Enricka Larive
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Défi
Parfois un coup de vent se transforme en tempête.
Parfois la tempête arrive jusque dans ton cœur.
Parfois, elle te retourne aussi les tripes.
Parfois la tempête arrive jusque dans ton cœur.
Parfois, elle te retourne aussi les tripes.
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Défi
On dit qu’on ne trouve pas l’amour devant sa porte,
sauf s’il a les clefs…
Quand Amélie rentre chez elle accompagnée d'un violent début de grippe, elle est loin de se douter que la nuit à venir sera bien plus chaude que ce que la fièvre lui promet.
sauf s’il a les clefs…
Quand Amélie rentre chez elle accompagnée d'un violent début de grippe, elle est loin de se douter que la nuit à venir sera bien plus chaude que ce que la fièvre lui promet.
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Défi
Estelle a accepté de suivre Thomas, son compagnon, dans un lieu où un voyage sensoriel lui est promis. Pour un Nez, quoi de plus attractif ? Mais Estelle ne connaît pas toutes les facettes de Thomas et, une fois le bandeau posé sur ses yeux, ne peut plus se fier qu'à son odorat sur développé pour appréhender la sensuelle situation qui s'offre à elle.
Résistera-t-elle à la proposition de Thomas ?
Ou cédera-t-elle à l'appel des plaisirs promis ?
À moins que ce ne soit Thomas qui ne connaisse pas si bien Estelle qu'il l'imagine...
Pour un public averti ! (et un public averti en vaut deux, alors n'oubliez pas de cliquer deux fois plus sur les petits cœurs !) LOL
Résistera-t-elle à la proposition de Thomas ?
Ou cédera-t-elle à l'appel des plaisirs promis ?
À moins que ce ne soit Thomas qui ne connaisse pas si bien Estelle qu'il l'imagine...
Pour un public averti ! (et un public averti en vaut deux, alors n'oubliez pas de cliquer deux fois plus sur les petits cœurs !) LOL
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Moi ? Peau de vache ? Non, mais là, je rêve ! Et c’est lui qui ose me dire ça ? Ce mec obsédé par le sexe ? Je pourrais même dire « libidineux » si je n’avais pas aimé ces moments intimes passés avec lui. Je ne suis pas du genre à tirer un trait sur les bons plans, à glisser sous une vieille lame de plancher ces ébats partagés, mais là, j’avoue, je n’ai qu’une envie : oublier cet enfoiré.
Deux ans. Ma relation la plus longue. Eh non, ne me parlez pas de ces hommes d’un soir qui ont froissé mes draps entre deux absences de Marc. Ils ne comptaient pas. Je les ai séduits par ennui, juste pour permettre à mes talents d’ensorceleuse de rester affutés. Peut-être était-ce pour me rassurer, ou bien pour m’assurer de remettre Marc entre mes cuisses dès son retour ? Ne tentez pas de me psychanalyser, je déteste ça ! Je ne suis pas névrosée : j’aime le sexe. Tous les sexes. Les droits, les mous, les tordus, tous genres confondus.
D’ailleurs, je crois que c’est mon penchant pour ces parties intimes qui a le plus séduit Marc. Il avait pourtant une sacrée expérience, ce qui n’était pas pour me déplaire. Je n’aime pas les lutins boutonneux qui arrivent, bave aux lèvres, persuadés que le streaming a fait leur éducation sexuelle. Bande d’ignorants ! Comment réduire à quelques images saccadées le plaisir d’un corps qui glisse contre un autre ? C’est un trésor qui ne peut se trouver sur un écran tactile : il faut jouer des phalanges, se mouiller, se donner, suer aussi parfois pour toucher du doigt ce moment d’extase.
Alors, quand cet énergumène qui profite de mon corps depuis deux ans, en me faisant profiter du sien, s’est ramené avec une rose rouge en bouton et un costume impeccable tandis que je l’attendais, telle une Ève sur mes draps de satin, forcément, j’ai flippé ! C’était quoi ce plan ? S’il avait eu envie qu’on se déguise, il aurait pu m’avertir ! J’aurais mis une jupe courte, des talons vertigineux, des bas en résille, et je lui aurais susurré « Oui, Monsieur le PDG » avant de lui faire une fellation qu’il n’aurait pas pu oublier avant longtemps…
Mais là, il s’agissait d’autre chose. Je le sentais au fond de mon utérus qui me chatouillait désagréablement. Exit les jolis papillons dont parlent tous les romans à l’eau de rose. J’avais un scarabée qui grinçait derrière mon nombril.
Alors, oui, je lui ai dit « non ».
Il n’a même pas eu le temps de se mettre à genoux. J’ai bondi du lit comme une chatte et sa dernière vision de moi a été ma croupe qui s’enfuyait au galop. Il n’avait donc rien compris ? Et moi ? Comment avais-je pu me laisser abuser par ses caresses expertes ? Je n’avais pas vu arriver ses sentiments, sinon j’aurais fui bien plus tôt ! Cela m’aurait peut-être évité de recevoir une bordée de désagréables SMS dont le dernier m’apprenait que l’orthographe n’était pas le fort de Marc. Allons, on pouvait être expert avec ses dix doigts et un tantinet analphabète quand on prenait son smartphone.
« Pot de vache ». Ouais, quand même…
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Défi
Mes talons aiguilles claquent sur le parquet et chaque pas me rapproche du dénouement. L’appréhension se mêle à l’excitation dans un cocktail qui fait battre mon cœur jusque dans mes parties les plus intimes. Comment cela va-t-il se passer ? Vais-je être à la hauteur ? Et si je le décevais ?
Les candélabres électriques diffusent une lumière jaune, chaude et discrète, tout à fait propice aux scènes qui se déroulent derrière les lourdes tentures. Je ne résiste pas à ralentir le pas pour jeter un coup d'œil lubrique derrière l’une d’elles. Une magnifique rousse, sa chevelure lui battant les reins, gémit sous les assauts de son partenaire qui la prend dans une levrette tout à fait académique. Ils ne sont chacun vêtus que d’un unique accessoire : un masque vénitien, d’un noir sobre pour l’homme et plus travaillé pour la rouquine. Cette dernière lâche de petits cris extatiques. Je laisse la tenture retomber, soudainement bien plus impatiente de parvenir dans l’alcôve qui m’est réservée. Mon souffle s’accélère légèrement alors que mes talons claquent de nouveau sur le parquet.
A deux pas de ma destination, je ne résiste pas à l’envie de m’arrêter devant un large miroir cerclé d’arabesques dorées pour vérifier ma tenue. Je porte également un masque vénitien, noir, bordé de plumes et de dentelles qui font ressortir l’ambre de mon regard qui brille déjà de désir. Un corset enserre ma poitrine en accentuant outrageusement mon décolleté dans un laçage qui semble supplier d’être dénoué au plus vite. Un string plus que minimaliste ne cache pour ainsi dire rien de mon intimité alors que des bas noirs, aux finitions exquises, surplombent des escarpins d’une hauteur qui en empêcherait plus d’une de marcher. Mais pas moi. Je sais ce qu’il aime et je suis prête à le lui offrir.
Je soupire d’impatience et une partie de la tension que j’éprouve disparaît avec ce souffle. Je suis comme une actrice prête à entrer en scène et je laisse mon trac en coulisses. Je pousse la lourde tenture rouge discrètement. Il est là, un peu perdu, à ma merci.
Il devine ma présence plus qu’il ne m’entend arriver et il se retourne, un rictus sur les lèvres. Il hésite entre un rire forcé et une légère panique. Ses yeux explorent mes courbes rapidement et je sais qu’il lutte pour ne pas détourner le regard. Il est mal à l’aise, j’adore ça.
– Ah, d’accord, lâche-t-il soudain. OK… Non, les mecs, sans rire, vous abusez…
Mais personne ne lui répond. J’avance, roulant des hanches, lascive, sûre de moi. Je baisse les yeux pour masquer mon désir, pour ne pas lui faire trop peur. Je le sens qui tremble, au fond de lui. Et j’en profite pour constater, non sans émotion, qu’une discrète bosse se forme déjà dans son pantalon.
Il recule d’un pas alors que j’avance de deux. Je le touche presque mais je m’arrête. Je sais que mon parfum le pénètre, un parfum nouveau mais pas tout à fait. C’est le moment de lui parler…
– Je ne te plais pas ?
J’ai dit cela dans un souffle, d’une voix basse et chaude qui doit lui retourner le ventre. Je vois sa lèvre inférieure frémir de désir, ses mains se cramponner à son jean pour ne pas me toucher. Adorable…
– Si, mademoiselle, extrêmement… Mais je suis marié...
Oh, quelle belle et fausse affirmation ! Mon souffle s’accélère alors que des images de nos corps nus enchevêtrés défilent devant mes yeux toujours baissés.
– Pas encore… Et je peux te jurer que cela restera entre nous…
J’avance encore d’un pas. Ma cuisse glisse sur son entrejambe alors que mes seins rebondissent sur sa poitrine tendue. Je l’entends bégayer, gémir contre mon oreille. Il tremble alors que son sexe grossit entre nous. Je retiens un petit rire de satisfaction. Je mène la danse et j’aime ça.
– Touche-moi…
Il ne peut résister à ma supplique. Aucun homme ne le pourrait. Ses mains hésitantes se posent sur mes hanches. Je le sens qui se tord le cou et je devine qu’il cherche à savoir si nous sommes seuls, si ses potes sont là, s’il va être filmé. Son cœur cogne fort contre mes seins tendus. Je niche mon nez dans son cou : je ne me lasserai jamais de son odeur.
Je ne le brusque pas : il s’enfuirait sinon ! Et toute cette mise en scène n’aurait servi à rien. Je m’appuie contre lui, ondule légèrement, glisse mes mains sous sa chemise et gémit contre sa bouche. Il s’empare enfin de mes lèvres.
Son baiser n’est pas timide, comme s’il avait finalement lâché prise et décidé de profiter du moment présent. Parfait. Nos langues s’enroulent goulûment, nos souffles se mêlent et ses mains descendent le long de mes fesses. Je me retourne. Il grogne à mon oreille alors que ses doigts se glissent dans mon intimité. L’humidité qu’il y trouve semble le rassurer sur mon honnêteté. J’attrape mes seins sous son regard médusé : il a une vue plongeante sur mon décolleté et ne perd pas une miette du délaçage alors qu’il s’active sur mon clitoris. Mon sang bouillonne dans mes veines mais je refuse de me laisser aller. L’heure de vérité va bientôt sonner.
Je me retourne et l’aide à se dévêtir. Il devient empressé, un peu brouillon et très troublé par cette expérience nouvelle qui l’attend. Nu comme Adam, le sexe dressé, il se laisse basculer sur le lit alors que je m’avance au-dessus de lui. Nos souffles sont courts et j’attends la suite avec une impatience qu’il ne soupçonne pas.
Tant pis pour les préliminaires, la vérité me brûle les lèvres tout autant que sa verge qui me pénètre enfin. Je me cambre, luttant pour ne pas me laisser emporter tout de suite par les fulgurantes sensations qui inondent mon ventre et plaque une main sur son torse.
– Attends…
Ma voix est rauque. Il se fige, une lueur craintive dans le regard. Soudain, la suspicion est de retour.
– Il faut que je te dise quelque chose…
Je ne lui donne pas le temps de réfléchir et ôte mon masque. Il ouvre des yeux incrédules.
– Emma ?
– Bon enterrement de vie de garçon, mon amour…
– Mais…
Je mets fin à ses questions d’un baiser alors que mes hanches impriment un mouvement qui lui arrache un grognement de plaisir. J’aurais bien le temps, dans la nuit, de lui expliquer que seuls ces petits jeux sexuels m’excitent réellement. Et à l’ardeur qu’il met à me satisfaire, je ne doute pas qu’il se joigne rapidement à mon libertinage…
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Défi
Ce texte est une réponse à un défi dans lequel il fallait insérer un proverbe obscur créé par un bot twitter. Comme c'était un défi, j'ai pris 3 de ces proverbes :
Le diable était beau quand il est absent.
On ne fait pas de bonnet, ne craint pas la chandelle.
Chien échaudé ne revient pas.
Bonne lecture...
Le diable était beau quand il est absent.
On ne fait pas de bonnet, ne craint pas la chandelle.
Chien échaudé ne revient pas.
Bonne lecture...
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Ces rires partagés
Nos doigts emmêlés,
Ton regard amusé
Non dénué de fierté,
Ton bras autour de moi
En ajustant ton pas,
Toutes ces journées passées
Qu'il me tarde de retrouver.
Tu me manques,
Mon fils.
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Défi
Qui est cette jeune femme rousse, échevelée, enroulée dans un sac de couchage devant une boutique délabrée ?
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