Julien Oppenheimer-Halimi
Les plus lues
de toujours
Premiers Haïkus que je publie.... Indulgence et conseils sont plus que bienvenue !
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Défi
Petite poésie pour présenter les ravages de la guerre sur notre belle nature.
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C'était pendant l'horreur d'une profonde nuit,
Ensemble se mêlaient, les odeurs et les bruits,
De petits craquements, sur le plancher de bois,
Et mon cœur à l'affût, mon corps frappé d'effroi.
Tout d'abord la poignée fut lentement tournée,
Un air frais, délirant, fut le premier entré,
Puis une forme noire, aux cheveux couleur or,
Qui fit deux ou trois pas, et dévoila son corps.
Elle entra dans le lit, ne me regarda pas,
Elle était, semble-t-il, insensible à ma voix,
Quand je lui pris la main, elle dit ''Au revoir".
Puis elle repartit, sans que je pus rien faire,
Malgré tous mes efforts, mes yeux se fermèrent,
Le souvenir d'Anna, disparut dans le noir.
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Défi
Un petit vent d'été faisait frémir la rose,
Une légère pluie, aux allures de rosée,
Venait humidifier les champs d'échinacées,
Tandis que l'hibiscus venait prendre la pose.
L'heure était du matin, l'heure était à l'amour,
Lui posé sur un banc, elle sur la pelouse,
Le silence régnait, la Nature jalouse,
Regardait d'un œil noir leurs regards au grand jour.
L'homme posa son livre et s'avança vers elle,
Il lui dit quelques mot qui la firent rougir,
Il lui prit les deux mains, elle fit un sourire,
Rayonnant comme un astre éclatant dans le ciel.
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Car la passion de jeunesse se peut être éternelle,
Il est d'usage de lui montrer les sentiments qu'elle réveille.
Il est d'usage de lui montrer les sentiments qu'elle réveille.
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