AstroBoulabulles
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de toujours
Ici, je donne libre cours à mes divagations claviéristes ; je me raconte, en vérités et en mensonges lorsque je le désire, et souvent je me sème en imaginations diablement stériles.
Si vous envisagez de me lire, sachez que vous risquez de me détester si vite que vous ne tiendrez pas trois chapitres.
Si vous envisagez de me lire, sachez que vous risquez de me détester si vite que vous ne tiendrez pas trois chapitres.
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Défi
Le défi n'est pas vraiment respecté, on est loin d'un entretien.
Mais la phrase-clé m'a inspiré cette histoire débile que j'ai beaucoup aimé écrire.
Mais la phrase-clé m'a inspiré cette histoire débile que j'ai beaucoup aimé écrire.
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Défi
Réponse au défi "Le lieu" proposé par Renard d'or. Merci pour ce défi, Renard ; en le relevant je me suis senti, le temps d'une volonté, ton Petit Prince.
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On prend nos cycles à bras-le-coeur Pour aimer les collines rouges On suit les signes des hauteurs Où tu surprends tout ce qui bouge Et le soleil dans tes cheveux Rayonne au vent des blondeurs sages Tout me retient jusqu'à plus d'âge Sous les étés qu'ouvrent tes yeux C'est vrai que moi j'ai mes colères Mes rebellions d'enfant fiévreux Que j'irais bien sauver la Terre Brûler un président ou deux Mais ne crois pas voir un adieu Quand mon ivresse est incendiaire Je vais du soir au matin clair De mourir à nourrir un feu Non il ne faut pas t'en faire Je n'ai pas l'âme d'un gangster Et je ne vais pas t'en vouloir Tu n'as pas l'âme d'une rockstar Parfois je me demande en vain Qui tient les fils entre les temps Pourquoi j'invente alors ces mains Reliant l'époque à ses vivants Puis le zénith offre son teint À la chair ivre de partage À ton bonheur qui est le mien J'en suis l'éclat dans les feuillages Non il ne faut pas t'en faire Je n'ai pas l'âme d'un gangster Et je ne vais pas t'en vouloir Tu n'as pas l'âme d'une rockstar Si la vie n'est qu'un jour heureux Allons où notre jour nous perd Allons toujours sous la lumière De jaillir à mourir un peu Si la vie n'est qu'un jour heureux Allons où
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Bon... J'ai voulu tenter le Nanowrimo et puis... Vraiment, ça ne va pas le faire. J'ai tenu mille mots : mille mots tricheurs, mille mots débiles autour d'un programme appelé l'Absurde Novembre ; mille mots de trop pour une amusante soirée perdue.
(Je félicite les courageux qui se lancent dans cette idée folle et parviennent à s'en sortir.)
(Je félicite les courageux qui se lancent dans cette idée folle et parviennent à s'en sortir.)
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Défi
Réponse au défi "L'immeuble" lancé par Kekimei 13.
C'est toujours très tentant de saisir un défi au vol, on en sauterait presque du haut d'un building.
Merci Kekimei 13 pour l'opportunité.
C'est toujours très tentant de saisir un défi au vol, on en sauterait presque du haut d'un building.
Merci Kekimei 13 pour l'opportunité.
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Quand les amours auront tant vécu Qu'il n'y aura plus d'heure à leurs montres De montres à leurs poignets tordus Épuisés de peu de rencontres Quand saturera de plages vides L'hypermnésie dans mes courants Quand la vieillesse en bain d'acide M'aura dissous dans ses tourments Je n'aurai de blessures que de t'avoir blessé Je n'aurai de ramures que de toujours t'aimer Par delà tous les ciels des Paradis boisés Je n'aurai de blessures que de t'avoir blessé Quand sous la conviction violente De n'être plus jamais l'enfant Roulant son rocher dans la pente Courant vers le rocher fuyant Je saurai n'être qu'un Sisyphe Jouant de lui-même et que faire d'autre Quand j'aurai tué les hippogriffes Peut-être à trop compter mes fautes Je n'aurai de blessures que de t'avoir blessé Je n'aurai de ramures que de toujours t'aimer Par delà tous les ciels des Paradis boisés Je n'aurai de blessures que de t'avoir blessé Quand me fuiront les métaphores Dans la clairière de l'attente D'où je nous rêve déjà morts Au fond des Paradis qui chantent Les Paradis où nous jouions Chênes valsant parmi les chênes Quand mes poignets s'écorceront Quand mon refrain dira ma peine Je n'aurai de blessures que de t'avoir bless
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Souvent les maux sont « je » débiles Alors j'y mets des jeux des billes De fabuleux appels de filles Et je rougis d'amour des phares Il faut toujours tomber la file Où vont crâner nos dos bisbilles Funambuler l'âme myrtille Sur l'enfant-fil d'où tout se barre Grandir est un peu dépassé Si le dire est un train bercé Je ne sais qu’y et qu’en sauter Il paraîtrait que j’ai mille ans Mille ans de frime de plombier Contre tortues et feux crachés Le cerveau des seins animés Mille ans de rire à cou tordant J’ai vu que Peach est sur la beach Y veut poper comme une bitch Aux yeux de salauds cœurs de switch Et moi je scratche Itchy pourtant J’en fais des tronches de sandwich Et je les multiplie par each Ami croquant qu’ I’ll never meet- Chaque copain croustidistant Grandir est un peu dépassé Si le dire est un train bercé Je ne sais qui ni quand sauter Jetez la faute à mes trois ans S’il faut savoir il faut borner Les numéros à déborner Cerceaux de bois à enflammer Je me vois bien zéro brûlant
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Quand les manèges déménagent Comme déjà disait Jacob A nu le jour en joie dérobe Aux saints manèges leurs messages S'il me fallait être plus sage Ne plus jamais tomber ta robe Où ferais-tu le tour d'un globe Et comment tournerait notre âge Quand les manèges des ménages Autour de tout mènent leurs mômes Puis-je tuer Dieu dans tes atomes Sans en déplaire à leurs visages Tu es menue comme une plage D'un tout petit village à Rome Je suis ornitho-gastronome Et toi mon oisillon-naufrage Quand les manèges déménagent Mon âme au corps est claustrophobe Alors mon corps est un hylobe Ivre de plants entomophages Et tu as faim jusqu'aux orages Et moi d'un trèfle-quadrilobe Tu es mon trèfle et l'épilobe Où les manèges déménagent Quand les manèges déménagent Comme déjà disait Jacob A nu le jour en joie dérobe Aux saints manèges leurs messages S'il me fallait être plus sage Ne plus jamais tomber ta robe Où ferais-tu le tour d'un globe Et comment tournerait notre âge
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Etat d'esprit, à ne pas prendre au pied de la lettre. Quoique...
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Il neige.
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Ils remplissent la vie Les marchands de colombes Et feront les étés Sans savoir que d'ici Bien avant que l'an tombe On leur vendrait janvier Mais ces enfants qui jouent On croirait c'est étrange Qu'ils sont dans un jardin Le temps de quelques coups Ils muteront les anges En promeneurs de chiens J'ai retiré ma mise Et caché dans ma manche Mes vœux de Paradis La cloche de l'église A sonné ce dimanche Et tu n'as pas souri Les lundis sont pluvieux La semaine un long jour Et c'est toujours lundi Mon esprit devient vieux Quand tu dis "mon amour" Comme à l'amour enfoui Je peine à l'accepter Maudis de le savoir Les chemins continus Il n'y a plus de vallées Sous les allées du soir On ne s'amuse plus C'est la mort annoncée Clairon du déjà-tard Carrosse noir des rues Ou c'est la marche à pieds Sur les pavés-mouroir On ne s'amuse plus Je nous quitte à 9 h Le temps de ne rien dire De semer dans mes pas Le long de vagues leurres Un peu de l'avenir Que je n'aimerais pas Je regarde aux fenêtres Quand les maisons racontent Nos tendresses parties L'élan de disparaître En refuser les contes Absoudre un vent de nuit Pensant aux gens qui marchent Et me sentant des leurs De leur chemin de croix Sans jam
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