma salle de bain, me voir dans le miroir de ce mourroir qu'est cet hopital pour vieux.
Pute de 1ère ligne !!!
Je sais pas ce que j'ai pris mais ça m'a donné une allucination. Je me suis vu avec le visage des mes 20 ans. Bon, après un petit moment à regarder mon corp je me suis rendu compte que j'avais effectivement rajeuni. Ma peau était toute propre (en dehors de quelques cicatrices), elle ne pendait plus comme les balloches des vielles qui me servent de voisines. Et une crampe. Oui une crampe. Entre les jambes.
Sur ceux je vous laisse, j'ai une crampe à guérir au près d'une doctoresse.
Et n'oubliez pas, on ne meurt qu'une fois dans une vie. Sauf moi, je mourrais deux fois.

La suite ici :
https://www.scribay.com/text/651123052/chullox

C'était un samedi après-midi d'Été, chaud et ensoleillé. Les gens se baladaient dans la rue piétonne, profitant du soleil. Rires et discussions résonnaient dans la rue en une musique agréable. Les enfants jouent ou mangent leurs glaces avec un plaisir affiché. Un chat était allongé dans l'herbe, profitant de la chaleur du soleil. La vie est belle.
Un couple marche, main dans la main. Une Brune à gauche et un Brun à droite, la trentaine. Ils marchent lentement, souriant, autant l'un à l'autre qu'au soleil.
Dans un moment vide Monsieur perd sa concentration. Ses yeux se perdent dans le buste d'une femme. Il faut dire que c'est une belle femme. Sous sa chemise blanche on devine une poitrine, ni trop ni pas assez. Ses interminables jambes se devinaient sous sa jolie robe d'Été. Comment ne pas admirer ce Chef-d'œuvre de la nature ? C'est en regardant de belles choses que l'on obtient de beaux yeux.
L'ayant dépassé il tourne la tête et en profite pour regarder les plus belles courbes de la gente féminine. Dame nature est une artiste.
Le délice prend fin par la forme d'un gentil coup de coude dans ses côtes. Il tourne la tête et trouve Madame, mécontente. Pas fachée comme pour la fois où il avait oublié les fleurs pour l'anniversaire de leur rencontre, juste mécontente qu'il détourne son regard de SA Déesse. C'est pas par ce que je suis au régime que je n'ai pas le droit de regarder le menu. Son irrésistible sourire aide un peu à faire passer la pilule.
Elle détourne la tête tout en se mordillant les lèvres. Quatre pas de plus et elle aperçoit un bel étalon sorti d'une rue sur la gauche. Grand, chauve, habillé d'un short beige et d'une chemise qui laisse deviner une musculature enivrante. L'appétit vient en mangeant.
D'un pas beaucoup plus pressé il dépasse le couple. Elle tourne alors la tête et tout son corps avec de manière exagérée. Le but est bien sûr que Monsieur le remarque et qu'il soi face à la concurrence.
Elle en profite pour regarder le reste du menu. Elle prendrait bien de cette paire de pure muscle que ce short moule si bien. Un plat bien présenté fait venir l'appétit, n'est-ce pas ?
Elle se retourne vivement, ses cheveux volant sous l'effet, la décoiffant. Monsieur la regarde, (enfin !) grimaçant. Bah quoi ? Moi aussi j'ai le droit de regarder le menu.
Elle sourit tout en se disant: Dans les dents mon chaton.
C'était un samedi après-midi d'Été, chaud et ensoleillé. Les gens se baladaient dans la rue piétonne, profitant du soleil. Rires et discussions résonnaient dans la rue en une musique agréable. Les enfants jouaient ou mangeaient leurs glaces avec un plaisir affiché. Le chat est bien dans l'herbe. Chauffé par le soleil, il s'étire de tout son long avec une grâce toute féline.

Simplement quelques testes.
A savoir que je suis allergique à la poésie mais bizarrement lorsque je travail mon cerveau en fait...
Je retranscrit donc ici ce dont je me souviens.