Julien Neuville
Les plus lues
de toujours
Des pensées quotidiennes, des références, des tournures de phrases...en trois mots. Une forme de contrainte pour moi, et de facilité pour vous...ça changera de mes textes à rallonge ;-)
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Bonjour à tous les auteurs !
Je vous propose un petit défi, ou plutôt une petite aventure commune : écrire une histoire policière à plusieurs mains. Classique me direz-vous...eh bien oui et non ! Je vais écrire le prologue et la narration du personnage principal, et si vous le souhaitez, vous pouvez écrire les passages des autres personnages ! Chaque auteur se verra attribuer un seul personnage à gérer. L'idée est de pouvoir aller jusqu'à 12 mains, ne pas se mettre d'accord sur l'histoire, mais laisser chacun apporter sa pierre, et nous verrons ce que cela peut donner !
Plus d'infos dans l'avant-propos !
Je vous propose un petit défi, ou plutôt une petite aventure commune : écrire une histoire policière à plusieurs mains. Classique me direz-vous...eh bien oui et non ! Je vais écrire le prologue et la narration du personnage principal, et si vous le souhaitez, vous pouvez écrire les passages des autres personnages ! Chaque auteur se verra attribuer un seul personnage à gérer. L'idée est de pouvoir aller jusqu'à 12 mains, ne pas se mettre d'accord sur l'histoire, mais laisser chacun apporter sa pierre, et nous verrons ce que cela peut donner !
Plus d'infos dans l'avant-propos !
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Petits délires surréalistes ;-) Attention, scènes explicites !
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Défi
Une série de micro-nouvelles quotidiennes, de poèmes ou de références en réponse au défi lancé par Anne Cécile B,
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Un début de quelque chose, pour changer de mes thèmes habituels de prédilection. Pas de grande ambition, une histoire pas encore définie, je me laisse porter cette fois, selon mes envies. Un pitch ? Ok allons-y :
Lassé de sa vie amoureuse, Pierre franchit le pas de l'infidélité. Après quatre ans à tenter d'avoir un enfant, Valérie est décidée: elle abandonne, quitte à affronter sa famille dysfonctionnelle. Gaëtan a un rêve: se connecter au réseau informatique de la banque de France, et enfin quitter le foyer des Tulipes.
Tour à tour, un stylo égaré va croiser leur route et celle d'autres âmes accidentées, confrontées aux douleurs de l'existence. Un simple stylo pour enrayer leurs projets et leur faire affronter la réalité: l'espoir est toujours permis.
Lassé de sa vie amoureuse, Pierre franchit le pas de l'infidélité. Après quatre ans à tenter d'avoir un enfant, Valérie est décidée: elle abandonne, quitte à affronter sa famille dysfonctionnelle. Gaëtan a un rêve: se connecter au réseau informatique de la banque de France, et enfin quitter le foyer des Tulipes.
Tour à tour, un stylo égaré va croiser leur route et celle d'autres âmes accidentées, confrontées aux douleurs de l'existence. Un simple stylo pour enrayer leurs projets et leur faire affronter la réalité: l'espoir est toujours permis.
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Après des années de recherches, le professeur Volotinen a réussi à créer une machine révolutionnaire, capable de concevoir un objet uniquement grâce à la pensée de son utilisateur. Mais le but de ses travaux, dans le laboratoire sous-terrain à l'accès verrouillé, va bien au-delà d'une simple machine...
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Défi
Voici la suite de la suite du défi relais lancé par Melegim74. Cette fois, je mets Laklandestine à l'honneur, sous la forme de quelques pensées bienveillantes à cette formidable camarade de jeux !
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Voici ma participation à l'opération "Le rose et le noir" dans le cadre d'octobre Rose.
https://www.bepolar.fr/Le-Rose-le-Noir
https://www.bepolar.fr/Le-Rose-le-Noir
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Parce que nos esprits sont riches, immensément riches de volonté, et notre envie d'un monde meilleur si forte, qu'il est parfois bon de mettre à plat une inéluctable réalité : le poids des belles idées nous englue dans une vie de pressions. Quelques listes libératoires, pour poser ce qui ne devrait pas peser.
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Défi
Réponses au défi des micro-nouvelles initié par Ceryse, semaine 89.
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Défi
L’outrance filiforme se déversait des urnes, flot continu d’une éclosion par trop prévisible. À l’aune d’une obsolescence politique, les nouveaux arrivants jaune canari piquetaient la chaussée de leur inavouable émotion. Fractures, fromage, tout n’était qu’abri et désinvolture pour ces équations inconsistantes, vénérables agoraphobes des vignes temporelles. Il eut été en hiver de bien commun d’exagérer les épitaphes, de boire la grandeur des âmes, d’éradiquer joyeusement, quoiqu’en épilation, les colles de portables. Exit la métamorphose, adieu les bretelles, combien font trois fois sève ? Mon amour s’écrit, les chants reniflent, et la vie sue par tous les ports, toutes les marmites insalubres. Exégète lexical, chercheur d’absolution, je parcours ci-joint un patronyme amer, et m’amuse des sens, des sons odorants, des hontes réfléchies.
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