Recueil de nouvelles courtes. Et un petit manque de noir.

(Club Valentine)

CV
Nouvelle de Fantasy fantaisiste

SF - Club Valentine

Recueil de nouvelles de science-fiction et sfff

[Chaque nouvelle présentée est complète]

La version illustrée est visible et téléchargeable (gratuit, sans DRM, sans inscription) :
https://www.atramenta.net/lire/52-snakes/75543

On les appelle les Cerneurs, à cause de la manière d’approcher leurs victimes.
Sont-ils des monstres ou la future humanité ? Peut-on vivre avec eux, et peuvent-ils aider… ou, au contraire, ne savent-ils que détruire ?

Une jeune femme, isolée en plein hiver dans sa ferme, reçoit d’étranges visiteurs.
Lorsque tous les habitants proches disparaissent brutalement sans laisser de traces, elle mène son enquête.
Jusqu’à l’horrible vérité.

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2ème jet d'une nouvelle ayant été publiée sur Scribay en 2018, afin d'en tirer un roman de 40 000 mots
(oui, je sais, ça ne fait pas 50 000, mais si j'arrive déjà à 40 000 ce serait mon premier roman ^^)
22 chapitres d'environ 2000-2500 mots sont prévus

Au départ, l'idée était d'écrire une creepypasta, une légende très rurale, sur le modèle des légendes urbaines ;)

En cours d'écriture

Écrit sans filet, directement sur le site (c'est une première, on verra bien ce que ça donne, aïe aïe les fautes ^^). L'inspiration viendra (je l'espère), au fur et à mesure.

C'est théoriquement parti pour une histoire de fantasy pour enfants...

D’après « Ne me quitte pas » de Jacques Brel

https://www.youtube.com/watch ?v=i2wmKcBm4Ik

Ah, les planètes inconnues...
Elles offrent toujours leur lot de surprises !

SF & CV

En cours d'écriture

Ah, Paname… Paname, ses vices et ses solitudes, ville des lumières, mais ville de catacombes sombres de la ténébreuse Histoire, d’os et de crânes, de morts et de rats. De rats, bien sûr… D’odeurs du ventre de Paris, d’échanges et de cris, de bouches insatisfaites, de ces viandes sanguinolentes et de ces légumes aussi verts que des pois anglais, mais, surtout, avides d’argent et de pouvoir, sous les bruits et les rumeurs. Paname, la cachottière, aux fonds glauques et réactionnaires. Paname, la fausse moderne. Son air de printemps éternel, ses femmes légères et pimpantes, son élégance jusque dans les tours, dans sa tour et fêlure. Et fêlure… Car, Paname ou Pavane ? De par la suffisance française, aussi ferme que fer d’Eiffel et rectitude d’Haussmann, aussi glorieuse que les années de french cancan, comme un lapin agile au pied d’un moulin rouge, image d’artistes débauchés dans les vignes de Montmartre, quel pari pour demain ? Un Pavane de concerts à la gloire de Chopin, de galeries Picasso, de cafés-théâtres Sartre, de revendications au nom de Beauvoir, et tout autre forme d’expression, de « culture », d’inutile essentiel. Alors, Paname ou Pavane ? De toute façon, l’un ou l’autre : u